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[Fil rouge] Stade de l'Aube
- romainpat94@free.fr
- Pro
- Messages : 2620
- Enregistré le : 15 juil. 2023, 12:32
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
2 australiens au final ? Tous les Australiens sont pas déclarés ?
Que de préparateurs physiques et de service médical pour une équipe qui court 45 minutes !
Management : des fantômes
Que de préparateurs physiques et de service médical pour une équipe qui court 45 minutes !
Management : des fantômes
- Batman
- Pro
- Messages : 2127
- Enregistré le : 28 sept. 2002, 15:19
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
Il manque au moins Napoli et Anett à la liste de transfermarkt
- Olivedu91
- Stagiaire
- Messages : 111
- Enregistré le : 06 août 2023, 11:48
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
Monbaerts il est classé dans "autre activité" . Personne ne sait ce qu'il fait, lui même devant ignorer quelle est vraiment sa fonction.
Belle armée mexicaine, avec seulement 2 types à la détection. Tout s'explique...
Belle armée mexicaine, avec seulement 2 types à la détection. Tout s'explique...
- Vince_23
- Pro
- Messages : 1001
- Enregistré le : 19 juil. 2023, 16:29
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
La détection est principalement réalisée par la cellule du city group
Les 2 personnes en détection font essentiellement du local
Les 2 personnes en détection font essentiellement du local
- Vince_23
- Pro
- Messages : 1001
- Enregistré le : 19 juil. 2023, 16:29
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
En le voyant près du kop le jour de match, on pourrait penser que Victor Marly travaille pour la sécurité du Stade de l’Aube. Mais son rôle, à plusieurs tiroirs, va bien au-delà. Pour résumer, le jeune homme de 25 ans, arrivé à l’Estac en juillet 2022, est « stadium manager », c’est-à-dire qu’il coordonne toutes les activités liées au Stade de l’Aube. « Dès qu’on a une problématique concernant le stade, ça passe par Victor, nous dit-on au club. Si on veut faire un tournage ou encore un entraînement sur le terrain d’honneur, c’est notre interlocuteur. »
Forcément, en jour de match à domicile, son rôle prend toute son importance. « Je coordonne les opérations de match, dit le principal intéressé. Par exemple, je prends contact avec le club adverse pour recueillir ses besoins. » Tout ça, c’est sa casquette « organisation des matches ».
Victor Marly (25 ans), passé par la LFP, en porte une deuxième, celle de « chef de projet infrastructures ». À ce titre, il a mené et suivi les projets de la tribune debout, du déplacement des bancs de touche en tribune Honneur (le tout supervisé par Sarah Palluel, directrice générale adjointe et donc sa supérieure hiérarchique).
Tribune debout, bancs de touche, sièges orange, centre d’entraînement...
Aujourd’hui, ce qui l’occupe tous les jours, c’est le projet de centre d’entraînement. « On est dans une phase de consolidation pour confirmer la faisabilité du site ; on doit s’assurer qu’on reste dans le budget prévu. » Ce site, c’est bien celui du château de Rosières, comme annoncé dans nos colonnes. À ce jour, « le projet n’est pas du tout remis en question car l’urgence reste la même ». Le principal nœud reste le déménagement du domaine de l’Essor, qui abrite environ 200 personnes.
Concernant les aménagements au Stade de l’Aube, Victor fourmille d’idées. En faisant un tour du propriétaire en sa compagnie, il s’arrête à maintes reprises pour montrer ce qu’il imagine ici sur un mur, ici dans le virage entre Champagne et Honneur, ici dans l’espace visiteurs… « Le Stade de l’Aube a beaucoup de potentiel, estime-t-il. Avec un point fort : la proximité du public avec le terrain. Aujourd’hui, il est un peu trop grand, on pourrait utiliser les espaces vides pour faire plein de choses. »
Les ultras ont « le droit à la contestation, à la critique, tant que ça ne déborde pas. »
Mais tout ne peut pas se faire en un claquement de doigts. Et puis une réflexion revient souvent à ses oreilles : les sièges orange sont moches. « Bien sûr qu’on voudrait avoir un stade aux couleurs du club. Mais c’est une question de budget, de priorités. Troyes Champagne métropole (propriétaire du Stade de l’Aube) a investi sur les pelouses, l’éclairage, la vidéoprotection. Le club, lui, a investi pour la tribune debout, les bancs de touche (qui ont été aménagés si haut afin de protéger ses occupants de la pluie, NDLR). » Et Victor d’ajouter : « L’Estac avait du retard concernant ses infrastructures, qu’on est en train de combler ; cela prend du temps. »
Ce qui est plus urgent à l’heure actuelle, c’est la relation entre l’Estac et ses groupes de supporters, dans une période marquée par des revendications au stade et en dehors. Victor Marly est le référent supporters de l’Estac. Un poste obligatoire dans chaque club professionnel (dans certains clubs, c’est même une personne, voire deux, qui occupent cette fonction à temps plein). « Je suis l’interlocuteur privilégié des groupes de supporters mais pas leur représentant ; je représente le club », pose Victor. « À Troyes, on a la volonté de les considérer ; j’ai une bonne relation avec les groupes, on a un dialogue permanent, constructif dans l’intérêt de toutes les parties, qu’importe le contexte, tendu ou pas. Le but est de veiller au bon déroulement de leurs activités et de transmettre les bonnes informations à la direction. On les accompagne aussi à l’extérieur pour encadrer et sécuriser les déplacements. »
Alors que les actions dirigées contre Patrick Kisnorbo (banderoles, car bloqué au retour de Valenciennes…) pourraient continuer ce samedi avec la réception de Concarneau (19 h), comment le référent supporters troyen se positionne-t-il ? « Ils pensent ce qu’ils veulent, on comprend leurs réactions et leurs attentes mais on essaie de modérer. Ils ont le droit à la contestation, à la critique, tant que ça ne déborde pas. »
Si tel était le cas, l’Estac réagirait sévèrement. Car le club est responsable de la sécurité dans son stade (à domicile) ou dans son parcage (à l’extérieur). Et a des moyens de sanction à sa disposition, notamment les interdictions commerciales de stade, que le club a déjà utilisées ces derniers mois. « Le club se montre ferme dès que des incidents interviennent et que des identifications ont lieu. Si ça déborde, il peut y avoir des sanctions, on ne peut pas tout accepter. Mais tant que ça reste dans le cadre, c’est «ok». Il y aura toujours des incidents mais le but est de les prévenir et les réduire au maximum. » Et en ce moment, ce n’est pas mince affaire.
Forcément, en jour de match à domicile, son rôle prend toute son importance. « Je coordonne les opérations de match, dit le principal intéressé. Par exemple, je prends contact avec le club adverse pour recueillir ses besoins. » Tout ça, c’est sa casquette « organisation des matches ».
Victor Marly (25 ans), passé par la LFP, en porte une deuxième, celle de « chef de projet infrastructures ». À ce titre, il a mené et suivi les projets de la tribune debout, du déplacement des bancs de touche en tribune Honneur (le tout supervisé par Sarah Palluel, directrice générale adjointe et donc sa supérieure hiérarchique).
Tribune debout, bancs de touche, sièges orange, centre d’entraînement...
Aujourd’hui, ce qui l’occupe tous les jours, c’est le projet de centre d’entraînement. « On est dans une phase de consolidation pour confirmer la faisabilité du site ; on doit s’assurer qu’on reste dans le budget prévu. » Ce site, c’est bien celui du château de Rosières, comme annoncé dans nos colonnes. À ce jour, « le projet n’est pas du tout remis en question car l’urgence reste la même ». Le principal nœud reste le déménagement du domaine de l’Essor, qui abrite environ 200 personnes.
Concernant les aménagements au Stade de l’Aube, Victor fourmille d’idées. En faisant un tour du propriétaire en sa compagnie, il s’arrête à maintes reprises pour montrer ce qu’il imagine ici sur un mur, ici dans le virage entre Champagne et Honneur, ici dans l’espace visiteurs… « Le Stade de l’Aube a beaucoup de potentiel, estime-t-il. Avec un point fort : la proximité du public avec le terrain. Aujourd’hui, il est un peu trop grand, on pourrait utiliser les espaces vides pour faire plein de choses. »
Les ultras ont « le droit à la contestation, à la critique, tant que ça ne déborde pas. »
Mais tout ne peut pas se faire en un claquement de doigts. Et puis une réflexion revient souvent à ses oreilles : les sièges orange sont moches. « Bien sûr qu’on voudrait avoir un stade aux couleurs du club. Mais c’est une question de budget, de priorités. Troyes Champagne métropole (propriétaire du Stade de l’Aube) a investi sur les pelouses, l’éclairage, la vidéoprotection. Le club, lui, a investi pour la tribune debout, les bancs de touche (qui ont été aménagés si haut afin de protéger ses occupants de la pluie, NDLR). » Et Victor d’ajouter : « L’Estac avait du retard concernant ses infrastructures, qu’on est en train de combler ; cela prend du temps. »
Ce qui est plus urgent à l’heure actuelle, c’est la relation entre l’Estac et ses groupes de supporters, dans une période marquée par des revendications au stade et en dehors. Victor Marly est le référent supporters de l’Estac. Un poste obligatoire dans chaque club professionnel (dans certains clubs, c’est même une personne, voire deux, qui occupent cette fonction à temps plein). « Je suis l’interlocuteur privilégié des groupes de supporters mais pas leur représentant ; je représente le club », pose Victor. « À Troyes, on a la volonté de les considérer ; j’ai une bonne relation avec les groupes, on a un dialogue permanent, constructif dans l’intérêt de toutes les parties, qu’importe le contexte, tendu ou pas. Le but est de veiller au bon déroulement de leurs activités et de transmettre les bonnes informations à la direction. On les accompagne aussi à l’extérieur pour encadrer et sécuriser les déplacements. »
Alors que les actions dirigées contre Patrick Kisnorbo (banderoles, car bloqué au retour de Valenciennes…) pourraient continuer ce samedi avec la réception de Concarneau (19 h), comment le référent supporters troyen se positionne-t-il ? « Ils pensent ce qu’ils veulent, on comprend leurs réactions et leurs attentes mais on essaie de modérer. Ils ont le droit à la contestation, à la critique, tant que ça ne déborde pas. »
Si tel était le cas, l’Estac réagirait sévèrement. Car le club est responsable de la sécurité dans son stade (à domicile) ou dans son parcage (à l’extérieur). Et a des moyens de sanction à sa disposition, notamment les interdictions commerciales de stade, que le club a déjà utilisées ces derniers mois. « Le club se montre ferme dès que des incidents interviennent et que des identifications ont lieu. Si ça déborde, il peut y avoir des sanctions, on ne peut pas tout accepter. Mais tant que ça reste dans le cadre, c’est «ok». Il y aura toujours des incidents mais le but est de les prévenir et les réduire au maximum. » Et en ce moment, ce n’est pas mince affaire.
- tonysky
- Espoir
- Messages : 989
- Enregistré le : 27 sept. 2002, 15:51
- Localisation : Lannion
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
Dans ces "types", y a quand même David Hamed, ancien du club dans les années fastes début 2000 (et sûrement un des plus aimés des supporters à l'époque)
Après, quel est son niveau en tant que scout ?
Le maintient c'est déjà bien !!
- Nounours10
- Pro
- Messages : 1523
- Enregistré le : 04 juil. 2023, 16:36
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
Il me semble qu'Hamed ne travaille plus au club, ce site n'est pas à jour. Il manque Ralph Napoli par exemple et Farès Bouzid n'est plus le directeur du centre.
- romainpat94@free.fr
- Pro
- Messages : 2620
- Enregistré le : 15 juil. 2023, 12:32
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
Le SDA va sonner creux avec l'écho des beuglements du berger australien rabattant son troupeau vers le national
- RoiDeCoeur
- Espoir
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- Enregistré le : 22 mai 2019, 10:35
Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
Il y a possibilité que le SDA soit prêté au FC Saint-Méziéry pour la réception de l'AJ Auxerre en Coupe de France. Ce serait pour moi l'occasion de revenir au stade voir une équipe faire honneur à notre territoire après déjà plusieurs mois de boycott.
NON à la multipropriété !