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Giulian Biancone (2021 - 2022)
Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
il a le droit d'être bon, même à 22 ans. 2.5 millions on l'a payé je rappelle. Bon au moins contrairement a ripart il a déjà réalisé un bon match avec nous, donc qu'il reproduise rapidement cette performance.
- olive91
- Espoir
- Messages : 827
- Enregistré le : 22 déc. 2020, 22:00
Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
Techniquement mauvais et pas assez d'expérience pour jouer titulaire.
Physiquement il tient la route, mais ça ne suffit pas.
Physiquement il tient la route, mais ça ne suffit pas.
- turtle
- Star mondiale
- Messages : 21447
- Enregistré le : 18 févr. 2004, 15:01
Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
Il ne faut pas oublier qu'il a été baladé sur plusieurs postes depuis le début et qu'il dit s'habituer la défense à 4. Mais ce n'est pas la première fois qu'il passe à travers de son match.
- Elpinguin
- Pro
- Messages : 1417
- Enregistré le : 12 juin 2019, 15:12
Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
J'aime bien les valeurs de ce petit gars
Biancone: « On s’est remis la tête à l’endroit »
À l’image de l’Estac, qui reste sur deux résultats très positifs, Giulian Biancone n’a pas lâché l’affaire, lui qui a vécu un épisode douloureux à Brest. Le défenseur s’est réfugié dans le travail et a été récompensé par une titularisation et une grosse prestation à Bordeaux.
Giulian, avez-vous le sentiment que l’Estac a réalisé un gros coup dimanche à Bordeaux (0-2) ?
Un gros coup je ne sais pas car on allait là-bas pour gagner. C’est plutôt le sentiment du travail accompli et la satisfaction d’avoir pris trois points. Mais on sait qu’il ne faut pas se reposer sur nos lauriers car on a des matches importants qui arrivent, contre des concurrents directs ou du moins des équipes contre qui on a une carte à jouer. Il faut se remettre au travail pour poursuivre cette dynamique, en gardant ce même état d’esprit.
Vous parlez beaucoup d’état d’esprit depuis quinze jours. Par quoi se matérialise-t-il au quotidien ?
Après les deux claques en Bretagne, on s’est tous posés dans le vestiaire, on s’est dit les choses, ce qui n’allait pas. Sans hausser la voix ni avoir d’embrouilles, mais pour aller dans le bon sens. On a aussi chacun travaillé dans nos têtes, on se doit de maintenir l’Estac en Ligue 1 cette année, ce qu’elle n’a pas réussi à faire depuis longtemps.
Et en match, comment cela se retranscrit-il ?
Ressortir vainqueur de chaque duel, faire en sorte de rattraper l’échec du copain, travailler pour les autres, ne pas se cacher derrière la faute du coéquipier, avoir des gestes défensifs forts…
Cette attitude ne s’active pas en appuyant sur un interrupteur. Cela veut dire que cet état d’esprit était déjà en vous, mais que vous ne l’utilisiez pas ?
C’est ça. On n’a que des bons mecs dans ce groupe, des mecs qui ont faim et envie de travailler pour le club. Mais à un moment donné, on a eu une période de moins bien sur le plan mental, je ne saurai pas expliquer pourquoi. Aujourd’hui, on s’est remis la tête à l’endroit et on a tous le même objectif.
On voit que l’équipe n’a pas lâché ; mais vous non plus, après ce qui vous est arrivé à Brest (sorti à la 37e minute)…
Sur le coup, ça a été compliqué à digérer. Déjà, j’avais commencé le match milieu droit, un poste dont je n’ai pas l’habitude et ce n’est pas là que je ressors au mieux mes qualités. Le début de match était compliqué avec les conditions et le jeu que l’on produisait. Le coach s’est tourné vers moi pour changer la tactique, aussi parce que je n’étais pas à ma place, ce que j’ai compris et respecté. Mais c’est vrai que mentalement, c’était dur à accepter ; je n’étais pas content, je pense que c’est normal quand on est compétiteur. Mais cela m’a fait plus de bien que de mal car j’ai switché et je me suis dit qu’il fallait que je travaille pour gagner ma place à mon poste et aider l’équipe. C’est ce que j’ai fait durant les semaines qui ont suivi. Même si j’ai moins été utilisé par le coach. Avant, j’étais davantage titulaire, mais c’est tout un groupe qui avance, pas onze joueurs. On l’a vu contre Marseille, où les remplaçants ont amené un nouveau souffle.
Mais après cet épisode à Brest, avez-vous craint de vivre le même sort que Nassim Chadli, également sorti rapidement à Montpellier et qui ne semble plus dans les plans de Bruno Irles ?
Ne plus être dans ses plans, non, car je parle beaucoup avec le coach. Il m’a tout de suite rassuré à ce sujet, m’a expliqué que c’était un choix tactique. Mais c’est vrai que je me suis posé la question de ma place dans l’équipe, car je jouais moins. J’ai vraiment travaillé et voulu montrer au coach que j’avais ma place dans le onze. Après les quelques mauvais résultats, je pensais que j’allais rejouer mais il a gardé sa structure contre Marseille. Il a bien fait puisque ça a marché ! Et contre Bordeaux, il y avait des absents donc il a été obligé de me mettre entre guillemets !
Vous l’avez pris comme une récompense ?
Oui, surtout que le résultat est là ! Pour mon cas et pour l’équipe, ce match a été un soulagement. À la fin, je n’étais pas fatigué d’avoir couru mais mentalement ! Car ces matches-là sont éprouvants, avec cette pression du résultat. On s’est dit « Put*** on l’a fait ». Et puis j’ai trouvé que nous, les trois centraux, on avait vraiment bien travaillé, surtout en deuxième période quand Bordeaux a mis ses trois attaquants, en un contre un.
Vous n’auriez pas démarré la rencontre sans la blessure d’Adil Rami ?
Je ne sais pas. Le coach n’a rien montré cette semaine, même en veille de match où d’habitude, il met l’équipe. Là, il disait qu’il n’était pas encore sûr.
Comme vous êtes suspendu pour la réception de Nantes samedi, on se disait que vous alliez de toute façon être relancé à Bordeaux…
C’est vrai que je me suis dit que ça serait bien que je joue ! Car avec la suspension, ça m’aurait fait une grosse coupure, cela aurait pu me faire un peu mal.
Vous avez pris neuf cartons jaunes cette saison en Ligue 1 (plus 1 en Coupe de France, alors qu’il était sur le banc !). C’est la conséquence de votre jeu, basé sur un engagement total ?
Déjà, je trouve que les arbitres français sont très sévères, surtout avec des équipes comme la nôtre. Pour ma part, j’ai pris des cartons bêtes, en essayant de gagner du temps ou en parlant à l’arbitre. Cela, je dois le rectifier. Mais celui que je prends à Bordeaux, ce n’est pas un mauvais carton jaune : c’est un duel, l’action s’arrête, Bordeaux ne peut pas continuer. Cela ne me dérange pas de prendre des cartons sur des actions comme ça !
Cette âme de guerrier vous vient d’où ?
De mon éducation, de l’école de foot. J’ai toujours été comme ça, un joueur avec de la hargne, qui se bat sur le terrain. Je sais que si je ne suis pas comme ça, concentré à 100 % sur ce que je fais, sur mes duels, sur mes passes, il y aura du déficit. C’est naturel chez moi, ce sont des valeurs que j’ai apprises tôt.
Auprès de vos parents ?
Mon père a fait du rugby, ma mère de la natation, un sport où il faut toujours en vouloir, sinon on abandonne rapidement. Si ma maman voit que je n’ai pas tout donné pendant un match, que je ne suis pas K-O à la fin, ma copine à côté va me faire des gestes car elle sait que ma mère ne va pas être contente !!! Et puis elle me le dira direct à la fin !
Que vous ont dit vos parents après le match à Bordeaux ?
Mon père était content de son fils, dans l’engagement défensif, même balle au pied. Il a bien aimé quelques passes que j’ai faites...
Celles où on retient son souffle ?!
Ce sont ces passes qui sont les meilleures quand on les réussit ! J’essaie de m’inspirer des défenseurs au plus haut niveau, on voit que les décalages partent d’eux. Et puis c’est ce qui nous manquait ces derniers temps : repartir de derrière avec ces séquences qu’on avait l’habitude de faire. On le retrouve petit à petit et je trouve que ça fait du bien à l’équipe, même si on doit prendre des risques de temps en temps. Car quand ça marche, ça fait mal à l’adversaire. Et si ça ne marche pas, eh bien on court pour rattraper l’erreur !
Avec vous, l’expression mouiller le maillot prend tout son sens !
J’ai rencontré ici des gars, des collègues ; j’ai envie de me battre pour eux et avec eux. Et puis quand j’enfile la tunique d’un club, je me bats pour lui, à Monaco, au Cercle de Bruges. C’est pareil à l’Estac, sans penser à ce qui va se passer à dans trois mois ou dans deux ans.
Ce qui fait de vous l’un des chouchous des supporters, avec qui vous avez une relation particulière…
C’est naturel chez moi de les remercier. Dimanche, ils ont encore fait plusieurs heures de route. Je discutais avec un supporter dimanche à minuit : il me disait qu’il lui restait deux heures de route alors qu’il commençait le boulot à 6 heures ! Quand on voit ça, on ne peut que les gratifier. Après, ça fait ch*** quand ils nous châtient, quand ils ont chahuté le coach à l’aéroport, aussi contre Marseille. Ce n’est pas cool, ça donne moins envie de les aimer mais il faut les comprendre. Mais quand je les vois nous pousser dans le parcage, je ne peux que leur redonner ce qu’ils nous donnent pendant 90 minutes.
Biancone: « On s’est remis la tête à l’endroit »
À l’image de l’Estac, qui reste sur deux résultats très positifs, Giulian Biancone n’a pas lâché l’affaire, lui qui a vécu un épisode douloureux à Brest. Le défenseur s’est réfugié dans le travail et a été récompensé par une titularisation et une grosse prestation à Bordeaux.
Giulian, avez-vous le sentiment que l’Estac a réalisé un gros coup dimanche à Bordeaux (0-2) ?
Un gros coup je ne sais pas car on allait là-bas pour gagner. C’est plutôt le sentiment du travail accompli et la satisfaction d’avoir pris trois points. Mais on sait qu’il ne faut pas se reposer sur nos lauriers car on a des matches importants qui arrivent, contre des concurrents directs ou du moins des équipes contre qui on a une carte à jouer. Il faut se remettre au travail pour poursuivre cette dynamique, en gardant ce même état d’esprit.
Vous parlez beaucoup d’état d’esprit depuis quinze jours. Par quoi se matérialise-t-il au quotidien ?
Après les deux claques en Bretagne, on s’est tous posés dans le vestiaire, on s’est dit les choses, ce qui n’allait pas. Sans hausser la voix ni avoir d’embrouilles, mais pour aller dans le bon sens. On a aussi chacun travaillé dans nos têtes, on se doit de maintenir l’Estac en Ligue 1 cette année, ce qu’elle n’a pas réussi à faire depuis longtemps.
Et en match, comment cela se retranscrit-il ?
Ressortir vainqueur de chaque duel, faire en sorte de rattraper l’échec du copain, travailler pour les autres, ne pas se cacher derrière la faute du coéquipier, avoir des gestes défensifs forts…
Cette attitude ne s’active pas en appuyant sur un interrupteur. Cela veut dire que cet état d’esprit était déjà en vous, mais que vous ne l’utilisiez pas ?
C’est ça. On n’a que des bons mecs dans ce groupe, des mecs qui ont faim et envie de travailler pour le club. Mais à un moment donné, on a eu une période de moins bien sur le plan mental, je ne saurai pas expliquer pourquoi. Aujourd’hui, on s’est remis la tête à l’endroit et on a tous le même objectif.
On voit que l’équipe n’a pas lâché ; mais vous non plus, après ce qui vous est arrivé à Brest (sorti à la 37e minute)…
Sur le coup, ça a été compliqué à digérer. Déjà, j’avais commencé le match milieu droit, un poste dont je n’ai pas l’habitude et ce n’est pas là que je ressors au mieux mes qualités. Le début de match était compliqué avec les conditions et le jeu que l’on produisait. Le coach s’est tourné vers moi pour changer la tactique, aussi parce que je n’étais pas à ma place, ce que j’ai compris et respecté. Mais c’est vrai que mentalement, c’était dur à accepter ; je n’étais pas content, je pense que c’est normal quand on est compétiteur. Mais cela m’a fait plus de bien que de mal car j’ai switché et je me suis dit qu’il fallait que je travaille pour gagner ma place à mon poste et aider l’équipe. C’est ce que j’ai fait durant les semaines qui ont suivi. Même si j’ai moins été utilisé par le coach. Avant, j’étais davantage titulaire, mais c’est tout un groupe qui avance, pas onze joueurs. On l’a vu contre Marseille, où les remplaçants ont amené un nouveau souffle.
Mais après cet épisode à Brest, avez-vous craint de vivre le même sort que Nassim Chadli, également sorti rapidement à Montpellier et qui ne semble plus dans les plans de Bruno Irles ?
Ne plus être dans ses plans, non, car je parle beaucoup avec le coach. Il m’a tout de suite rassuré à ce sujet, m’a expliqué que c’était un choix tactique. Mais c’est vrai que je me suis posé la question de ma place dans l’équipe, car je jouais moins. J’ai vraiment travaillé et voulu montrer au coach que j’avais ma place dans le onze. Après les quelques mauvais résultats, je pensais que j’allais rejouer mais il a gardé sa structure contre Marseille. Il a bien fait puisque ça a marché ! Et contre Bordeaux, il y avait des absents donc il a été obligé de me mettre entre guillemets !
Vous l’avez pris comme une récompense ?
Oui, surtout que le résultat est là ! Pour mon cas et pour l’équipe, ce match a été un soulagement. À la fin, je n’étais pas fatigué d’avoir couru mais mentalement ! Car ces matches-là sont éprouvants, avec cette pression du résultat. On s’est dit « Put*** on l’a fait ». Et puis j’ai trouvé que nous, les trois centraux, on avait vraiment bien travaillé, surtout en deuxième période quand Bordeaux a mis ses trois attaquants, en un contre un.
Vous n’auriez pas démarré la rencontre sans la blessure d’Adil Rami ?
Je ne sais pas. Le coach n’a rien montré cette semaine, même en veille de match où d’habitude, il met l’équipe. Là, il disait qu’il n’était pas encore sûr.
Comme vous êtes suspendu pour la réception de Nantes samedi, on se disait que vous alliez de toute façon être relancé à Bordeaux…
C’est vrai que je me suis dit que ça serait bien que je joue ! Car avec la suspension, ça m’aurait fait une grosse coupure, cela aurait pu me faire un peu mal.
Vous avez pris neuf cartons jaunes cette saison en Ligue 1 (plus 1 en Coupe de France, alors qu’il était sur le banc !). C’est la conséquence de votre jeu, basé sur un engagement total ?
Déjà, je trouve que les arbitres français sont très sévères, surtout avec des équipes comme la nôtre. Pour ma part, j’ai pris des cartons bêtes, en essayant de gagner du temps ou en parlant à l’arbitre. Cela, je dois le rectifier. Mais celui que je prends à Bordeaux, ce n’est pas un mauvais carton jaune : c’est un duel, l’action s’arrête, Bordeaux ne peut pas continuer. Cela ne me dérange pas de prendre des cartons sur des actions comme ça !
Cette âme de guerrier vous vient d’où ?
De mon éducation, de l’école de foot. J’ai toujours été comme ça, un joueur avec de la hargne, qui se bat sur le terrain. Je sais que si je ne suis pas comme ça, concentré à 100 % sur ce que je fais, sur mes duels, sur mes passes, il y aura du déficit. C’est naturel chez moi, ce sont des valeurs que j’ai apprises tôt.
Auprès de vos parents ?
Mon père a fait du rugby, ma mère de la natation, un sport où il faut toujours en vouloir, sinon on abandonne rapidement. Si ma maman voit que je n’ai pas tout donné pendant un match, que je ne suis pas K-O à la fin, ma copine à côté va me faire des gestes car elle sait que ma mère ne va pas être contente !!! Et puis elle me le dira direct à la fin !
Que vous ont dit vos parents après le match à Bordeaux ?
Mon père était content de son fils, dans l’engagement défensif, même balle au pied. Il a bien aimé quelques passes que j’ai faites...
Celles où on retient son souffle ?!
Ce sont ces passes qui sont les meilleures quand on les réussit ! J’essaie de m’inspirer des défenseurs au plus haut niveau, on voit que les décalages partent d’eux. Et puis c’est ce qui nous manquait ces derniers temps : repartir de derrière avec ces séquences qu’on avait l’habitude de faire. On le retrouve petit à petit et je trouve que ça fait du bien à l’équipe, même si on doit prendre des risques de temps en temps. Car quand ça marche, ça fait mal à l’adversaire. Et si ça ne marche pas, eh bien on court pour rattraper l’erreur !
Avec vous, l’expression mouiller le maillot prend tout son sens !
J’ai rencontré ici des gars, des collègues ; j’ai envie de me battre pour eux et avec eux. Et puis quand j’enfile la tunique d’un club, je me bats pour lui, à Monaco, au Cercle de Bruges. C’est pareil à l’Estac, sans penser à ce qui va se passer à dans trois mois ou dans deux ans.
Ce qui fait de vous l’un des chouchous des supporters, avec qui vous avez une relation particulière…
C’est naturel chez moi de les remercier. Dimanche, ils ont encore fait plusieurs heures de route. Je discutais avec un supporter dimanche à minuit : il me disait qu’il lui restait deux heures de route alors qu’il commençait le boulot à 6 heures ! Quand on voit ça, on ne peut que les gratifier. Après, ça fait ch*** quand ils nous châtient, quand ils ont chahuté le coach à l’aéroport, aussi contre Marseille. Ce n’est pas cool, ça donne moins envie de les aimer mais il faut les comprendre. Mais quand je les vois nous pousser dans le parcage, je ne peux que leur redonner ce qu’ils nous donnent pendant 90 minutes.
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- Localisation : pas très loin .....
Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
Merci Elpinguin.
En effet, très belle mentalité
En effet, très belle mentalité
je suis pour l'EPO : Eau, Pastis, Olives
Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
Très content de la seconde partie de saison de Giulian qui a été repositionné en DC dans une défense à 5. Je le trouve bien plus performant qu'en latéral.
Un peu trop agressif dans la surface quelques fois, un peu trop simulateurs d'autres, mais sinon très bon joueur !
Un peu trop agressif dans la surface quelques fois, un peu trop simulateurs d'autres, mais sinon très bon joueur !
- Bryce de nyce
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Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
Et tout juste 22 ans ... guerrier, amoureux du club, fort potentiel ... En effet bien meilleur en DC droit, son passé de latéral lui permet de participer à quelques phases offensives aussi ce qui créé des déséquilibre dans l'équipe adverse. Top !!
- turtle
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Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
Matthew a écrit : ↑02 mai 2022, 14:40 Très content de la seconde partie de saison de Giulian qui a été repositionné en DC dans une défense à 5. Je le trouve bien plus performant qu'en latéral.
Un peu trop agressif dans la surface quelques fois, un peu trop simulateurs d'autres, mais sinon très bon joueur !
Re: [4] Giulian Biancone >> juin 2026
? Qu'est ce que tu peux être qu'on toi.
C'est pas parce qu'on dit qu'un joueur n'est pas bon à un instant T pour X raisons, ici très certainement son positionnement qu'on ne peut pas dire qu'il est bon par la suite.
C'est pas parce qu'on dit qu'un joueur n'est pas bon à un instant T pour X raisons, ici très certainement son positionnement qu'on ne peut pas dire qu'il est bon par la suite.