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Les anciennes gloires (ou pas) de l'ESTAC. Retrouvez toutes les fiches joueurs des anciens joueurs de l'ESTAC : Blaise Matuidi, Djibril Sidibé, Corentin Jean...
turtle a écrit : ↑07 mai 2021, 21:28
On dit que c'est son argent mais a part pour racheter le club il n'a jamais renfloué les caisses, Et il en a bien profité.
Aurait on pas fait de meme ?
peux président renfloue les caisses la plupart c est essayé maintenir équipe a un niveau professionnel pour espere faire un plus value plus tard.moi la chose qui me derangeait c est la vente de nos joueur a bas prix on etait des clown a ce niveaux.
Non on ne doit pas se servir d'un club de foot pour son enrichissement personnel. L'argent gagné par les vents (beaucoup trop basses ce qui est louche) aurait du servir à renforcer l'équipe, or a a jamais acheté personne.
Je vous rejoins sur les choix d entraîneur, la sérénité familiale, les bonnes saisons de L2, les bons choix d entraîneur et les quelques coups : retours Nivet Dingome, Kouyaté, .
Masoni sur la L1 c est le clown qui se permet à la trêve de bazarder une équipe, qui ne balance un budget de L1 en prime de L2, qui a pourri toutes les pépites du club en les vendant n importe comment ( Jean, Grandsir, Mbeumo, tchibembe, Vita, Bernardini, Cabot,...), qui a fait des prêts pourris en L1, qui a été incapable de ramener le public au stade et c est moqué des supporters ...
Extraits sur ma ligue 2:
Pour la première fois depuis la vente du club au City Group, dans les colonnes de L’Est Eclair, l’ancien président de Troyes Daniel Masoni s’est exprimé. L’homme est revenu sur le titre de champion de Ligue 2 de l’ESTAC, vécu avec passion, pour celui qui, avec Luis de Sousa, est à la base de la montée par son recrutement, notamment de Laurent Batlles, l’entraîneur.
« J’ai regardé tous les matchs, à domicile et à l’extérieur. Mon attachement au club n’est pas prêt de disparaître. J’ai toujours des contacts avec des personnes encore en place. J’ai vécu le titre avec la même passion que quand j’étais président. Laurent Batlles ? Quand je l’ai rencontré pour la première fois, j’ai de suite été séduit par sa mentalité. Ma fierté, c’est d’avoir pu assembler un puzzle d’hommes avec lesquels le coach peut travailler avec confiance. City a fait confiance aux équipes que j’avais mises en place. Ils sont restés dans la continuité, je leur tire mon chapeau. »
Comment Daniel Masoni et Luis De Sousa ont vécu la montée de l’Estac en Ligue 1
L’un a choisi de revendre l’Estac à City football group, l’autre a été licencié par le nouveau propriétaire. Daniel Masoni et Luis De Sousa, qui ont bâti l’équipe et le sta! champions de Ligue 2, ont vécu le titre à distance. Mais avec une dose d’excitation… et de fierté. uis De Sousa avait ciblé Laurent
Batlles pour succéder à Rui Almeida. Un choix validé par Daniel Masoni, qui s’avère payant. Ils ne se sont jamais exprimés depuis leur départ de l’Estac. Daniel Masoni a revendu en septembre, Luis de Sousa a été licencié quelques semaines plus tard (lire ci-après). Mais tous les deux
n’ont pas raté une miette de la fantastique saison réalisée par le staff et les joueurs qu’ils ont choisis, hormis quelques-uns (Gory et Bozok notamment, arrivés après le rachat). « J’ai regardé tous les matches, domicile et extérieur, assure l’ancien président. Mon attachement au club n’est pas près de disparaître. J’ai toujours des contacts avec des personnes encore en place. » Alors, la soirée du titre samedi soir, Daniel Masoni, aujourd’hui au
Portugal, dit l’avoir vécue « avec la même passion que quand j’étais président. J’étais stressé car tant que l’accession n’était pas acquise, il pouvait arriver beaucoup de choses ». Luis De Sousa, arrivé à l’Estac en 2016, était chez lui, dans l’agglomération troyenne. « J’ai vécu ce match avec excitation, je suis toujours supporter troyen, dit l’ancien directeur sportif. Je suis toujours attaché au club, et puis la peinture est encore fraîche… À la fin du match, ma première pensée était dirigée vers Daniel Masoni, avec qui j’aurais bien voulu partager ce moment. Et la deuxième vers Laurent (Batlles) car je sais qu’entraîneur, c’est un métier difficile, fait de doutes, de choix à faire… Et puis c’est une amitié qui dure depuis 28 ans. »
« À 18-19 ans, il replaçait déjà les autres »
Luis De Sousa et Laurent Batlles se connaissent depuis leur passage à Toulouse, quand le second était jeune joueur professionnel. « À 18-19 ans, il replaçait déjà les autres, cela m’avait frappé. Mais si on l’a choisi pour entraîner l’Estac, ce n’est pas parce qu’on était amis, c’est parce qu’il avait du potentiel. » Un pari validé à l’été 2019 par Daniel Masoni, et qui ressemble aujourd’hui à un coup de maître : « Quand je l’ai rencontré pour la première fois en région parisienne, j’ai de suite été séduit par sa mentalité, son discours. Et comme je marche souvent au feeling… » « Ma fierté, c’est d’avoir pu assembler un puzzle d’hommes avec lesquels le coach peut travailler en confiance et avec de la compétence, ajoute De Sousa. Quand je vois les liens qui unissent le staff aujourd’hui, je me dis qu’on a réussi à construire une véritable famille. D’ailleurs, je pense que le fait d’avoir gardé des liens avec le
staff et les joueurs durant le premier confinement a permis de relancer plus facilement la machine cette saison. » Pour eux, cette fin de saison avortée, en mars 2020, alors que l’Estac avait des chances de monter en L1, restera comme un énorme regret. « J’aurais été curieux de voir ce qu’il se serait
passé », confie De Sousa.
« Je leur tire mon chapeau »
S’ils ont préparé et démarré cette saison du titre, les deux anciens dirigeants se sentent-ils pour autant dans la peau d’un champion de France ? « Non, c’est forcément différent de 2015, répond Masoni. Là, je ne suis pas présent. » L’ancien président est quand même ravi de voir que l’Estac qu’il a laissée en septembre et celle qui est titrée en mai sont sensiblement les mêmes : « Oui, je vois que sportivement et administrativement, beaucoup de choses ont été maintenues. City a fait confiance aux équipes que j’avais mises en place. Ils sont restés dans la continuité, je leur tire mon chapeau car c’est une preuve d’humilité, d’intelligence et d’une certaine vision du foot. Quand j’ai revendu le club, il était hors de question de la laisser à n’importe qui. Au final, c’est une bonne décision. » Alors que François Baroin a répété qu’avec CFG, l’Estac avait désormais la surface financière pour pérenniser le club dans l’élite, Masoni rétorque : « C’est normal de penser ça. Mais je ne suis pas dans les petits papiers de City, je ne sais pas ce qu’ils comptent faire pour la saison prochaine. » Et puis de toute façon, ce ne sont plus ses affaires.
Une revanche après les critiques ?
Régulièrement critiqués, parfois à raison, pour la gestion des mercatos, Luis De Sousa et Daniel Masoni savourent-ils aujourd’hui de voir l’équipe actuelle, qu’ils ont bâtie à moindre coût, devenir championne de Ligue 2 ? « Je comprends les supporters, qui voient de gros transferts dans d’autres clubs, lance l’ancien directeur sportif. Mais il y avait une réalité, celle de respecter un cahier des charges financier. Il ne fallait pas se tromper, ni dans la valeur intrinsèque des joueurs, ni dans leur état d’esprit, qui comptait encore davantage à nos yeux. » Au rang de ses plus belles « pioches », De Sousa cite en premier Tristan Dingomé, qu’il a fait venir de Mouscron. Il parle aussi de Christophe Hérelle, Boubakar Kouyaté ou encore Adama Niane. Daniel Masoni, lui, constate qu’« avec les mêmes moyens, puisque rien n’a bougé, le club a réussi à monter ». Si l’ancien président ne garde aucune amertume – « à ce poste, on est un jour adulé, un autre critiqué » –, qu’en est-il de Luis De Sousa, licencié par City group ? « Déjà, c’est la première fois que ça m’arrive, c’est une sensation bizarre. Et puis ce n’est pas ce que m’avait dit Simon Cliff lorsqu’il a débarqué à Troyes. Pourtant, un mois après… Même si c’est logique qu’un nouveau propriétaire veuille placer ses hommes. Mais j’ai quand même vécu cette saison par procuration, en gardant contact avec des joueurs et des membres du staff. » Il étudie désormais des offres pour rebondir ailleurs : « J’ai quelques propositions, je dois faire le bon choix. Quel que soit le niveau du club, l’important pour moi, ce seront les hommes qui composent le projet. »