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And of 3 a écrit :tant mieux, un jour, quand il aura pris du plomb dans la cervelle, peut etre que ce branleur qu'il realisera qu'il a craqué totalement en foutant en l'air son debut de carriere pro. et il s'en mordra les doigts
Je ne connais pas l'homme, mais il doit surtout être très mal entouré pour avoir une telle attitude ! il n'a pas de famille pour le remettre dans le droit chemin ?
Hiro a écrit :
Vieillot par contre, aucune idée.. D'ailleurs j'aimerais bien savoir ce qui s'est réellement passé avec lui, cette histoire de non-présentation à l'entraînement c'était un beau flou artistique..
Article vue dans francefootball
27/03/2013 à 14:250 commentaires L1 - Troyes
Nous avons retrouvé Frédéric Vieillot
Il était professionnel. «Était» car Frédéric Vieillot (22 ans), il y a plusieurs mois, a décidé de quitter le club de Troyes et le football de haut niveau sur un coup de tête. Désormais, il se ressource dans les Yvelines au club de Marly-le-Roi, tout en travaillant en alternance. Un changement de vie radical qu'il nous a expliqué. Entretien. (Photo Tanguy LE SEVILLER)
«Frédéric, vous avez stoppé votre carrière professionnelle il y a plusieurs mois après vos expériences à Troyes et Beauvais. Que devenez-vous ?
Je joue à Marly-le-Roi, dans les Yvelines, en Excellence. Je suis en bac pro électro-technique (il travaille en alternance avec Elect, une société versaillaise, ndlr), ça ouvre énormément de portes. Je suis en classe avec des gens de 16-17 ans, mais je m'en fiche. Je suis là pour moi. Je veux réussir dans ma petite vie.
Pourquoi avez-vous décidé de quitter le monde professionnel ?
Je ne m'épanouissais pas, tout simplement. Ça ne me plaisait pas et à cause d'un truc bête, je suis parti. Ça a été dur de rebondir après, car il faut passer d'une vie de footballeur professionnel à celle de chômeur ou d'étudiant, mais maintenant ça va mieux.
Vous avez tout de même gardé de beaux souvenirs de votre passage à Troyes ?
Bien sûr ! Ils m'ont formé, ils m'ont permis de toucher le monde professionnel. C'était mon rêve de gamin. Ils ont tout fait pour moi. Les années de centre de formation, je n'oublierai jamais. J'ai vécu aussi la montée de National en Ligue 2, c'était fou. Je m'étais fait des bons potes là-bas, comme Fabrice N'Sakala, avec qui je suis encore en contact. Il y avait aussi Julien Faussurier, Benjamin Psaume ou encore Grégory Bettiol. Et à Beauvais, c'était génial aussi !
A quoi aspirez-vous désormais ?
Je veux sauver mon club de Marly (les Marlychois sont 12es sur 13 dans leur Championnat, ndlr), même si je suis actuellement blessé à la cuisse. C'était d'ailleurs dur de devoir retrouver le rythme. J'avais l'impression que tout allait au ralenti. J'ai mis un mois ou deux à m'adapter. Je veux réussir dans ma petite vie. Ma prochaine étape, c'est le diplôme, puis après ce sera le CDI.»