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romainpat94@free.fr a écrit : ↑03 déc. 2023, 08:20
J'avais un doute d'avoir rêvé cette victoire ... On a tellement attendu ... On a des faits de jeu favorables mais quand même l'impression qu on est allé les chercher et que c est reproductible contrairement aux quelques coups de bol de PK ... Content de revoir Chavalerin
L’estac avait plus faim que Bordeaux sur ce match.
C’est une question de mentalité sur ce match. Et pas de technique.
Comme quoi … Kisnorbo doit se dire que cela vient de lui. Puisque ça fait 1 an qu’il inculque la mentalité de gagneur …
Les joueurs non mais il a été compris par certains ... Il semblerait qu une colonie de morse ait remonté la seine pour venir s installer derrière la tribune Seine ... A l'appel du pk (râle anglo australien désormais réputé chez les oceanographers aubois de l'est eclair) lors des soirs de match, ils se seraient hasardés jusqu'au tribune désormais désertés ..
On ne les aurait plus aperçus depuis mercredi dernier ...
Il est temps pour les supporters de se réapproprier le stade
Albert Riera, en conférence de presse d’après match, s’est exprimé le fait que les Girondins de Bordeaux n’aient pas marqué malgré un grand nombre de tirs face à Troyes.
« Il y a eu quelques moments de précipitation, spécialement quand tu perds… On a tiré 23 fois, mais on en a cadrés cinq. Pff… L’efficacité, ouais, beaucoup… Pourtant, c’est quelque chose qu’on travaille. Mais à la fin… Le plus important, ce sont les joueurs. On le travaille mais si tu ne cadres que cinq fois sur 23 tirs… Normalement c’est 30%, 30%, c’est une règle. Tu dois cadrer 30% de tes frappes, dont à peu près 8, et 30% de ce pourcentage en buts, donc 2-3 buts… On n’a pas fait ces statistiques que l’on doit faire ».
En fait, encore une fois, Bordeaux a eu un manque de réalisme.
« Ça a été aussi l’adversaire, parce qu’il y a eu deux fois où pour Vipi, c’était très clair, et les défenseurs sont passés devant lui et ont arrêté sa frappe. Après, parler des occasions à la fin d’un match, c’est la qualité des joueurs, je n’aime pas parler de ça, mais… Il me vient à l’esprit une opportunité très claire. Pour moi, la plus claire, parce qu’on le travaille, c’est la seconde mi-temps, par Zuriko, qui rentre dedans, dedans, dedans… Quand il passe les 2-3 défenseurs, et qu’il se retrouve au centre de la surface de réparation. Là, c’est la qualité, tu n’as pas besoin de mettre de la force, tu es à 15-16 mètres, tu dois trouver le côté… Pour moi, ça, c’est plus une erreur, parce que ça, on le travaille toutes les semaines, quand fait de la finition. Je ne les laisse frapper seulement qu’avec l’intérieur du pied… Pour les autres occasions, bon, voilà… A la fin, c’est l’efficacité… Le nombre de passes, le nombre de frappes… Ce ne sont que les trois points qui comptent. Mais c’est difficile à digérer quand tu es meilleur que l’adversaire sur tous les aspects. Même à dix on a été meilleurs que l’adversaire, mais qu’est-ce que ça veut dire être meilleur que l’adversaire ?! (sourire) ».
Les notes de Sud Ouest pour Bordeaux
6/10 : Rafal Straczek, Jérémy Livolant
4/10 : Clément Michelin, Stian Gregersen, Yoann Barbet, Danylo Ignatenko, Pedro Diaz, Zuriko Davitashvili
3/10 : Gaétan Weissbeck, Zan Vipotnik
1/10 : Jacques Ekomié : « On l’a très peu vu, à la fois défensivement et offensivement, jusqu’au but troyen où il n’anticipe absolument pas l’appel de Lefebvre qui le prend de vitesse à son intérieur (34e). Toujours rien à signaler, puis il commet une faute sur Lefebvre qui allait se présenter face à Straczek, et reçoit un carton rouge logique (64e). Un après-midi à oublier. Après le pénalty provoqué au Paris FC la semaine dernière, cela commence à faire beaucoup ».
Riera a oublié 2 aspects fondamentaux pour son équipe. Qui dans le foot troyen nous manque depuis 1 an et sont cruellement importants, mais que nous avons retrouvé hier :
- avoir plus l’envie de l’autre équipe de gagner
- avoir une solidarité entre joueurs de manière exemplaire
C’est comme cela que les petites équipes arrivent à se hisser à des phases finales de coupe de France.
Dans un match à couteaux tirés, les stats sont limites secondaires.
Mais le football moderne n’est fait que de stats, palettes et autres datas …
Donc son analyse est stéréotypée.
Oui, en gros il dit que s'ils avaient marqué plus de buts que nous ils auraient gagné ... Et avec le couplet traditionnel du "on était meilleur que l'adversaire", du classique quoi.