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[Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

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Jerome51
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par Jerome51 »

Quelqu’un a l article sur Dumont dans l EE
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Gigis10
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par Gigis10 »

Voici l'article de l'EE du jour ;)
Grand portrait : Stéphane Dumont, entraîneur de l’Estac, est un mec normal… et ce n’est pas banal

L’entraîneur de l’Estac n’est pas un footballeur bling-bling. Il n’aime pas les voitures, ne porte ni bijoux ni costume trois-pièces. C’est « un mec normal », « simple mais très respectueux » comme le disent avec affection ses proches. Un homme qui « colle parfaitement au territoire » selon Gaël Sanz, « qui a les mêmes valeurs que les gens d’ici ». Rencontre.

Mercredi dernier, avant la belle victoire décrochée sur la pelouse du Red Star, Stéphane Dumont nous a reçus, après le repas, avant une réunion technique, dans un des bureaux du stade de l’Aube. Une pièce exiguë, borgne, sans chaleur. Tout le contraire de l’entraîneur troyen, présent depuis désormais trois mois dans l’Aube. Sans filtre, avec la gentillesse qui le caractérise, le Nordiste de 42 ans s’est dévoilé. L’objectif de cette rencontre était d’oublier la tactique et le jeu pour ne se concentrer que sur l’homme. « Cela me va bien », a-t-il souri, avant de se livrer pendant une heure. Une heure de pur plaisir.

Parti pour se régénérer… mais recruté par Troyes

Trois jours avant le début du championnat, juste après la mise à l’écart de David Guion, Stéphane Dumont a débarqué sur les rives de Seine. Un peu à la hâte. Mais avec l’ambition de réussir, comme toujours. « Si j’ai quitté Guingamp, rappelle-t-il, après trois années là-bas, c’est que j’estimais que c’était le bon moment. Pour moi, pour le club aussi. Il fallait passer à autre chose. J’étais parti pour calmer le jeu, me régénérer, continuer à m’enrichir sur d’autres sujets. J’avais imaginé un process pour vivre pleinement l’année ou les six mois qui suivaient. Les clubs allaient reprendre la compétition, les places étaient occupées. Mais cette opportunité est arrivée. » Son épouse Amélie, ses deux enfants Inès (15 ans) et Clément (bientôt 14 ans), Stéphane les avaient ramenés avec lui à Templeuve, petite bourgade du Nord de la France, nichée dans ce que l’on appelle la Pévèle, à une vingtaine de bornes de Lille, où Stéphane et Amélie ont grandi, où une bonne partie de leur famille vit

« J’ai réalisé tous les rêves que pouvait nourrir un joueur formé dans un club qu’il a supporté »

Amélie est enseignante, en maternelle cette année. Elle a obtenu une mutation, depuis Saint-Brieuc, où elle exerçait ces deux dernières années, à Seclin, là où est né Stéphane. « Mais je n’y ai jamais vécu », coupe-t-il. La ville de Seclin est située de l’autre côté de l’autoroute. Pas très loin de Templeuve. Mais ce n’est pas le fief des Dumont. « Seclin joue en rouge et jaune », sourit « Steph », les couleurs de Lens, le club rival du LOSC qui évolue, lui, en « rouge et blanc », que les Dumont supportent depuis toujours. « J’étais dans le ventre de ma mère quand je suis allé pour la première fois au stade Grimonprez-Jooris, révèle-t-il. Je serai supporter de Lille toute ma vie. À l’âge de 9 ans, j’ai rejoint le LOSC, j’y ai tout connu ; les équipes de jeunes, l’épopée en Gambardella (« un bon et un mauvais souvenir, ose-t-il. J’ai marqué le but de la qualification en demi-finales, avant de me faire exclure et de vivre la finale, face à Auxerre, au stade de France, dans les tribunes »), mon premier match pro, la Champions League, le capitanat, le doublé Championnat-Coupe de France. J’ai réalisé tous les rêves que pouvait nourrir un joueur formé dans un club qu’il a supporté. » Une fois qu’il « avait coché toutes les cases possibles et imaginables », Stéphane a quitté le nid. « Quand Monaco est venu me chercher, j’avais envie de vivre cette expérience. L’expérience la plus importante de mon cursus. Celle d’être sorti de mon cocon, d’être allé chercher autre chose. J’ai côtoyé un staff italien, on a été champion de France de Ligue 2. J’ai vécu plein de choses avec Claudio Ranieri. Malheureusement, mon genou ne m’a pas laissé tranquille. Et, à 31 ans, un peu tôt, j’ai dû raccrocher. » Il répète que les blessures « ont fait partie de (son) cursus », qu’elles l’ont « construit ».

« Je n’étais jamais le premier sur la liste. Mais j’étais toujours là à la fin »

Contrairement à beaucoup d’autres, Stéphane, qui a stoppé l’école une fois le bac en poche (« c’était trop dur de concilier les entraînements le matin, la carrière d’un footballeur professionnel et les études », juge-t-il), avait préparé l’avenir. « Quand j’ai arrêté, j’avais déjà mes diplômes d’entraîneur. Je pouvais basculer », dans un nouveau monde. Son tuteur pour le diplôme, David Mairesse, CTD de l’Escaut à l’époque, l’a proposé à Jean-Michel Vandamme, actuel directeur du centre de formation nordiste. « David savait que je cherchais des gens qui avaient l’ADN LOSC pour encadrer les jeunes, se souvient Vandamme. Il m’a dit que Steph Dumont était disponible. Je n’avais pas pensé à lui. Je l’ai appelé, on s’est rencontré. Et j’ai vite compris. » Quoi ? « Que Stéphane avait d’énormes qualités, qu’il savait où il allait, ce qu’il voulait. Ce garçon aime tellement le football, transmettre. Dans sa carrière, ce qui a toujours fait la différence, c’est sa force mentale supérieure aux autres. Il n’était pas un joueur phare. Mais il a fini capitaine du LOSC, c’est dire. » « Durant toute ma carrière jusqu’à ce que je signe pro (« même chez les pros », coupe Vandamme), je n’étais jamais le premier sur la liste. Mais j’étais toujours là à la fin », confie Stéphane Dumont. « Oui, c’est ça, ajoute Arnaud Balijon, ancien gardien de Reims et Dunkerque, aujourd’hui à Cannes. J’ai joué avec Edwin Pindi et Stéphane, deux super mecs. Steph, c’est le gars sur qui tu ne comptais jamais trop mais qui jouait tout le temps. Quand il est passé seniors, il a explosé. En gardant ce calme qui le caractérise si bien. Je ne l’ai jamais vu monter dans les tours. Il sait se contenir, a toujours su faire passer ses messages. » En douceur. Avec tact. « Je suis respectueux », résume Dumont. « Il a le cœur sur la main, loue Amélie, son épouse. Il est discret, très posé, toujours réfléchi. »

« Le gars qui ne te trahira jamais »

« C’est Michel Vandamme (ancien joueur de Sedan dans les années 50, NDLR), le papa de Jean-Michel, qui est venu nous chercher dans le petit club de Fretin, raconte Mickaël, d’un an le cadet de Stéphane. Le LOSC a pris quatre gamins de Fretin. Les frères Dumont, mais aussi les frères Debuchy, Mathieu et Grégoire. Grégoire a fait une belle petite carrière (jusqu’en CFA), Mathieu et Stéphane une très grande carrière. Moi, je n’ai pas été conservé par le LOSC en U17. Je suis revenu à Templeuve, jouer avec les copains. Je ne nourris aucun regret. Au contraire des trois autres, j’étais moins bosseur, j’avais moins envie de réussir, moins cette mentalité de me faire violence. Stéphane a toujours eu une mentalité de fer. Je n’ai jamais été envieux. Au contraire, j’ai toujours été son premier fan. Je le suis encore. J’ai vécu le professionnalisme à travers sa carrière. Je suis parti aux quatre coins de l’Europe, en voiture, avec mon écharpe, son maillot sur le dos, pour l’encourager. Tous les sacrifices que nos parents ont faits pour nous ont payé avec Stéphane. » « Il avait d’énormes qualités de combattant, se remémore Jean-Michel Vandamme. Steph, c’était le joueur que tu voulais avoir dans ton équipe, le gars qui ne te trahira jamais, avec qui tu aimes voyager. »

Ne pas être catalogué « LOSC à vie »

Après quatre ans au LOSC, à s’occuper des U17 et U19, Stéphane Dumont a pourtant quitté le club qu’il aime tant. « La mort dans l’âme, je ne pouvais pas répondre tout de suite à ses attentes, révèle « Jean-Mich », comme l’appelle Stéphane avec tendresse. Si j’avais pu lui confier la réserve, mais le poste était occupé par Pat Collot, il ne serait jamais parti. Mon rêve absolu est de voir, un jour, Stéphane entraîner l’équipe première. » « Je n’ai aujourd’hui aucun regret de ne pas avoir été patient, souligne le coach de l’Estac. Je ne voulais pas être étiqueté LOSC à vie. Quand vous démarrez dans votre club, que vous y faites carrière et que cela se passe moins bien, vous êtes catalogué, les gens pensent que vous ne pouvez travailler que dans un endroit. Je ne voulais pas ça. »

« Je n’ai pas hésité à saisir les opportunités qui se sont offertes à moi »

Derrière le personnage « discret et simple », « toujours poli et respectueux », qui « sait d’où il vient », décrit l’un de ses amis, se cache un homme sûr de lui, très ambitieux. « À Lille, quand j’ai senti que ça allait aller moins vite que ce que je voulais, je n’ai pas hésité à saisir les opportunités qui se sont offertes à moi, dit-il. Cela s’est finalement très bien goupillé. » Adjoint de David Guion à Reims, Dumont a découvert la Ligue 2, une montée en Ligue 1, trois belles saisons au plus haut niveau en Champagne. Puis un départ vers Guingamp, pour voler de ses propres ailes. « J’ai senti que c’était le bon moment. À Guingamp, quand je suis arrivé, la situation n’était pas si rose. Le club s’était maintenu en Ligue 2 de justesse, avec deux changements de coach et un changement de président en un an. L’effectif avait été renouvelé. On avait fait six premiers mois corrects, en bataillant, avant de finir en trombe, sur 8 victoires en 10 journées. » Deux ans plus tard, le sentiment du devoir accompli, Stéphane Dumont a quitté les Côtes-d’Armor. Pour, quelques semaines plus tard, commencer une nouvelle aventure dans l’Aube.

Hâte de se retrouver en famille à Troyes

Troyes, justement. Après quelque temps à l’hôtel, le technicien, recruté par Antoine Sibierski, a emménagé dans le centre-ville, près de la cathédrale. Son épouse et ses enfants sont restés « là-haut », « où on a nos familles », précise Stéphane. « Avec l’Estac, cela s’est fait si vite… Il a fallu trouver une logistique particulière. Souvent, le week-end, Amélie et les enfants font la route pour me voir. On aimerait évidemment se retrouver tous ensemble. » Mais il lui faudra patienter. « Cette distance n’est jamais simple à gérer, confie Amélie. On s’organise de la meilleure façon pour que cela se passe bien. Avec les enfants, on ne pourra de toute façon pas rejoindre Stéphane avant la fin de l’année scolaire. On est tous impatient de se retrouver. » « On a hâte », déclare le couple. D’autant que les Dumont apprécient le secteur. « Troyes est une jolie ville, où il y a beaucoup à faire », complimente Amélie. « Je prends encore le temps de la découvrir, rebondit le coach. Je suis bien installé. Troyes est une ville assez simple, qui me caractérise, où tout est à proximité. Au quotidien, je fais tout à pied. J’ai visité les musées, le Bouchon. J’essaye de m’imprégner de la ville, je suis allé deux ou trois fois au cinéma. Des gens me reconnaissent, si certains n’osent pas, d’autres me saluent, quelques-uns viennent me parler. C’est agréable. »

« Je n’aime pas les voitures… »

Ses journées sont surtout très chargées, rythmées par la performance. De 7 h 30 à 19 h, le plus souvent, Stéphane reste au stade, où il prépare et anime les séances, gère son groupe, imagine l’avenir. « Quand il était joueur, il était toujours intéressant en conf’, se remémore Gaëlle Laurent, ancienne journaliste à Nord-Eclair chargée de suivre le LOSC au quotidien. Mais je ne l’imaginais pas entraîneur. Alors qu’il est très bon aujourd’hui. Il était discret, n’avait rien du footballeur bling-bling. Il était loin des stéréotypes, du joueur de foot tatoué, qui porte des fringues voyantes et qui aime les grosses voitures. » « Je suis d’accord, sourit l’intéressé. Je suis loin de tout ça, des clichés, je suis anti-bling-bling. Je n’aime pas les voitures. Beaucoup de choses ne m’intéressent pas. Je n’ai d’ailleurs pas beaucoup de passions, en dehors de ma famille, à part la lecture, sous toutes ses formes, le football et les chevaux (lire par ailleurs). Je n’en demande pas plus. »

Vivre l’instant présent

Durant la semaine, Stéphane se concentre exclusivement sur le football, avant de se consacrer à la famille le week-end. « Quand je rentre à chez moi, je regarde beaucoup de foot à la télé, avoue-t-il. Ça va, Amélie aime ça. » Elle comprend aussi que c’est le métier de son mari, sait se montrer discrète (« Je le laisse parfois dans sa bulle, dit-elle. Après un match, je le laisse tranquille. Il a parfois envie de s’exprimer, parfois moins. »). « À la maison, il y a toujours la télé allumée, avec un match à regarder, avoue-t-il. Oui, j’adore ça. J’arrive parfois à me détacher, à regarder la rencontre comme un simple supporter. Mais c’est rare. Tout me ramène au travail, à ce que je fais au quotidien, à ce que je ferais à la place de l’entraîneur, comment je pourrais transposer cette phase-ci ou cette phase-là dans mon travail. J’ai la chance que cela n’ennuie pas mon épouse. » Encore moins son fils, Clément, fou de foot. « Il jouait à Reims quand j’entraînais à Reims, à Guingamp quand j’étais coach d’En Avant. Là, il évolue à Templeuve. Il est bon ? Je ne serais pas objectif. Il prend surtout du plaisir. » Peut-être, rapidement, rejoindra-t-il l’Estac ? « A Guingamp, c’était simple, recadre Stephane Dumont. Les jeunes s’entraînaient sur le même site que les pros. Quand j’avais fini ma séance, je l’attendais et le ramenais. À Troyes, du stade, où on vit, on ne voit pas les autres équipes », basées à Henri-Terré.

Aujourd’hui, Stéphane Dumont ne se projette pas. « On a toujours envie d’avancer, d’être au plus haut. Mais quand on se projette, on oublie un peu l’instant présent. Et cela nous éloigne de ce que l’on doit faire. Carpe diem ? Oui, c’est ça. Le cercle des poètes disparus est l’un de mes films préférés. »

« J’ai une vraie confiance en ce que je suis capable de faire et d’apporter »

Le technicien, à Troyes, est en mission. Il a rapidement mesuré la difficulté de la tâche. « Quand je suis arrivé, j’ai senti combien le club était malade. Il l’est encore. L’atmosphère était lourde à l’extérieur, elle était pesante à l’intérieur. Une fois à l’intérieur, vous comprenez pourquoi on est là. Vous fixez alors des étapes, pas trop grosses, pour pouvoir les atteindre. » Il a confiance. « Je viens tous les jours à l’entraînement pour faire avancer l’équipe. Et je considère qu’on avance. Quand j’étais joueur, j’ai parfois manqué de confiance, à cause des blessures. Dès lors que je suis passé de l’autre côté de la barrière, j’ai eu confiance en moi. Une confiance très prononcée. Je n’ai pas un ego surdimensionné mais une vraie confiance en ce que je suis capable de faire et d’apporter. » « Stéphane était, j’en suis persuadé, le meilleur choix possible pour notre ville, pour notre club, conclut Gaël Sanz, président de l’Association Estac, lui aussi ancien Lillois. Son profil colle parfaitement avec les valeurs du club et notre territoire. Avec lui, avec Antoine (Sibierski), je suis convaincu qu’on va réussir. »
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jerem2
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par jerem2 »

Merci.
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Fab5210
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par Fab5210 »

Merci encore Gigi pour l article
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par romainpat94@free.fr »

Merci et joli article à saluer ..tant sur le sujet que sur la mise en forme ...
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palex
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par palex »

Merci pour l'article !
Ce SD a vraiment l'air d'être un mec bien et ... un entraîneur qui sait ce qu'il veut.
Genre BI, la grosse tête en moins.
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roro10
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par roro10 »

merci Gigis pour cet article et tous les autres aussi.
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Tristanestac
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par Tristanestac »

Merci Gigis pour l’article.
« SD a l’air d’être un mec bien » comme Batles, Irles, Kisnorbo et Guion après le même style d’article :lol:
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TontonManu
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Re: [Entraîneur] Stéphane Dumont >> juin 2026 (+1 an en option)

Message par TontonManu »

Alors ça c’est pas faux ! 😉 Je me souviens encore des premiers articles de l’EE sur PK … je ne sais pas si eux s’en souviennent par contre
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