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L'actualité de l'ESTAC Troyes en Ligue 2 BKT : discussions d'avant-matches et d'après-matches, notes, débats. Infos sur les équipes de N3, féminines, jeunes...
palex a écrit : ↑15 oct. 2023, 13:33
Un peu cornélien tout ça ! On n'en peut plus de la momie et du kangourou mais j'ai du mal à en vouloir à nos joueurs, des gamins de 18 à 22 ans pour la plupart. Eux méritent d'être soutenus. Ainsi que leur "guides" : les anciens que sont Tahrat, Chavalerin, Mchangama et De Preville, expérimentés et bons mecs.
Le problème est que ces joueurs continuent de soutenir les fraudes dans le staff. Je les considère donc aussi responsables de la dégringolade du club en ne prenant pas leurs responsabilités pour faire bouger les choses.
Quand des joueurs lâchent un entraîneur ça se voit, ça s’est toujours fait. Eux continuent à le soutenir, ça s’est bien vu contre Auxerre où ils ont sorti leur meilleur match alors que paradoxalement PK était a priori menacé (au final non, mais c’était la tendance).
Tristanestac a écrit : ↑16 oct. 2023, 12:18
Quand des joueurs lâchent un entraîneur ça se voit, ça s’est toujours fait. Eux continuent à le soutenir, ça s’est bien vu contre Auxerre où ils ont sorti leur meilleur match alors que paradoxalement PK était a priori menacé (au final non, mais c’était la tendance).
Contre Auxerre, il devait y avoir 0-3 ou 0-4 à la mi temps
C'est contre Saint Etienne
palex a écrit : ↑15 oct. 2023, 13:33
Un peu cornélien tout ça ! On n'en peut plus de la momie et du kangourou mais j'ai du mal à en vouloir à nos joueurs, des gamins de 18 à 22 ans pour la plupart. Eux méritent d'être soutenus. Ainsi que leur "guides" : les anciens que sont Tahrat, Chavalerin, Mchangama et De Preville, expérimentés et bons mecs.
Le problème est que ces joueurs continuent de soutenir les fraudes dans le staff. Je les considère donc aussi responsables de la dégringolade du club en ne prenant pas leurs responsabilités pour faire bouger les choses.
Quand des joueurs lâchent un entraîneur ça se voit, ça s’est toujours fait. Eux continuent à le soutenir, ça s’est bien vu contre Auxerre où ils ont sorti leur meilleur match alors que paradoxalement PK était a priori menacé (au final non, mais c’était la tendance).
Tristanestac a écrit : ↑16 oct. 2023, 12:18
Quand des joueurs lâchent un entraîneur ça se voit, ça s’est toujours fait. Eux continuent à le soutenir, ça s’est bien vu contre Auxerre où ils ont sorti leur meilleur match alors que paradoxalement PK était a priori menacé (au final non, mais c’était la tendance).
Contre Auxerre, il devait y avoir 0-3 ou 0-4 à la mi temps
C'est contre Saint Etienne
Oups exact, je sais même pas comment j’ai fait tellement c’était le seul match avec un minimum de contenu
Le FC Girona est la bonne surprise de la première division espagnole. Le club, qui appartient au City football group depuis 2017, compte deux points de retard sur le Real Madrid, leader après neuf journées. Une réussite pour le CFG, dont les dirigeants, lors de la visite à Troyes il y a deux semaines, ont mentionné cet exemple à plusieurs reprises lors des réunions, pour justifier leur volonté d’insister avec Patrick Kisnorbo.
Car le club catalan est remonté en Liga à l’issue d’une saison 2021-2022 dont rêveraient aujourd’hui les Troyens. Relégable avant la trêve, l’équipe de l’entraîneur Michel – qui a d’ailleurs prolongé à ce moment-là – a accroché une sixième place qualificative pour les playoffs d’accession. Quel levier a été activé pour effectuer cette remontée ? « Il n’y a pas eu de recrutement majeur mais on a mieux joué, explique Grégory Callort, community manager du compte Twitter Girona FC France. Je pense que l’effectif a mieux compris où voulait arriver le coach. Au final, on n’a quasiment jamais été dans les six premiers mais on a enchaîné sept victoires de rang pour accrocher les playoffs. »
Michel, le Kisnorbo espagnol ?
Moins de deux ans plus tard, Michel est toujours en place et son équipe cartonne dans l’élite. Patrick Kisnorbo signerait des deux mains pour un tel destin. Mais, comme le font les dirigeants du CFG, peut-on vraiment comparer les deux clubs ? « Sur certains points, on peut comparer : ce sont deux villes moyennes qui évoluent dans deux grands pays de football, note Grégory, qui habite à Perpignan, à une heure de Gérone. Même si Troyes avait déjà connu l’élite par le passé, au contraire de Girona. J’ai également trouvé beaucoup de similitudes et d’entêtement avec le coach et la méthode lors de votre descente l’an dernier et la nôtre fin 2019. »
En effet, lors de la saison 2018-2019, après un début de saison réussi en Première division, Gérone dévisse et se retrouve relégable à quelques journées de la fin. « Et là le coach est confirmé !, rappelle notre interlocuteur. On continue à perdre et on descend. » La ressemblance avec la saison dernière de l’Estac est troublante, sauf qu’à l’intersaison, Gérone avait alors changé d’entraîneur…
Le club catalan est ensuite resté trois saisons en Liga B, « en perdant deux finales d’accession les deux premières années. Le budget a ensuite bien fondu car le paquet avait été mis, en vain, pour une remontée directe. » C’est donc au terme de la troisième saison que Gérone retrouve l’élite. « Nous remontons l’année où nous le méritons le moins. La saison dernière se passe extrêmement bien, on loupe l’Europe à la dernière journée. Au mercato d’été, on perd quatre cadres (Romeu, Bueno, Riquelme et Castellanos) et personne n’aurait pensé à ce début de saison exceptionnel. On vit un véritable conte de fées et on a déjà plus de la moitié des points nécessaires pour le maintien. On devrait vivre une troisième saison consécutive en Liga, ce qui n’est jamais arrivé. »
Ainsi, les supporters géronais sont aujourd’hui satisfaits de vivre sous l’égide du City football group. « L’impact du CFG est simple : il a évité la disparition du club. Lors des discussions en vue du rachat, les joueurs avaient plusieurs mois de salaires en retard. L’arrivée du CFG a permis d’éponger ce passif. L’actionnaire a apporté des moyens supplémentaires qui ont aidé à la première montée en Liga. Le gros point noir reste le stade, assez vieux et petit. Des discussions ont lieux pour le moderniser, mais rien de concret concernant cela. »
La même obstination, le même centre d’entraînement, le même projet autour des jeunes...
En revanche, comme à Troyes, City va construire un centre d’entraînement flambant neuf à Gérone. « Cela doit apporter une autre dimension au club qui, depuis plusieurs saisons, forme très bien et attire beaucoup de jeunes. » Là aussi, la jeunesse est au cœur de la stratégie de City. « La volonté est de former beaucoup de joueurs et, à terme, de s’appuyer sur eux. L’idée est de vendre cher les meilleurs actifs du club comme on l’a fait pour Bueno, arrivé pour zéro et vendu plus de 10M €. Arnau Martínez devrait suivre et devenir la plus grosse vente du club. C’est logique pour un club comme nous, sauf si tu arrives à être européen plusieurs saisons de suite. » Gérone, en continuant sur ce rythme, pourrait découvrir l’Europe la saison prochaine. L’Estac, elle, l’a déjà découverte. Et c’était avant l’arrivée de City.
Le projet est cohérent et alléchant sur le papier mais si tu mets quelqu'un qui n'a pas le permis de conduire au volant d'une Formule 1 tu n'iras nulle part.