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Les anciennes gloires (ou pas) de l'ESTAC. Retrouvez toutes les fiches joueurs des anciens joueurs de l'ESTAC : Blaise Matuidi, Djibril Sidibé, Corentin Jean...
Dies Irae 10 a écrit : ↑28 nov. 2022, 16:17
Je prefere miser 100 balles sur Schumi 1er au scratch dans une F3000 a la course de cote de Montgueux que de mettre une rondelle sur Alesi qui ferait la pole, dans sa Ferrari sur Spa Francorchamps.
En un mot, vaut mieux un bon entraineur sur une Ligue qu il ne connait pas qu un mauvais sur une Ligue qu il connait.
Oui enfin Schumi c’est pas le meilleur exemple en tout cas…le pauvre il irait pas bien loin dans l’état qu’il est…. Pour le coup je miserais sur Alesi
Oui je me suis apercu qu apres de la boulette.
Enfin l image est là, disons Schumi dans ses belles années...
Ou sinon on peut le remplacer par S. Loeb ca marche aussi avec lui...
Dies Irae 10 a écrit : ↑28 nov. 2022, 16:17
En tt les cas moi je suis super enthousiaste de l arrivée de PK, j attends avec impatience les 1er match, rarement un nouvel entraineur ne m a succité autant d espoirs.
Le pari de CFG est effectivement tres c.o.u.i.l.l.u, mais les gars c est pas des amateurs, ils n ont pas des tetes d apprenti chimiste, je suis sur qu ils savent parfaitement ce qu ils font, la methode empirique ne doit pas faire parti de leurs managing. Pour moi total confiance.
Là je crois que ce coup ci on est bien rentré dans l ere CFG.
En plus PK ca l air d etre un rude, a mon avis qd il dit " Tu cours....!" Et ben le gars il court...
Qq choses me dit que Palmer Brown, que j aime bien d ailleurs, va devoir prendre des cours de Francais...
Et pour paraphraser un post d un forumeur que je ne me souviens plus qui c est...
Je prefere miser 100 balles sur Schumi 1er au scratch dans une F3000 a la course de cote de Montgueux que de mettre une rondelle sur Alesi qui ferait la pole, dans sa Ferrari sur Spa Francorchamps.
En un mot, vaut mieux un bon entraineur sur une Ligue qu il ne connait pas qu un mauvais sur une Ligue qu il connait.
En gros tu trouves Alesi séduisant ...
Je te rejoins, cela peut pas faire de mal d avoir un homme a poigne, en réussite et adoubé par la caste cfg ...
Qqun est allé à l'entraînement ? Ils devaient courrir comme des lapins la team marmelade...
C est un vrai pari que CFG fait avec PK, mais je pense qu ils ont mesuré les risques. Aucun interets pour eux de mettre en peril une equipe nouvellement acquise, il y va de leur credibilité en Ligue 1 Francaise.
Surtout qu on doit etre tres observé du coin de l oeil pour voir a quoi ressemble le systeme CFG en France.
Et quid de Robin?? Aucune news?
Robin devait rester deuxième adjoint... Il faudra voir sa fonction réelle.
Pour les séances vidéos, on apprend par l'EE que c'est Mombaerts qui fait les traductions. Pas sûr que Robin parle l'anglais.
Vous avez dû voir le discours a la mi-temps de ce bon vieux Hervé Renard, on en a parlé dans ce meme post. La question c’était est ce que la langue est importante pour être un leader d’équipe quand on est étranger et qu’on ne parle pas la langue ? A priori c’est pas tellement un problème, surtout si il y a un bon assistant et un bon traducteur (qui peut faire les deux). Je suis tombé sur la vidéo YouTube d’un type qui fait des analyses assez intéressantes sur la rhétorique, et il fait une vidéo sur ce moment Hervé Renard (il en avait fait une sur Dupraz époque TFC). En général ses vidéos sont mieux construites la c’est un peu à l’arrache mais c’est quand même vraiment pas mal, si ça vous intéresse :
Par ailleurs c’est assez curieux car Renard reproche à un de ses joueurs de rester face à la defense plutôt que d’aller au pressing sur Messi, qui du coup punit l’adversaire. C’est exactement la même chose qu’on aurait pu dire à Kouame contre le PSG justement
Contrairement à son prédécesseur Bruno Irles, Patrick Kisnorbo réalise un sans-faute en matière de communication depuis son arrivée à l’Estac. L’Australien, direct et naturel, met tout le monde dans sa poche. Ce lundi, il a rencontré les joueurs pour la première fois.
Alan Mangin
Une anecdote pour illustrer la sympathie engendrée par Patrick Kisnorbo, le nouvel entraîneur de l’Estac. Alors qu’il mangeait au restaurant avec ses adjoints en centre-ville de Troyes dimanche soir, l’Australien a aperçu et reconnu un jeune journaliste qui l’avait questionné lors de la conférence de presse vendredi. Kisnorbo a pris le temps de le saluer, d’échanger, et cela en arrivant et repartant. Pour le commun des mortels, rien d’extraordinaire ; mais dans la bulle footballistique, cette proximité fait du bien, surtout dans une ville à taille humaine comme Troyes.
Car l’entraîneur va vite s’en rendre compte : il va devenir un personnage identifié dans l’Aube, qui ne compte qu’un seul club professionnel, là où, à Melbourne, il passait inaperçu. Car en Australie, le « soccer » laisse indifférent, contrairement au « footy », un sport proche du rugby, sur un terrain plus grand et ovale. Le critère de la personnalité était donc primordial au moment de trouver un successeur au clivant Bruno Irles.
Pour le moment, sur l’aspect humain, le charismatique Patrick Kisnorbo réalise un sans-faute. Toutes les personnes, en interne ou en externe, qui l’ont déjà rencontré voire qui ont échangé un moment avec lui, parlent pêle-mêle d’un homme « chaleureux », « direct », « ouvert », « souriant », et même « déconneur ». Sur les réseaux sociaux, les tout premiers commentaires suite à sa nomination étaient mitigés (pas de vécu en Ligue 1, pas francophone…). Il a suffi de quelques vidéos mises en ligne par l’Estac et par Melbourne City, dans lesquelles on voit notamment l’entraîneur fendre la carapace, pour voir les commentaires positifs se multiplier.
La communication, celle du club au départ, puis la sienne lors de sa présentation officielle vendredi dernier, a été parfaitement maîtrisée. Le « story telling », une expression adorée des communicants, doit désormais faire face à la réalité du terrain. Hier, les joueurs étaient justement de retour au Stade de l’Aube, après avoir suivi, depuis leur lieu de vacances, la chaude actualité de l’Estac.
« Je ne le connaissais pas du tout, confie Renaud Ripart au sujet de Patrick Kisnorbo. Ce n’est pas plus mal car généralement, quand un coach connu en France arrive, on a toujours des avis ou des échos d’autres joueurs. Là, je vais me faire mon propre avis ; les prochains jours vont être intéressants. »
Mais dès ce lundi, le groupe a eu un aperçu de la façon de manager de l’ancien coach de Melbourne. « On sent qu’il va amener beaucoup de dynamisme, d’énergie, le groupe en a besoin. » Car en raison de récents résultats en berne et d’un quotidien pas toujours très jovial sous Bruno Irles, le vestiaire était un peu moribond.
Par sa fraîcheur et sa personnalité (on dit des adjoints qu’ils sont aussi très conviviaux), le nouveau staff va ramener de la vitalité. « Oui, mais ce n’est que le premier jour, il faut voir sur la durée, tempère Renaud Ripart. Là, c’est tout nouveau mais c’est vrai que ça fait du bien à tout le monde. » Car les joueurs avaient envie de retrouver un coach davantage dans l’affection. « C’est primordial, poursuit l’attaquant troyen. Pour être performant, il y a l’environnement sportif, mais aussi l’humain. Tout cela est de bon augure… »
Dans une rencontre, les premiers instants sont souvent les meilleurs. Et on mesure la qualité d’une relation à sa capacité à surmonter les obstacles.
Pour Kisnorbo et ses joueurs, ils n’arrivent que dans un mois, avec la reprise du championnat le 28 décembre. Pour un président, on dit que l’état de grâce dure cent jours. Pour un entraîneur, il se détériore à chaque mauvais résultat. Sourire ravageur et poignée de main virile ou pas.
Aujourd’hui, mardi 29 novembre, je me demande combien de temps va durer la lune de miel ? Pour connaître assez bien le modèle anglo-saxon, c’est systématique que les premières rencontres sont extrêmement cordiales voire très amicales. Les australiens, canadiens et américains sont ainsi fait et ils sont extrêmement amicaux dès les premières rencontres.
Ensuite, en arrière, ça peut-être beaucoup plus difficile car ce ne sont pas des personnes qui aiment aller au conflit en face à face. Et évidemment, quand ça va mal, ça va vraiment mal car c’est très compliqué de désamorcer un conflit. C’est aussi beaucoup baser sur la confiance et si ça ne fonctionne pas une fois, ça prend souvent des proportions démesurées car c’est très compliqué de crever l’abcès.
A l’inverse d’un Bruno Irles qui rentre dans le tas direct et qui par en arrière sera beaucoup plus humain, on peut assister à l’exact inverse dans un cadre anglo-saxon. Souvent, ceux qui montent dans le bateau du boss anglo-saxon auront une certaine absolution, mais si par malheur tu n’es pas à la hauteur ou que ton écart de conduite n’est pas du goût du boss, tu vas le payer cher.
Bref, dans une équipe française composée de plusieurs franco-français franchouillard style Rami, Tardieu, Gallon et Ripart, la lune de miel sera peut-être douloureuse si tous les astres ne sont pas alignés.
Bref, dans une équipe française composée de plusieurs franco-français franchouillard style Rami, Tardieu, Gallon et Ripart, la lune de miel sera peut-être douloureuse si tous les astres ne sont pas alignés.
