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Mama Baldé (2021 - 2023)

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RoiDeCoeur
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par RoiDeCoeur »

Quelqu'un aurait-il l'article d'aujourd'hui de l'EE sur Baldé ?
NON à la multipropriété !
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Nitarm
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par Nitarm »

Estac : de Bissao à Troyes, le parcours chaloupé de Mama Baldé

Alors que les Troyens perçoivent, en ce début de saison, le meilleur visage du Mama Baldé « footballeur », on a voulu découvrir l’homme qui se cache derrière le numéro 7 de l’Estac. Le Bissau-Guinéeen nous a ouvert les portes de chez lui... et de son parcours de vie.
Par Alan Mangin
Publié: 27 septembre 2022 à 17h38

Auteur d’un début de saison stratosphérique, Mama Baldé nous a accueillis chez lui, dans un pavillon de Creney-près-Troyes, pendant plus d’une heure.

Pas très prolixe lors des premières minutes d’entretien, il s’est ensuite lâché et confié sur son parcours de vie, nous faisant même oublier de boire le verre d’eau qu’il nous a gentiment servi avant de commencer.

Né en Guinée-Bissau, le joueur de 26 ans a rejoint son père au Portugal à six ans. Il joue en France depuis quatre saisons, dont deux à l’Estac.

D’emblée, Mama Baldé nous a dit qu’il n’aimait pas les interviews. « Je suis une personne qui ne parle pas trop, je n’aime pas trop parler de moi. Je laisse les gens parler… » On s’est alors dit que, pour brosser le portrait du joueur en forme de l’Estac (5 buts, 3 passes décisives cette saison), on allait devoir appeler des proches, des membres de la famille, des coéquipiers.

En fait, heureusement qu’il n’aime pas parler de lui ! Car de son enfance à Bissao à son arrivée en France, à Dijon, en passant par son adolescence à Lisbonne, Mama Baldé n’a rien caché de son parcours de vie, qui permet de mieux cerner l’homme et le footballeur qu’il est devenu.
Bissao : une chaise pour aller à l’école et des fausses pièces pour acheter des cacahuètes

Une vocation qui n’a jamais fait l’ombre d’un doute. « Mon père (qui vivait alors au Portugal) m’envoyait des ballons, des crampons. Il savait que je voulais jouer au foot. J’ai toujours voulu être footballeur. » Né à Bissao (capitale de la Guinée-Bissau), Mama Baldé y vit alors « avec (sa) mère et (sa) petite sœur (qui a aujourd’hui 21 ans) et un grand frère, qui avait été adopté par (ses) parents ». « Dans la maison, il y avait aussi mes grands-parents, des oncles… C’était la liberté, mais je ne restais pas dans la maison : je mettais un caleçon, je prenais mon ballon et je sortais comme ça ! Je ne rentrais que le soir. »

C’est en revêtant le maillot de la sélection de Guinée-Bissau que l’attaquant s’est décidé à retrouver ses racines. « Pendant douze ans, je n’y étais pas allé. D’un coup, je me suis dit qu’il fallait y retourner, avant de représenter la sélection. J’y suis parti en vacances. Mes grands-parents sont restés là-bas, avec la famille de ma mère. Des gens de la famille m’ont reconnu, m’ont dit que j’avais bien grandi depuis. Moi, je ne me souvenais pas d’eux ! En revanche, en visitant avec mon oncle, j’ai reconnu des maisons, des rues. Je lui disais : “Là, il n’y avait pas ceci ou cela ?” Il me répondait : “Mais comment tu te souviens ? ”J’ai une bonne mémoire ! »

Il se souvient notamment de la maison familiale : « C’était une maison normale. La Guinée-Bissau, ce n’est pas un pays évolué, mais on avait tout, sauf la lumière ! Mais ça, c’était une bonne chose pour moi. La nuit, on ne voyait rien ! Je n’avais pas le droit de sortir mais une fois, j’étais sorti la nuit. Il y avait toujours des dames qui vendaient des choses. J’ai acheté des cacahuètes, mais avec de fausses pièces, comme on ne voyait rien ! Je suis reparti tout de suite chez moi. Quand la lumière est revenue, la dame a vu que c’était des fausses pièces. Elle est venue chez moi et a dit : Votre fils m’a acheté des cacahuètes avec de fausses pièces ! (il se marre)” . Mon grand-père m’a regardé, et c’est la dernière fois qu’il m’a frappé, il devait savoir que j’allais m’en aller ! Car le lendemain, vers 5 h du matin, ma mère m’a réveillé et m’a dit : on prend la douche et on part !” “ Partir où ? Au Portugal !” J’étais content, en plus je venais de prendre une gifle ! »

Une dent arrachée à l’aéroport de Dakar

Car à Bissao, en l’absence de son père, c’est son grand-père maternel qui veille au quotidien sur le jeune garçon. « C’était l’autorité de la maison. C’est lui qui me donnait les billets pour manger à l’école, il prenait soin de moi ! L’école ? Je n’aimais pas trop. Il faut savoir qu’à Bissao, chacun doit prendre sa chaise pour aller à l’école. Je la prenais, je la laissais dans un coin sur le chemin mais je n’y allais pas. J’allais jouer au foot. Un jour, je me suis fait attraper : “Depuis combien de temps tu ne vas pas à l’école ?” Je ne me souvenais pas ! »

À 6 ans – et donc juste après avoir pris une bonne raclée – Mama Baldé, sa sœur, son grand frère et sa mère rejoignent le paternel, dans la banlieue de Lisbonne. « J’étais excité, je ne savais pas où c’était le Portugal ! Mais j’avais mal aux dents ! Je me souviens qu’à l’aéroport de Dakar (lieu de l’escale pour rejoindre le Portugal), je n’en pouvais plus. J’ai pris un cordon, je l’ai attaché autour et j’ai arraché la dent ! Je saignais de partout ! Le stress ? Non, même aujourd’hui, je ne supporte pas la douleur ! Dès que j’ai une petite douleur, ça prend des proportions… »

Malgré un chicot en moins, Mama Baldé croque la vie lisboète à pleines dents. « J’ai senti une autre énergie, Lisbonne ça bouge beaucoup ! Moi, j’aime bien l’adrénaline. À Bissao, les gens parlent déjà portugais. Mais la première chose que j’ai remarquée, c’est qu’il y avait trop de lumière ! J’avais mal aux yeux ! (il rigole) Je ne pouvais plus m’enfuir le soir ! »

De toute façon, son père ne lui en donnait pas vraiment l’occasion : « Quand je suis arrivé au Portugal, il a été strict avec moi, il ne me laissait pas faire n’importe quoi dans le quartier. Et depuis petit, je sais qui je veux devenir, je ne me laisse pas influencer. Mon père dit toujours : “Il ne faut fermer la porte à personne. Écoute ce que les gens ont à te dire mais après, à toi de faire ta propre analyse. Prends les choses bien, laisse passer les choses mauvaises. ”»

Dans sa tête, l’analyse de Mama Baldé est limpide : il veut devenir footballeur. Direction le club du quartier, Agueirao : « J’ai fait des essais mais pour jouer dans le championnat, il fallait les papiers. J’étais immigrant mais comme mon père était déjà au Portugal, c’était plus facile. J’ai pu jouer dans le championnat (des jeunes), je n’ai pas galéré. » Surtout que le footballeur est déjà pétri de qualités. « J’étais timide, le plus petit de l’équipe, maigre ; mais je courais trop vite ! J’ai compris de suite que j’avais des qualités. Je marquais parfois six buts dans un match. Je ne dis pas que c’était facile mais pour moi, c’était naturel. Je jouais tout le temps dans la rue, je savais jongler… »

Mais pour assouvir cette passion, plus question de délaisser l’école pour aller jouer avec les copains. « C’était fini ça ! En plus j’habitais juste devant l’école. On avait le choix : soit y aller le matin, soit l’après-midi. On a choisi l’après-midi. Le matin, je dormais ! Je suis un gros dormeur, je dors partout. Dès que je suis dans un endroit confortable, je dors ! Dans le car, au retour d’un match, je dors. Avec le casque ? Non, tu peux même mettre de la musique ici, je vais dormir ! »
Son premier club bloque sa licence

Ce qui n’est alors pas en sommeil, c’est la jeune carrière de Mama Baldé. Elle commence même à décoller. « Après Agueirao, un club me voulait, Sintra. Je voulais y aller, car des copains de l’école jouaient là-bas. Mais Agueirao ne voulait pas libérer la licence. Je suis donc resté un an sans jouer les matches (il avait alors 10 ans). Je ne faisais que les entraînements, je regardais les matches. Mon père a parlé aux dirigeants et ils ont fini par donner la licence. Quand j’ai pu rejouer, j’avais faim. »
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Nitarm
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par Nitarm »

’appétit des recruteurs commence aussi à se faire sentir. « La dernière année à Sintra, sept ou huit clubs me voulaient. J’ai fait deux essais au Benfica mais ils m’ont dit que j’étais trop petit. » Mama Baldé atterrit finalement au Sporting, le club supporté par toute sa famille portugaise. « Je voulais les rendre fiers mais je n’ai pas été influencé. Je vis avec mes principes, je n’aime pas qu’on me dise quoi faire. Mon père m’a toujours laissé cet espace, la possibilité de choisir où je voulais aller. »
Le prêt au CD Aves, le tournant

Mais au Sporting, il n’a jamais l’occasion de jouer avec l’équipe première. Il enchaîne alors les prêts, et découvre la vie en solitaire. « C’était la première fois que je vivais seul. Ça s’est bien passé car à la maison, ma mère nous a appris à aider. Une semaine, mon frère devait tout ranger ; puis la semaine suivante, c’était moi. Ma sœur était trop petite, elle ne le faisait pas. On faisait aussi le ménage. Ma mère travaillait (elle faisait des ménages), quand on la voyait fatiguée en rentrant, on aidait pour les tâches ménagères. La cuisine, j’ai appris plus tard. Mon frère savait déjà, il faisait à manger pour tout le monde. Ma spécialité ? Je mange beaucoup de poulet, je fais des plats africains. Quand je ne connais pas la recette, je reste au téléphone avec ma mère, en Facetime. » Si ces départs en prêt continuent de construire l’homme, c’est le footballeur qui va prendre son envol, notamment lors de sa deuxième année au CD Aves (2017-2019).

Et pourtant, ce n’était pas gagné : « Avec la réserve du Sporting, j’avais fait toute une saison en latéral droit. La saison suivante, l’entraîneur m’a dit “Si tu ne joues pas latéral droit, tu ne joues pas dans l’équipe”. Moi, je voulais jouer devant alors j’ai préféré partir. Je suis allé à Aves en prêt. Et au début, j’ai joué latéral droit !!! Mais je savais que ça pouvait évoluer. C’est quand le coach a changé que j’ai été installé en attaque. J’ai fait une bonne saison mais ce n’était pas suffisant. L’été suivant, j’ai vu que je n’aurais pas la chance de jouer en A au Sporting. Le club voulait me faire partir dans un club mais moi, je voulais repartir en prêt à Aves, pour ne pas redémarrer à zéro. Et là, j’ai fait ma meilleure saison au Portugal. C’est le tournant de ma carrière. Si je n’avais pas insisté pour repartir là-bas, je n’en serais pas là. »

Et certainement pas en France. Car c’est sa belle saison à Aves qui lui ouvre les portes de la Ligue 1, de Dijon en particulier. Encore une nouvelle vie à laquelle Mama Baldé s’adapte facilement.
« Déjà au Portugal, j’écoutais des musiques françaises, du rap, comme Booba, La Fouine. »

« J’essaie de bien parler français. Déjà au Portugal, j’écoutais des musiques françaises, du rap, comme Booba, La Fouine. Du coup, je comprenais des mots. En arrivant en France, les gens me parlaient, je comprenais tout mais je ne pouvais pas répondre. À Dijon, je sortais avec Senou Coulibaly, pour aller manger après l’entraînement. Quand je veux apprendre quelque chose, je ne me cache pas. Senou me parlait en français, je répondais avec Google, pour traduire ! J’avais aussi un petit-cousin, qui parlait français et qui est venu habiter avec moi à Dijon. Je sortais aussi avec les Français, et du coup j’ai appris vite. »

Après deux saisons à Dijon, Mama Baldé débarque à l’Estac à l’été 2021. Une première saison mitigée avant un début de championnat tonitruant, puisqu’il est l’un des joueurs les plus décisifs d’Europe, avec cinq buts et trois passes décisives. « Ce n’est pas la meilleure période de ma carrière mais c’est mon meilleur début de saison. Je ne me donne pas de limite, je veux toujours plus. » Mama Baldé va peut-être finir par apprécier la lumière.
«J’ai grandi vite, trop vite même»

Comme de nombreux joueurs, en particulier ceux originaires d’Afrique, l’argent gagné grâce au foot permet d’aider financièrement une partie de leur famille, souvent nombreuse. « La place que j’ai dans ma famille aujourd’hui, ce n’est pas normal, je n’ai que 26 ans ! Je ne peux pas lâcher, beaucoup de personnes comptent sur moi. » Dont ses deux enfants, une fille de cinq ans et un fils de deux ans, qui vivent au Portugal avec leur mère, dont Mama Baldé est séparé.

Avec sa maman, le jour de sa signature à Dijon en 2019.
Avec sa maman, le jour de sa signature à Dijon en 2019.

« Je suis devenu papa à 22 ans. J’ai grandi vite. Trop vite même. Mes enfants, je leur parle tous les jours. Je les aime trop. Quand je vais les voir, ma fille me demande pourquoi je ne suis pas à l’entraînement. Ils viennent aussi me voir à Troyes. On fait quoi ? Je leur laisse le choix de ce qu’ils veulent faire, comme mon père a fait avec moi. Ma fille elle bouge partout, comme moi petit ! Mon fils est plus calme. Je prends toujours des grandes maisons, ils ont besoin d’espace. Ici, ils ont chacun leur chambre (leur papa leur a aussi installé une piscine gonflable sur la terrasse, qu’il va falloir penser à dégonfler, l’été est terminé !) Moi, petit, j’étais dans la même chambre que mon frère. Ça se passait bien mais je n’aime pas quand il y a des baskets par terre ou des chaussettes partout ! J’aime bien avoir mon intimité. »
Trois choses que vous ne saviez pas sur Mama Baldé

À Bissao, tout le monde l’appelle « Stoper »

« C’est mon oncle qui m’a appelé comme ça, je ne savais pas pourquoi quand j’étais petit. En grandissant, j’ai quand même demandé : en fait, c’est un chanteur qu’il écoutait beaucoup et après, un mec de notre quartier portait le même nom, et c’était un mec important. » Sauf que sa famille restée en Guinée-Bissau n’a appris que récemment que « Stoper » (prononcez « stopère ») se faisait désormais appeler Mama Baldé. « Quand j’ai été sélectionné la première fois, ils ne savaient pas que c’était moi. Dans le foot, on m’appelle Mama Baldé mais à Bissao, tout le monde m’appelle “Stoper”. Ils n’ont pas associé, ils disaient “c’est qui Mama Baldé ?” Un oncle de Bissao a fini par appeler mon père pour lui demander si Mama Baldé était son fils, qui sortait d’ici. “Oui ? Et son nom c’est Mama Baldé ?!” »

Sa petite sœur est sa fan numéro un

Cinq ans plus jeune que Mama, la petite sœur de ce dernier est aussi sa plus fervente supportrice : « C’est ma meilleure amie, j’étais avec elle au téléphone avant que vous arriviez. Elle vit au Portugal mais vient souvent me voir. C’est ma première supportrice. Avant les matches, on s’appelle en vidéo, elle sent si je vais marquer. Elle fait même des stories en disant “Lobo (qui signifie « loup » en portugais, l’un de ses surnoms, sa fiche WhatsApp est d’ailleurs identifiée « Dark wolf »), il va marquer aujourd’hui !” » Et d’ajouter : « Elle est calme, ne parle pas trop. C’est la seule fille de la famille, on la protège. »

Ses lectures favorites : comment interagir et comment investir

Si Mama Baldé avoue avoir « parfois la flemme » de lire (le jeu vidéo « Call of Duty » a régulièrement sa préférence), il dit ouvrir « des livres qui font réfléchir, comment interagir et parler avec les gens, comment gérer des business ». Investir, il y pense déjà : « Il faut y penser car le foot va vite. Quand tu n’as rien et que tu gagnes beaucoup, il faut profiter. C’est moi la personne la plus importante de ma famille, du monde compte sur moi. À Bissao, j’essaie aussi d’aider, ils n’ont pas grand-chose. »
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Nitarm
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par Nitarm »

je l'ai mis en deux fois , je vais avoir un paquet de tricass'points grace à cet article :lol:
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jerem
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par jerem »

On avait dit (avec Seboun je crois) que ça serait bien si les portraits de joueurs comme dans So Foot étaient faits par l'EE :) Suffisait de demander donc
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RoiDeCoeur
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par RoiDeCoeur »

Merci !
NON à la multipropriété !
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par Benji213 »

jerem a écrit : 28 sept. 2022, 13:06 On avait dit (avec Seboun je crois) que ça serait bien si les portraits de joueurs comme dans So Foot étaient faits par l'EE :) Suffisait de demander donc
Carrément, ça c’est du journalisme. Pas juste des brèves ou banalités. Y’a un travail derrière
:furia:
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par Kevin-10 »

Benji213 a écrit : 28 sept. 2022, 16:54
jerem a écrit : 28 sept. 2022, 13:06 On avait dit (avec Seboun je crois) que ça serait bien si les portraits de joueurs comme dans So Foot étaient faits par l'EE :) Suffisait de demander donc
Carrément, ça c’est du journalisme. Pas juste des brèves ou banalités. Y’a un travail derrière
Exactement un article qui fait plaisir où l'on s'intéresse à l'homme qui se cache derrière le footballeur.
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Batman
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Re: [7] Mama Baldé >> juin 2025

Message par Batman »

Il y en a qui souhaitaient que l’EE fasse des articles comme Sofoot avec Tardieu ? Et bien voilà 😉.
Merci l’EE, c’est très intéressant de connaître un peu mieux « nos » joueurs. 👍
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