J’ai eu le plaisir de le rencontrer ce soir! Il est comme nous tous, naturellement ravi de la victoire sur les terres girondines (la première au Matmut au passage).
Une reprise très prochainement sur les terrains selon lui et c’est une bonne nouvelle!
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Oualid El Hajjam (2019 - 2022)
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Jermstroyes10
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Cheick ibrahim
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Re: [19] Oualid El Hajjam >> juin 2023
Un match rate pour lui
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jcrego
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Re: [19] Oualid El Hajjam >> juin 2023
Oualid n’a pas fait un bon match mais il revenait de blessure et son remplaçant était malade de dernière minute, c’était pas évident pour lui et d’ailleurs il n’a été remplacé par Rami que parce qu’il refusait de reprendre tellement il était vidé
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gayotremi
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Re: Oualid El Hajjam (2019 - 2022)
Propos recueillis par alan mangin
Oualid, jouerez-vous contre l’Estac ce mercredi ?
Physiquement, je suis dans les temps donc je pense que je serai là, oui !
Êtes-vous bien installé au Havre ?
Je suis encore à l’hôtel. C’est l’étape transitoire entre la recherche d’un logement et le déménagement. Ma famille va me rejoindre prochainement, le temps de préparer l’essentiel, comme trouver un logement et une école pour les enfants.
Quitter l’Estac, c’était votre envie ?
Oui, j’ai pratiquement tout connu à Troyes : le titre de Ligue 2, le maintien en Ligue 1. J’avais fait le tour, hormis aller chercher une place en Coupe d’Europe ! (il rigole) J’ai passé de très bons moments, j’avais retrouvé une famille, c’est ce que je recherchais en venant. Sur le plan sportif et humain, j’ai atteint les objectifs que je m’étais fixés.
« Je sentais, dans les discours, qu’il n’y avait pas une grande envie
de me retenir. »
Vous aviez envie de retrouver du temps de jeu ?
Oui, je suis un compétiteur. Lors des derniers mois, je n’ai pas vraiment eu de temps de jeu, même quand j’estimais le mériter. J’avais l’impression que les choix se faisaient moins au mérite. Quand on est compétiteur, on aime être dans un projet où on compte sur nous. Quand on ne rentre pas dans les plans ou dans certains critères, c’est plus compliqué. En plus il ne me restait qu’un an de contrat : soit le club propose quelque chose d’intéressant pour retenir le joueur, soit le joueur trouve un projet intéressant ailleurs. Là, c’est le cas au Havre, un club très professionnel, structuré. Tout était réuni pour relever un nouveau challenge.
L’Estac ne vous a pas proposé une prolongation de contrat à la hauteur de vos espérances ?
Je sentais, dans les discours, qu’il n’y avait pas une grande envie de me retenir. J’ai eu une discussion avec le coach (Bruno Irles), il m’a fait comprendre certaines choses. Il m’a dit que je pouvais rester mais qu’il comprenait aussi que j’avais des envies d’ailleurs. On ne m’a pas poussé vers la sortie, le club a même mis du temps à me libérer. Je tiens quand même à dire que François Vitali a tenu sa parole, car il m’avait dit de lui faire confiance pour que les négociations ne traînent pas trop en longueur, car je ne voulais pas arriver trop tard au Havre dans la préparation. Dans ma façon de voir les choses, dans ce que je recherche au niveau des entraînements, du plaisir, de la progression, et sans rentrer dans les détails, je sentais que j’avais atteint un stade où il fallait que j’aille voir ailleurs.
Quand vous avez vu Éric Njo entrer en jeu plutôt que vous en début de match contre Lille, alors que vous étiez tous les deux à l’échauffement, vous avez compris que votre heure était venue de mettre les voiles ?
Les raisons étaient ridicules, cela m’a surpris, je n’avais jamais connu ça ailleurs. Mais je ne les dévoilerai pas. Je ne veux pas polémiquer, je préfère en parler avec les gens concernés.
Avez-vous eu d’autres pistes ?
Oui, pas mal à l’étranger. C’était intéressant sur le plan financier mais sportivement, c’était risqué. Je préfère gagner un peu moins et être serein, bien accompagné et continuer à progresser.
« Le président Magne m’a appelé pour me féliciter, j’ai trouvé ça
très correct. »
À 31 ans, on sent que vous êtes encore animé par le plaisir et la compétition…
Oui, il y a des choses plus importantes que l’argent. Mon envie, c’est d’être épanoui à l’endroit où je suis.
Le Havre, c’est donc le bon compromis ?
Oui, j’ai senti ce côté familial en discutant avec toutes les personnes du club, du président à l’intendant en passant par les kinés, le staff… C’est un club familial et professionnel, c’est ce que je recherchais.
Et vous connaissez bien Mathieu Bodmer, nouveau directeur sportif du HAC, avec qui vous avez joué à Amiens…
Oui, il me fait confiance, il a été respectueux dès les premiers contacts. Il aime les mecs sérieux, bosseurs, il a une culture du foot qui dépasse la moyenne. C’est agréable de discuter foot avec des gens comme lui qui savent de quoi ils parlent, qui connaissent le milieu, qui sont soucieux du moindre détail.
Quelles sont les ambitions du Havre en Ligue 2 ?
Déjà, le maintien. Après, il faut structurer le nouveau projet, ce n’est jamais évident. Il faut du temps pour trouver toutes les recrues, former un groupe mais le noyau est toujours là. Il y a des jeunes de grande qualité, entourés par plusieurs cadres d’expérience. Il manque encore quelques joueurs et l’alliage sera très bon.
Avez-vous eu des garanties de temps de jeu ?
Il faut aller le chercher, il n’y a pas de statut ! Ce que je cherche, c’est un projet où chacun donne le maximum. La garantie est là, dans le travail et l’envie de jouer.
Que retiendrez-vous de votre passage à Troyes ?
Que de bons souvenirs, avec tout le monde, y compris avec l’environnement : il n’y a pas de pression négative, de parasite. On est bien accompagnés, c’est agréable de travailler dans ces conditions. J’en profite pour remercier l’ancienne direction, Daniel Masoni et Luis de Sousa, et le travail qui a été fait sous Laurent Batlles et lors de l’objectif maintien avec le nouveau staff et le nouveau propriétaire. Le président (Aymeric Magne) m’a appelé pour me féliciter, j’ai trouvé ça très correct, ce n’est pas le cas partout. Cela a confirmé la bonne image que j’avais de l’Estac
Oualid, jouerez-vous contre l’Estac ce mercredi ?
Physiquement, je suis dans les temps donc je pense que je serai là, oui !
Êtes-vous bien installé au Havre ?
Je suis encore à l’hôtel. C’est l’étape transitoire entre la recherche d’un logement et le déménagement. Ma famille va me rejoindre prochainement, le temps de préparer l’essentiel, comme trouver un logement et une école pour les enfants.
Quitter l’Estac, c’était votre envie ?
Oui, j’ai pratiquement tout connu à Troyes : le titre de Ligue 2, le maintien en Ligue 1. J’avais fait le tour, hormis aller chercher une place en Coupe d’Europe ! (il rigole) J’ai passé de très bons moments, j’avais retrouvé une famille, c’est ce que je recherchais en venant. Sur le plan sportif et humain, j’ai atteint les objectifs que je m’étais fixés.
« Je sentais, dans les discours, qu’il n’y avait pas une grande envie
de me retenir. »
Vous aviez envie de retrouver du temps de jeu ?
Oui, je suis un compétiteur. Lors des derniers mois, je n’ai pas vraiment eu de temps de jeu, même quand j’estimais le mériter. J’avais l’impression que les choix se faisaient moins au mérite. Quand on est compétiteur, on aime être dans un projet où on compte sur nous. Quand on ne rentre pas dans les plans ou dans certains critères, c’est plus compliqué. En plus il ne me restait qu’un an de contrat : soit le club propose quelque chose d’intéressant pour retenir le joueur, soit le joueur trouve un projet intéressant ailleurs. Là, c’est le cas au Havre, un club très professionnel, structuré. Tout était réuni pour relever un nouveau challenge.
L’Estac ne vous a pas proposé une prolongation de contrat à la hauteur de vos espérances ?
Je sentais, dans les discours, qu’il n’y avait pas une grande envie de me retenir. J’ai eu une discussion avec le coach (Bruno Irles), il m’a fait comprendre certaines choses. Il m’a dit que je pouvais rester mais qu’il comprenait aussi que j’avais des envies d’ailleurs. On ne m’a pas poussé vers la sortie, le club a même mis du temps à me libérer. Je tiens quand même à dire que François Vitali a tenu sa parole, car il m’avait dit de lui faire confiance pour que les négociations ne traînent pas trop en longueur, car je ne voulais pas arriver trop tard au Havre dans la préparation. Dans ma façon de voir les choses, dans ce que je recherche au niveau des entraînements, du plaisir, de la progression, et sans rentrer dans les détails, je sentais que j’avais atteint un stade où il fallait que j’aille voir ailleurs.
Quand vous avez vu Éric Njo entrer en jeu plutôt que vous en début de match contre Lille, alors que vous étiez tous les deux à l’échauffement, vous avez compris que votre heure était venue de mettre les voiles ?
Les raisons étaient ridicules, cela m’a surpris, je n’avais jamais connu ça ailleurs. Mais je ne les dévoilerai pas. Je ne veux pas polémiquer, je préfère en parler avec les gens concernés.
Avez-vous eu d’autres pistes ?
Oui, pas mal à l’étranger. C’était intéressant sur le plan financier mais sportivement, c’était risqué. Je préfère gagner un peu moins et être serein, bien accompagné et continuer à progresser.
« Le président Magne m’a appelé pour me féliciter, j’ai trouvé ça
très correct. »
À 31 ans, on sent que vous êtes encore animé par le plaisir et la compétition…
Oui, il y a des choses plus importantes que l’argent. Mon envie, c’est d’être épanoui à l’endroit où je suis.
Le Havre, c’est donc le bon compromis ?
Oui, j’ai senti ce côté familial en discutant avec toutes les personnes du club, du président à l’intendant en passant par les kinés, le staff… C’est un club familial et professionnel, c’est ce que je recherchais.
Et vous connaissez bien Mathieu Bodmer, nouveau directeur sportif du HAC, avec qui vous avez joué à Amiens…
Oui, il me fait confiance, il a été respectueux dès les premiers contacts. Il aime les mecs sérieux, bosseurs, il a une culture du foot qui dépasse la moyenne. C’est agréable de discuter foot avec des gens comme lui qui savent de quoi ils parlent, qui connaissent le milieu, qui sont soucieux du moindre détail.
Quelles sont les ambitions du Havre en Ligue 2 ?
Déjà, le maintien. Après, il faut structurer le nouveau projet, ce n’est jamais évident. Il faut du temps pour trouver toutes les recrues, former un groupe mais le noyau est toujours là. Il y a des jeunes de grande qualité, entourés par plusieurs cadres d’expérience. Il manque encore quelques joueurs et l’alliage sera très bon.
Avez-vous eu des garanties de temps de jeu ?
Il faut aller le chercher, il n’y a pas de statut ! Ce que je cherche, c’est un projet où chacun donne le maximum. La garantie est là, dans le travail et l’envie de jouer.
Que retiendrez-vous de votre passage à Troyes ?
Que de bons souvenirs, avec tout le monde, y compris avec l’environnement : il n’y a pas de pression négative, de parasite. On est bien accompagnés, c’est agréable de travailler dans ces conditions. J’en profite pour remercier l’ancienne direction, Daniel Masoni et Luis de Sousa, et le travail qui a été fait sous Laurent Batlles et lors de l’objectif maintien avec le nouveau staff et le nouveau propriétaire. Le président (Aymeric Magne) m’a appelé pour me féliciter, j’ai trouvé ça très correct, ce n’est pas le cas partout. Cela a confirmé la bonne image que j’avais de l’Estac
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gayotremi
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Re: Oualid El Hajjam (2019 - 2022)
Oui pas un mot sur Irles, et vu ses réponses on sent qu'il était un gros problème pour sa poursuite au club.
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nikosss51
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Re: Oualid El Hajjam (2019 - 2022)
Comme dans n'importe quel club...
Le coach ne comptait pas sur lui c'est un choix et il a été franc avec lui ...
Ya un autre coach qui a bien mis Palmer Brown au placard pendant 6 mois avec quelle explication??
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turtle
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Re: Oualid El Hajjam (2019 - 2022)
El Hajam est un guerrier mais n'a pas le niveau. Encore un qui ne l'assume pas et qui en veut à l'entraîneur. Et c'est normal de faire jouer un jeune à sa place.