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Claude Robin [Entraîneur] (2007 - 2016) ; (jan 2022 - 2023)
- turtle
- Star mondiale
- Messages : 21447
- Enregistré le : 18 févr. 2004, 15:01
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
Irles a dirigé seulement 4 matches, il fera je pense au moins la fin de saison complète ça serait ridicule de changer.
- jerem
- International
- Messages : 5196
- Enregistré le : 12 sept. 2020, 22:16
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
Je posais justement la question certes en provocation mais parce que la 1e fois on l'a appelé bcp trop tard et la 2nde on l'a viré peu de temps après.
On n'est plus à une décision bizarre au sujet de C. Robin.
En tout cas Irles faut qd même qu'il montre qqch de plus que sur ces 4 matches. Faire rentrer un défenseur en milieu à 0 0 contre Metz on ne peut pas dire que ça envoie un message positif
- Nitarm
- Pro
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- Enregistré le : 01 août 2021, 15:00
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
au bout de six matchs ça commence à sembler moins ridicule tout à coup (deux branlées en bretagne entre temps)jerem a écrit : ↑06 févr. 2022, 22:24Je posais justement la question certes en provocation mais parce que la 1e fois on l'a appelé bcp trop tard et la 2nde on l'a viré peu de temps après.
On n'est plus à une décision bizarre au sujet de C. Robin.
En tout cas Irles faut qd même qu'il montre qqch de plus que sur ces 4 matches. Faire rentrer un défenseur en milieu à 0 0 contre Metz on ne peut pas dire que ça envoie un message positif
- turtle
- Star mondiale
- Messages : 21447
- Enregistré le : 18 févr. 2004, 15:01
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
Ouais ben ceux qui réclament Robin comme un sauveur me font rire. Certains disent que Irles n'a pas d'expérience, Robin c'est pas mieux a part ses 3-4 matches lors de notre saison historique il n'a entrainé qu'en National. C'est pas Robin qui va faire que Tardieu tirera un corner correctement et s'imposera au milieu ou que Salmier arrêtera de donner un but par match a l'adversaire.
- seboun
- International
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Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
S’il arrivait déjà à mettre un peu « soleil » dans la tête des joueur,, ça leur permettrait peut-être de jouer libérer sans la peur au ventre.
- Léo
- Pro
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- Enregistré le : 23 oct. 2015, 16:14
- Localisation : Plus au stade
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
Si il y a deux choses avec lesquelles tous les gens qui l’ont côtoyé sont d'accord, c'est l"humanité de C. Robin et son grand professionnalisme.
C'est donc une belle solution pour finir l'année si d'ici deux match la méthode Irlès ne fait pas ses preuves. Ca ne suffit pas pour se maintenir certes, mais l'homme connait la maison et ne partirait pas de zéro.
C'est donc une belle solution pour finir l'année si d'ici deux match la méthode Irlès ne fait pas ses preuves. Ca ne suffit pas pour se maintenir certes, mais l'homme connait la maison et ne partirait pas de zéro.
- jcrego
- Pro
- Messages : 2766
- Enregistré le : 24 août 2015, 17:20
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
Bonjour il y a une itw de Robin dans l’EE, ça m’intéresse bien; si quelqu’un pouvait nous transcrire ça ici ça serait super, merci !
- Micka95000
- Pro
- Messages : 3976
- Enregistré le : 09 janv. 2010, 18:50
- Localisation : Troyes
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
Claude Robin : les joueurs de l’Estac « peuvent marquer l’histoire du club »
Revenu à Troyes, en janvier, pour épauler Bruno Irles, Claude Robin amène son expérience aux joueurs. Il sait que ces derniers peuvent laisser une empreinte indélébile dans l’histoire de l’Estac en cas de maintien en Ligue 1.
Claude Robin, comment s’est passé votre retour à Troyes ?
Très simplement. J’étais surpris de l’appel car il n’y avait pas de raison pour que je revienne. J’étais surpris mais content car c’est un club que je connais bien et c’est l’élite du football.
Justement, depuis votre licenciement en 2016, le club a-t-il changé ? Et si oui, dans quelles mesures ?
Non, le club n’a pas tellement changé. Notamment dans ses structures, qui restent les mêmes. Mais c’est vrai que cela a changé dans le fonctionnement sous l’égide de City Group. Les gens ont changé, notamment dans l’administratif mais je connais encore beaucoup de monde.
Et au niveau du jeu prôné par City Group. Quels changements avez-vous perçu ?
Le jeu, c’est surtout pour le centre de formation où l’on insuffle les idées de jeu de City Group. Mais c’est toujours moins évident chez les pros. Bruno (Irles) est arrivé avec ses idées, sa personnalité, ses vues sur le jeu donc il a sûrement mis sa patte aussi. Mais comme je ne connaissais pas avant.
Mais vous avez quand même eu l’occasion de voir évoluer l’Estac cette saison avant votre arrivée ?
Oui, j’ai vu Troyes deux ou trois fois et de l’extérieur ça semblait… (il s’arrête). En tout cas, je me suis dit que ça pouvait se maintenir en Ligue 1 cette saison.
Ce sentiment est toujours présent à l’heure actuelle ?
Oui, ce sentiment m’anime toujours. J’ai connu des saisons où à cette période de l’année, c’était déjà foutu. En mars, on préparait déjà la saison suivante.
Justement, en décembre 2015, vous avez repris le poste d’entraîneur pour préparer la saison suivante. Mais un mois après, vous avez été licencié par Daniel Masoni. Cette blessure s’est-elle cicatrisée ?
Oui, bien sûr. Le passé reste le passé mais il ne faut pas croire, cette période a été très difficile. Le président m’avait dit que j’avais carte blanche alors que l’équipe n’avait pas gagné un seul match. J’arrive, je passe deux tours de coupe de France (à Dunkerque, puis à Concarneau), je remporte une victoire (à Lille) et deux nuls et je me fais virer avant Saint-Etienne, on m’a enlevé ce plaisir… J’ai été pris pour le dindon. Mais je pense que j’ai eu trop de résultats, cela a dû contrarier le club. La fin de saison, ensuite, c’était l’école buissonnière. Ils en prennent 9 contre le PSG… Enfin, il faut oublier tout ça c’est de l’histoire ancienne.
Vous disiez, d’ailleurs, dans une vieille interview que plus vous vieillissez, moins vous supportez la défaite. À 61 ans, est-ce toujours le cas ?
Oui c’est toujours le cas. Cela passe même encore plus mal qu’à l’époque surtout lorsqu’on est dans un rôle secondaire. Mais cela prouve que j’ai encore l’envie de la compétition.
Du coup, comment avez-vous vécu les lourdes défaites à Brest (5-1) puis à Rennes (4-1) ?
Je me suis posé des questions… La première semaine, quand je suis arrivé, il n’y avait pas de match donc je n’ai pu rencontrer que peu de joueurs. La deuxième semaine, j’ai eu le Covid alors que je ne l’avais jamais attrapé. Et derrière, ces deux lourdes défaites pesantes. Mais le coach a bien rectifié les choses et a pris les bonnes décisions à sa manière, avec ses idées.
Avec les trois résultats positifs (1-1 contre Marseille, victoires à Bordeaux 0-2 et contre Nantes 1-0), le groupe respire-t-il davantage ?
Oui mais dans le football, c’est toujours le match suivant. Il n’y a pas le temps de savourer. Si les joueurs arrivent à faire ça, à se concentrer de suite sur le prochain match, ce sera très bien. C’est un message que je fais passer aux joueurs.
Quels sont les autres messages que vous leur livrez ?
Quand je suis arrivé, j’ai dit aux joueurs qu’ils ont l’occasion de marquer leur passage ici car le club ne s’est pas maintenu depuis quasiment 20 ans… Ce doit être leur objectif. Finalement, je pense avoir relayé les propos du coach car il a certainement dû leur dire la même chose. Nous ne nous connaissions pas, nous ne nous sommes donc pas concertés. Nous avons au moins ce discours en commun.
Mais ce sont les joueurs qui font les différences sur le terrain, nous, nous les accompagnons. Ce sont eux les acteurs de ce challenge.
C’est la première fois que vous êtes entraîneur adjoint, en quoi ce rôle est-il différent ?
Disons qu’il faut savoir rester à sa place. Après, ce n’est pas grave, ma personnalité me permet de faire ça. C’est d’ailleurs le seul petit bémol car j’ai toujours été mon propre chef. Sinon tous les feux étaient au vert.
J’ai finalement accepté le challenge après des discussions avec Bruno (Irles) et aussi parce que l’Estac évolue dans l’élite du foot. Il faut être franc, je n’aurais pas accepté cela avec un club plus bas.
EE du 16/03/2022
Revenu à Troyes, en janvier, pour épauler Bruno Irles, Claude Robin amène son expérience aux joueurs. Il sait que ces derniers peuvent laisser une empreinte indélébile dans l’histoire de l’Estac en cas de maintien en Ligue 1.
Claude Robin, comment s’est passé votre retour à Troyes ?
Très simplement. J’étais surpris de l’appel car il n’y avait pas de raison pour que je revienne. J’étais surpris mais content car c’est un club que je connais bien et c’est l’élite du football.
Justement, depuis votre licenciement en 2016, le club a-t-il changé ? Et si oui, dans quelles mesures ?
Non, le club n’a pas tellement changé. Notamment dans ses structures, qui restent les mêmes. Mais c’est vrai que cela a changé dans le fonctionnement sous l’égide de City Group. Les gens ont changé, notamment dans l’administratif mais je connais encore beaucoup de monde.
Et au niveau du jeu prôné par City Group. Quels changements avez-vous perçu ?
Le jeu, c’est surtout pour le centre de formation où l’on insuffle les idées de jeu de City Group. Mais c’est toujours moins évident chez les pros. Bruno (Irles) est arrivé avec ses idées, sa personnalité, ses vues sur le jeu donc il a sûrement mis sa patte aussi. Mais comme je ne connaissais pas avant.
Mais vous avez quand même eu l’occasion de voir évoluer l’Estac cette saison avant votre arrivée ?
Oui, j’ai vu Troyes deux ou trois fois et de l’extérieur ça semblait… (il s’arrête). En tout cas, je me suis dit que ça pouvait se maintenir en Ligue 1 cette saison.
Ce sentiment est toujours présent à l’heure actuelle ?
Oui, ce sentiment m’anime toujours. J’ai connu des saisons où à cette période de l’année, c’était déjà foutu. En mars, on préparait déjà la saison suivante.
Justement, en décembre 2015, vous avez repris le poste d’entraîneur pour préparer la saison suivante. Mais un mois après, vous avez été licencié par Daniel Masoni. Cette blessure s’est-elle cicatrisée ?
Oui, bien sûr. Le passé reste le passé mais il ne faut pas croire, cette période a été très difficile. Le président m’avait dit que j’avais carte blanche alors que l’équipe n’avait pas gagné un seul match. J’arrive, je passe deux tours de coupe de France (à Dunkerque, puis à Concarneau), je remporte une victoire (à Lille) et deux nuls et je me fais virer avant Saint-Etienne, on m’a enlevé ce plaisir… J’ai été pris pour le dindon. Mais je pense que j’ai eu trop de résultats, cela a dû contrarier le club. La fin de saison, ensuite, c’était l’école buissonnière. Ils en prennent 9 contre le PSG… Enfin, il faut oublier tout ça c’est de l’histoire ancienne.
Vous disiez, d’ailleurs, dans une vieille interview que plus vous vieillissez, moins vous supportez la défaite. À 61 ans, est-ce toujours le cas ?
Oui c’est toujours le cas. Cela passe même encore plus mal qu’à l’époque surtout lorsqu’on est dans un rôle secondaire. Mais cela prouve que j’ai encore l’envie de la compétition.
Du coup, comment avez-vous vécu les lourdes défaites à Brest (5-1) puis à Rennes (4-1) ?
Je me suis posé des questions… La première semaine, quand je suis arrivé, il n’y avait pas de match donc je n’ai pu rencontrer que peu de joueurs. La deuxième semaine, j’ai eu le Covid alors que je ne l’avais jamais attrapé. Et derrière, ces deux lourdes défaites pesantes. Mais le coach a bien rectifié les choses et a pris les bonnes décisions à sa manière, avec ses idées.
Avec les trois résultats positifs (1-1 contre Marseille, victoires à Bordeaux 0-2 et contre Nantes 1-0), le groupe respire-t-il davantage ?
Oui mais dans le football, c’est toujours le match suivant. Il n’y a pas le temps de savourer. Si les joueurs arrivent à faire ça, à se concentrer de suite sur le prochain match, ce sera très bien. C’est un message que je fais passer aux joueurs.
Quels sont les autres messages que vous leur livrez ?
Quand je suis arrivé, j’ai dit aux joueurs qu’ils ont l’occasion de marquer leur passage ici car le club ne s’est pas maintenu depuis quasiment 20 ans… Ce doit être leur objectif. Finalement, je pense avoir relayé les propos du coach car il a certainement dû leur dire la même chose. Nous ne nous connaissions pas, nous ne nous sommes donc pas concertés. Nous avons au moins ce discours en commun.
Mais ce sont les joueurs qui font les différences sur le terrain, nous, nous les accompagnons. Ce sont eux les acteurs de ce challenge.
C’est la première fois que vous êtes entraîneur adjoint, en quoi ce rôle est-il différent ?
Disons qu’il faut savoir rester à sa place. Après, ce n’est pas grave, ma personnalité me permet de faire ça. C’est d’ailleurs le seul petit bémol car j’ai toujours été mon propre chef. Sinon tous les feux étaient au vert.
J’ai finalement accepté le challenge après des discussions avec Bruno (Irles) et aussi parce que l’Estac évolue dans l’élite du foot. Il faut être franc, je n’aurais pas accepté cela avec un club plus bas.
EE du 16/03/2022
Troyes, capitale HISTORIQUE de la Champagne !
- Helzeeer
- Pro
- Messages : 1002
- Enregistré le : 07 juin 2017, 15:51
Re: [Entraîneur adjoint] Claude Robin >> juin 2023
Mouais, je sais pas vous mais je trouve le ton de l'interview bizarre, comme si il n'était pas plus impliqué que ça...