[L1/J24] Brest 5 / 1 Troyes - Dimanche 13 février 2022 à 15h

[Nitarm]

Je suis quand meme épaté par l'envie que montre RAMI sur le terrain .
Un exemple pour les jeunes , chapeau bas Adil .
Un coup de chapeau également a nos valeureux supporters qui se sont fait rincer et ont assisté a ce naufrage .

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[ALFRED]

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[TontonManu]

C'est vrai que la claque reçue à Lens a été le début d'une période compliquée, espérons que la claque reçue à Brest en soit la fin.

[Elpinguin]

Je suis quand meme épaté par l'envie que montre RAMI sur le terrain .
Un exemple pour les jeunes , chapeau bas Adil .
Un coup de chapeau également a nos valeureux supporters qui se sont fait rincer et ont assisté a ce naufrage .

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[jcrego]

Oui Rami est admirable, si on se maintient c’est sûr qu’il aura joué un grand rôle là dedans, c’est un meneur.

[DANETTE23]

Il a surpris pas mal de monde moi le premier
si seulement ses coéquipiers pouvaient avoir la même envie

[Elpinguin]

Chavalerin: « Non, on n’a pas lâché à Brest ! »

Xavier Chavalerin assure que les joueurs de l’Estac sont toujours derrière leur entraîneur. Mais il admet que des ajustements seront nécessaires afin de couper la mauvaise dynamique actuelle. « On repart de zéro pour aller chercher le maintien. »

Xavier, l’après-Brest est-il difficile à vivre ?

Forcément, quand on prend une claque comme ça, c’est toujours difficile. Il faut tout remettre en question, se mettre tous au boulot. Là, on repart de zéro pour aller chercher le maintien. On n’a plus d’excuses.

On a le sentiment que les joueurs ont lâché, dimanche…

Non, on n’a pas lâché du tout. On a fait un non-match, on n’a mis aucun ingrédient pour gagner un match de Ligue 1. C’est un tout, on n’a pas appréhendé le match comme il le fallait. Brest a eu tout pour lui. Ils ont choisi le vent dans le dos en première mi-temps. Ils étaient plus déterminés que nous à gagner le match, on avait l’impression que c’était eux qui jouaient le maintien et pas nous.

Des échanges vont avoir lieu entre les cadres et Bruno Irles. Il faut crever l’abcès ?

Tout le monde va se parler (entretien réalisé lundi, NDLR), il va falloir mettre les choses à plat pour aller chercher le maintien ensemble. Mais tout n’est pas à jeter. On doit faire bloc, tout donner sur le terrain car il faut des guerriers pour se maintenir. On doit être en mission. Il reste quatorze matches, notre chance est que le classement est encore serré. Malgré cette défaite et le nul contre Metz, on est encore 16e car derrière, ça ne gagne pas.

« Les cadres vont s’exprimer, le coach pourra aussi nous demander ce que l’on pense devoir améliorer. »

Le staff et les joueurs doivent trouver un terrain d’entente pour que tout le monde adhère à un projet commun et tire dans le même sens ?

Il faut faire avec le groupe qu’on a et trouver la bonne formule. On a complètement changé notre façon de jouer ; d’habitude, ça demande plus de temps pour mettre en place des choses. Là, il faut aller vite.

Cette métamorphose était-elle trop brutale ?

Avec (Laurent) Batlles, c’était un football total porté vers l’offensive. Là, on a beaucoup travaillé les bases défensives. C’est moins de beau jeu mais être plus solide. Mais on a vu à Brest que dès qu’on ne mettait pas les ingrédients qu’il fallait, on explosait.

Que faire donc ?

Il faut trouver le bon compromis entre les deux. Dans ce groupe, il y a de bons joueurs. J’ai fait beaucoup de saisons où il fallait chercher le maintien, je peux dire qu’ici, le groupe est super. Je ne vois pas comment on n’y arriverait pas. Il y a des ajustements, des rectifications à faire entre nous.

En ce sens, les échanges qui vont avoir lieu jusqu’à la fin de semaine sont un tournant de la saison ?

La mise au vert allongée a été faite pour ça je pense, pour avoir des discussions entre nous. Les cadres vont s’exprimer, le coach pourra aussi nous demander ce que l’on pense devoir améliorer.

Comme Florian Tardieu, vous semblez un peu perdu sur le terrain ces dernières semaines. Êtes-vous en quête de repères ?

Avant, il y avait davantage de cheminements courts, des une-deux. Là, on nous demande du jeu vertical, de jouer dans le dos pour nos attaquants rapides dès la récupération. Il faut travailler là-dessus, mais entre les deux. Car si on ne joue que d’une façon, l’adversaire va vite cibler nos points forts et faibles à la vidéo.

Pour lancer vos attaquants, il faut déjà trouver les premiers relais au milieu…

On travaille toujours la première relance. C’est vrai qu’on arrive moins à avoir des cheminements vers l’avant. Mais c’est aussi parce qu’il y a moins de confiance. Dans ces cas-là, c’est plus difficile de prendre des risques, on se dit “si je perds le ballon ici, on peut prendre un but”. On va avoir quatre jours pour être ensemble, bien travailler.

« Avec le groupe au complet, on a dû avoir deux ou trois séances ! »

Le jeu vertical et les attaques rapides, cela vous correspond personnellement ?

Tous les joueurs peuvent s’y retrouver, le tout est d’avoir des automatismes : il faut l’appel au bon moment, la passe au bon moment. Des équipes arrivent à bien le faire.

Quand vous recevez le ballon dans les pieds, vous semblez parfois ne pas savoir vers qui le donner. Collectivement, c’est encore loin d’être ça…

Il faut trouver des automatismes. Avant, avec le losange, on savait exactement où se situaient nos milieux car on avait eu le temps de bien le travailler. Là, en un mois, avec des retours de la CAN et ceux qui sont arrivés tardivement, c’est plus compliqué. Avec le groupe au complet, on a dû avoir deux ou trois séances ! On sait qu’il faut de suite des résultats mais ce n’est pas si simple.

Sentez-vous que la situation se crispe ?

C’est là qu’il faut se mettre en mode guerrier. On ne nous demande pas d’être beaux mais d’avoir des résultats. On n’a plus le temps de mettre en place des choses et de faire du beau jeu. Si on peut allier les deux, c’est bien mais ce que vont regarder les gens, ce sont les résultats ! Peu importe la manière, il faut ramener des points.

[palexandre]

"Peu importe la manière, il faut ramener des points".
Bien dit. Voilà, un mec pragmatique.
Restent 14 matchs où l'Estac devra imposer un combat, comme Brest, qui est une équipe très quelconque (excepté Honorat), mais qui bourrine pendant 90 mn.

[turtle]

Encore des questions et des sous entendus orientés de la part de l'EE. Qu'ils s'étonnent pas qu'ils se fasse bannir ceux la.