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Aloïs Confais (2016 - novembre 2018)
- snoopy45
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- Messages : 5017
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- Kevin-10
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Re: [27] Aloïs Confais >> juin 2019
Très bonne recrue pour un club de National ambitieux, j'espère que Le Mans réussira à relancer sa carrière qui stagne depuis plus de deux ans maintenant. Peut-être que le changement de club lui permettra de rebondir et de s'imposer.
Il retrouvera Gope-Fenepej et Dasquet.
De notre côte ça nous permet de commencer à dégraisser un peu notre effectif pléthorique.
Il retrouvera Gope-Fenepej et Dasquet.
De notre côte ça nous permet de commencer à dégraisser un peu notre effectif pléthorique.
- turtle
- Star mondiale
- Messages : 21447
- Enregistré le : 18 févr. 2004, 15:01
Re: Aloïs Confais (2016- novembre 2018)
Je reste persuadé qu'il aurait fait un bon latéral droit, physiquement il n'est pas fait pour le poste de milieu défensif. Bonne chance à lui pour la suite de sa carrière.
- flavien10
- International
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Re: Aloïs Confais (2016- novembre 2018)
Très bonne destination pour lui, en espèrant qu'il joue les matchs. Il devrait joué lateral droit comme on le pense tous.
En tout cas bon vent à lui.
Il rejoint donc George Gope Fenepej et Thomas Dasquet.
En tout cas bon vent à lui.
Il rejoint donc George Gope Fenepej et Thomas Dasquet.
Allez l'estac : Saison 2024-2025 : Toujours en ligue 2 !!! Maintenant, il va falloir le mérité...
- armando
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Re: Aloïs Confais (2016- novembre 2018)
Ou alors il devrait jouer en 10, un ancien formateur parlait de sa vision du jeu
- did3lf
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Re: Aloïs Confais (2016- novembre 2018)
Bonne continuation à lui
- palexandre
- Star mondiale
- Messages : 20378
- Enregistré le : 12 août 2010, 00:54
Re: Aloïs Confais (2016- novembre 2018)
Ce joueur est un mystère. Je le trouvais excellent quand il jouait à 19 ans avec la réserve. Il n'a fait que régresser. Grosse condition physique (toujours le premier dans les footings) mais aucun physique (tu souffles, il tombe). En National, ça devrait aller.
- gayotremi
- International
- Messages : 7770
- Enregistré le : 06 févr. 2006, 10:10
Re: Aloïs Confais (2016- novembre 2018)
Il faut qu’il s’épaississent et je pense qu’il pourra faire une belle petite carrière , en tout cas c’est un bon jeune bonne mentalité ! Bonne continuation à lui !
allez l'estac
- Mlledu10
- Pro
- Messages : 1622
- Enregistré le : 30 déc. 2010, 18:44
Re: Aloïs Confais (2016- novembre 2018)
Transfert Estac: Aloïs Confais recule pour mieux rebondir. Interview
Transféré au Mans samedi contre une « légère indemnité de transfert », le milieu formé à l’Estac souhaite rebondir après quelques mois compliqués à Troyes, d’où il ne veut garder que le positif.
Cette issue semblait inéluctable. Aloïs Confais, ayant perdu sa place dans l’équipe de Rui Almeida après avoir démarré la saison dans la peau d’un titulaire, avait besoin d’un nouveau défi.
Il a donc signé au Mans (National 1) hier, un contrat fédéral de six mois (avec des options pour une prolongation). Un club présidé par Thierry Gomez et dans lequel il va retrouver, ce matin lors de son premier entraînement, d’autres anciens Troyens : Thomas Dasquet et Georges Gope-Fenepej.
Leader de son championnat, le club manceau a un statut amateur mais a l’intention de vite retrouver le monde professionnel. Aloïs Confais, lui, a un peu la même ambition : reculer pour mieux rebondir.
Aloïs, votre situation était devenue trop compliquée à l’Estac ?
C’est sûr que j’avais envie d’avoir davantage de temps de jeu (342 minutes jouées cette saison, Ndlr). Mais avec 35 joueurs dont huit milieux, c’était compliqué...
Avez-vous compris le choix de Rui Almeida de ne plus vous faire jouer ?
Non, pas forcément. Mais le coach avait ses raisons, je l’accepte, cela fait partie du métier. Malgré tout, j’ai gardé le même cap, avec l’envie de progresser au quotidien.
Cela doit quand même être difficile de se motiver à l’entraînement en sachant qu’on ne jouera pas le week-end…
Sportivement, c’est très dur. Mais on a vraiment un super groupe, dans lequel je me sentais bien. Et j’ai toujours gardé cet objectif d’être le plus performant possible, de travailler pour moi. Je n’allais pas m’enfermer dans la déprime, par respect pour les autres, car je fais partie d’un groupe, mais aussi car les remplaçants sont aussi importants que les titulaires, par exemple en mettant de l’intensité à l’entraînement.
Vivez-vous comme un échec le fait de ne pas avoir percé, sur la durée, dans votre club formateur (il est arrivé à l’Estac à 14 ans) ?
Je suis déçu car j’aurais préféré que cela se passe différemment. Mais c’est comme ça. Je ne le vis pas comme un échec, plutôt comme une étape. Car au Mans, il y a un projet ambitieux, avec de belles infrastructures et un super stade.
Et d’anciens Troyens (les joueurs Thomas Dasquet et Georges Gopé-Fenepej, le président Thierry Gomez)…
Oui, cela devrait faciliter mon intégration, pour trouver mes repères dans l’effectif mais aussi dans la ville.
« C’est toujours difficile de quitter son club formateur, mais c’est pour mieux rebondir.
Et Troyes restera toujours dans mon cœur. »
Le Mans est premier de National 1 mais se renforce encore (en plus de Confais, le MUC a recruté hier Victor Elissalt, en provenance de Béziers). Quel a été le discours de l’entraîneur Richard DÉZIRÉ à votre égard ?
Quand on change de club, on aime ressentir la confiance des nouveaux dirigeants. J’ai ressenti ce feeling, notamment quand j’ai eu l’entraîneur au téléphone (les contacts avec Le Mans remontent à deux semaines).
Après l’annonce de votre départ, les réactions des supporters troyens étaient unanimes, saluant notamment votre attitude exemplaire. Cela a dû vous toucher ?
Oui, je suis vraiment touché. J’ai passé de nombreuses années à Troyes, j’ai beaucoup de peine à quitter des amis, les supporters que je n’ai pas eu le temps de remercier. C’est toujours difficile de quitter son club formateur, mais c’est pour mieux rebondir. Et Troyes restera toujours dans mon cœur.
Quel est votre meilleur souvenir, durant vos sept années troyennes ?
C’est difficile d’en ressortir un car j’ai vécu beaucoup de bons moments : mon arrivée au centre, la signature de mon contrat pro, mon premier match au Parc, la montée en Ligue 1… L’Estac m’a apporté énormément, sportivement et humainement. C’est le club qui m’a aidé à grandir, à devenir un homme. Je ne garde que du positif.
Source : l'Est eclair
Transféré au Mans samedi contre une « légère indemnité de transfert », le milieu formé à l’Estac souhaite rebondir après quelques mois compliqués à Troyes, d’où il ne veut garder que le positif.
Cette issue semblait inéluctable. Aloïs Confais, ayant perdu sa place dans l’équipe de Rui Almeida après avoir démarré la saison dans la peau d’un titulaire, avait besoin d’un nouveau défi.
Il a donc signé au Mans (National 1) hier, un contrat fédéral de six mois (avec des options pour une prolongation). Un club présidé par Thierry Gomez et dans lequel il va retrouver, ce matin lors de son premier entraînement, d’autres anciens Troyens : Thomas Dasquet et Georges Gope-Fenepej.
Leader de son championnat, le club manceau a un statut amateur mais a l’intention de vite retrouver le monde professionnel. Aloïs Confais, lui, a un peu la même ambition : reculer pour mieux rebondir.
Aloïs, votre situation était devenue trop compliquée à l’Estac ?
C’est sûr que j’avais envie d’avoir davantage de temps de jeu (342 minutes jouées cette saison, Ndlr). Mais avec 35 joueurs dont huit milieux, c’était compliqué...
Avez-vous compris le choix de Rui Almeida de ne plus vous faire jouer ?
Non, pas forcément. Mais le coach avait ses raisons, je l’accepte, cela fait partie du métier. Malgré tout, j’ai gardé le même cap, avec l’envie de progresser au quotidien.
Cela doit quand même être difficile de se motiver à l’entraînement en sachant qu’on ne jouera pas le week-end…
Sportivement, c’est très dur. Mais on a vraiment un super groupe, dans lequel je me sentais bien. Et j’ai toujours gardé cet objectif d’être le plus performant possible, de travailler pour moi. Je n’allais pas m’enfermer dans la déprime, par respect pour les autres, car je fais partie d’un groupe, mais aussi car les remplaçants sont aussi importants que les titulaires, par exemple en mettant de l’intensité à l’entraînement.
Vivez-vous comme un échec le fait de ne pas avoir percé, sur la durée, dans votre club formateur (il est arrivé à l’Estac à 14 ans) ?
Je suis déçu car j’aurais préféré que cela se passe différemment. Mais c’est comme ça. Je ne le vis pas comme un échec, plutôt comme une étape. Car au Mans, il y a un projet ambitieux, avec de belles infrastructures et un super stade.
Et d’anciens Troyens (les joueurs Thomas Dasquet et Georges Gopé-Fenepej, le président Thierry Gomez)…
Oui, cela devrait faciliter mon intégration, pour trouver mes repères dans l’effectif mais aussi dans la ville.
« C’est toujours difficile de quitter son club formateur, mais c’est pour mieux rebondir.
Et Troyes restera toujours dans mon cœur. »
Le Mans est premier de National 1 mais se renforce encore (en plus de Confais, le MUC a recruté hier Victor Elissalt, en provenance de Béziers). Quel a été le discours de l’entraîneur Richard DÉZIRÉ à votre égard ?
Quand on change de club, on aime ressentir la confiance des nouveaux dirigeants. J’ai ressenti ce feeling, notamment quand j’ai eu l’entraîneur au téléphone (les contacts avec Le Mans remontent à deux semaines).
Après l’annonce de votre départ, les réactions des supporters troyens étaient unanimes, saluant notamment votre attitude exemplaire. Cela a dû vous toucher ?
Oui, je suis vraiment touché. J’ai passé de nombreuses années à Troyes, j’ai beaucoup de peine à quitter des amis, les supporters que je n’ai pas eu le temps de remercier. C’est toujours difficile de quitter son club formateur, mais c’est pour mieux rebondir. Et Troyes restera toujours dans mon cœur.
Quel est votre meilleur souvenir, durant vos sept années troyennes ?
C’est difficile d’en ressortir un car j’ai vécu beaucoup de bons moments : mon arrivée au centre, la signature de mon contrat pro, mon premier match au Parc, la montée en Ligue 1… L’Estac m’a apporté énormément, sportivement et humainement. C’est le club qui m’a aidé à grandir, à devenir un homme. Je ne garde que du positif.
Source : l'Est eclair