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[Fil rouge] Les rumeurs de rachat du club
- djuka10
- Pro
- Messages : 3445
- Enregistré le : 01 mars 2011, 14:07
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
C est surtout que c est pas vraiment son domaine
Le club appartient à Mr masoni, pas à la ville.
Évidemment il peut influencer certaines décisions, situation que l on connaît actuellement, mais pas plus.
Après il peut également mettre son nez dans les entreprises qui ferment??
Le club appartient à Mr masoni, pas à la ville.
Évidemment il peut influencer certaines décisions, situation que l on connaît actuellement, mais pas plus.
Après il peut également mettre son nez dans les entreprises qui ferment??
- did3lf
- International
- Messages : 6790
- Enregistré le : 10 janv. 2007, 09:53
- Localisation : Charente-Maritime
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
Il est pas prêt d'aller à Matignon.romainpat a écrit :Le maire ferait bien de gérer sa ville et son club, au lieu de gérer sa carrière à matignon! Tout bon supporter de l estac saura s en rappeler en Mai ou au primaire
- BenJ10
- Stagiaire
- Messages : 124
- Enregistré le : 07 janv. 2012, 23:18
- Localisation : Chaumont
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
Le but de cette intersaison n'est-il pas de laisser faire la direction actuelle afin de laisser le temps, si le club est vendu après le mercato et le début de saison, pour perturber les moins possible le groupe et laisse du temps aux nouveaux dirigeants de s'adapter et de voir ce qu'il est possible de faire ? Reprendre un club et tut bouleverser directement n'est pas forcément bon non plus.
- kristofer51
- Stagiaire
- Messages : 283
- Enregistré le : 22 mai 2011, 19:08
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
Selon l'est eclair, les américains souhaitent accélérer le rachat du club pour que le recrutement qui est actuellement occupé par De Sousa, passe sous leurs ailes et qu'ils puissent investir sur les joueurs qu'ils souhaitent. Ce qui démontre qu'en coulisse le dossier avance et qu'on est plus très loin d'un accord ! Vite vite car le mercato passe à une allure bien trop rapide..
- Kevin-10
- Contributeur
- Messages : 12441
- Enregistré le : 25 juil. 2008, 15:06
- Localisation : Sainte-Savine
- Contact :
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
Ce serait super notamment pour le recrutement d'attaquants qui sont chers et rares.
- Tristanestac
- International
- Messages : 6719
- Enregistré le : 18 sept. 2005, 20:03
- Localisation : Pas Troyes
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
De Sousa ou le plus bel emploi fictif de Troyes..
- nikosss51
- Pro
- Messages : 2994
- Enregistré le : 17 juil. 2005, 20:51
- Localisation : Bretagne
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
Et surtout le club pourrait etre racheté pour le 15 juillet car tous les petits actionnaires sont ok et on n'attend plus que le transfert de fond qui met un peu de temps car les americains attendent un numero d'enregistrement du fisc americain...
Descombes est bien decider à terminer le recrutement avec des joueurs qu'il aura choisi!
Descombes est bien decider à terminer le recrutement avec des joueurs qu'il aura choisi!
- Kevin-10
- Contributeur
- Messages : 12441
- Enregistré le : 25 juil. 2008, 15:06
- Localisation : Sainte-Savine
- Contact :
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
Très bonne nouvelle en gros en fin de semaine prochaine tout devrait être réglé. Impatient de voir ce que ça va donner tant dans l'organisation que dans le recrutement .
Quelqu'un à l'article ?
Quelqu'un à l'article ?
- nikosss51
- Pro
- Messages : 2994
- Enregistré le : 17 juil. 2005, 20:51
- Localisation : Bretagne
Re: [Fil Rouge] Le nouveau projet de l'ESTAC
VOICI L'ARTICLE DE L'EST ECLAIR
Estac / Les Américains veulent aller vite
Si Daniel Masoni reste le maître à bord, le fonds d’investisseurs américain fait le forcing pour finaliser rapidement le rachat du club. Et prendre la main sur le recrutement.
Pour l’instant, Daniel Masoni garde la main sur le recrutement avec Luis De Sousa (à gauche) et Francis Boudin. Mais les Américains veulent finaliser rapidement le rachat du club pour prendre la main sur le recrutement. Jérôme Bruley
Le boss, c’est encore Masoni
À l’Estac, le sujet est devenu tabou. Daniel Masoni a décrété une omerta. Un mois après l’annonce de la signature du compromis de vente à un pole d’investisseurs conduit par Gary Allen, le président troyen prend régulièrement un malin plaisir à crier, haut et fort, que c’est lui le boss.
Une posture adoptée lors de la présentation officielle de l’entraîneur Jean-Louis Garcia, dès le 19 juin. « Ils ont des garanties bancaires à amener. Tant que cela n’a pas été confirmé, le club fonctionne avec moi à la présidence. »
Plutôt que de rassurer sur l’avancement du processus de reprise, Daniel Masoni a choisi le silence. Vendredi dernier encore, lors de la présentation de l’équipe aux partenaires et aux sponsors, aucune allusion n’a été faite aux Américains. Surréaliste…
Feu vert des actionnaires minoritaires
Faut-il s’inquiéter de cette absence de communication ? Pas vraiment. « On est dans les affaires, on ne clame pas haut et fort ce que l’on fait, rapporte un proche du club. Il faut laisser les choses se faire. »
Les choses, justement, avancent. Et plutôt rapidement. La première condition indispensable à la réalisation de la vente a été respectée : les 22 actionnaires minoritaires, après quelques réticences, ont tous renvoyé au président Masoni l’accord pour le rachat de leurs actions (80 € l’unité). C’est ce dernier qui est en charge de les revendre aux Américains au même tarif. Un procédé pour ne pas léser les petits actionnaires et empêcher toute plus-value.
Des fonds bloqués
Cette première étape franchie, la voie est libre pour le protocole de vente. Mais il y a le protocole… et le processus. La société de Gary Allen a déjà été créée, mais elle est dans l’attente d’un numéro d’enregistrement fourni par l’International Revenue Service (IRS), le fisc américain. Sans cet EIN (numéro d’identification employeur), indispensable pour les entreprises en relations avec les États-Unis, impossible pour la société de rachat de procéder au moindre mouvement de fonds.
Tant que cette procédure administrative (la même que pour le rachat de Swansea, Liverpool, Arsenal ou Majorque et qui peut prendre deux mois) n’a pas été validée, le pole d’investisseurs américain ne pourra pas transférer les sommes. Et Daniel Masoni aura raison de réaffirmer qu’il reste le patron du club. « Acheter un club en partenariat prend plus de temps que de l’acheter en tant qu’individu », fait-on savoir du côté des repreneurs.
Pourquoi les Américains
et la Ville veulent aller vite ?
Si le 15 septembre avait été évoqué pour un rachat définitif du club, tout devrait s’accélérer en ce début de mois. Autour du 15 juillet, tout pourrait être réglé.
Car à la Ville de Troyes, comme du côté des Américains, la volonté est clairement affichée, de finaliser ce rachat dans de brefs délais. La Ville mise sur des investisseurs « crédibles et solides », et le pole de Gary Allen aimerait s’impliquer dans un recrutement qui lui échappe.
Tant que les sommes (un peu moins de 3 M€) n’ont pas été versées, Daniel Masoni et Luis de Sousa sont aux manettes pour bâtir une équipe en Ligue 2. Certains joueurs sont libérés (Bekamenga, Karaboué), d’autres sont prolongés (Darbion, Thiago). Le mercato (arrivées de Cordoval, Obiang, Paye, Giraudon, Dingomé) est plutôt cohérent par ailleurs, mais pas forcément en totale adéquation avec les souhaits des futurs investisseurs. Certains agents veulent s’engouffrer dans la brèche pour tirer leurs dernières cartouches.
Éric Descombes, le futur président délégué, qui était encore à Troyes jeudi, a bien l’intention de reprendre la main sur le marché des transferts. Pour redémarrer la saison le 29 juillet avec quelques joueurs supplémentaires qu’il aura choisis.
Christophe Mallet
Estac / Les Américains veulent aller vite
Si Daniel Masoni reste le maître à bord, le fonds d’investisseurs américain fait le forcing pour finaliser rapidement le rachat du club. Et prendre la main sur le recrutement.
Pour l’instant, Daniel Masoni garde la main sur le recrutement avec Luis De Sousa (à gauche) et Francis Boudin. Mais les Américains veulent finaliser rapidement le rachat du club pour prendre la main sur le recrutement. Jérôme Bruley
Le boss, c’est encore Masoni
À l’Estac, le sujet est devenu tabou. Daniel Masoni a décrété une omerta. Un mois après l’annonce de la signature du compromis de vente à un pole d’investisseurs conduit par Gary Allen, le président troyen prend régulièrement un malin plaisir à crier, haut et fort, que c’est lui le boss.
Une posture adoptée lors de la présentation officielle de l’entraîneur Jean-Louis Garcia, dès le 19 juin. « Ils ont des garanties bancaires à amener. Tant que cela n’a pas été confirmé, le club fonctionne avec moi à la présidence. »
Plutôt que de rassurer sur l’avancement du processus de reprise, Daniel Masoni a choisi le silence. Vendredi dernier encore, lors de la présentation de l’équipe aux partenaires et aux sponsors, aucune allusion n’a été faite aux Américains. Surréaliste…
Feu vert des actionnaires minoritaires
Faut-il s’inquiéter de cette absence de communication ? Pas vraiment. « On est dans les affaires, on ne clame pas haut et fort ce que l’on fait, rapporte un proche du club. Il faut laisser les choses se faire. »
Les choses, justement, avancent. Et plutôt rapidement. La première condition indispensable à la réalisation de la vente a été respectée : les 22 actionnaires minoritaires, après quelques réticences, ont tous renvoyé au président Masoni l’accord pour le rachat de leurs actions (80 € l’unité). C’est ce dernier qui est en charge de les revendre aux Américains au même tarif. Un procédé pour ne pas léser les petits actionnaires et empêcher toute plus-value.
Des fonds bloqués
Cette première étape franchie, la voie est libre pour le protocole de vente. Mais il y a le protocole… et le processus. La société de Gary Allen a déjà été créée, mais elle est dans l’attente d’un numéro d’enregistrement fourni par l’International Revenue Service (IRS), le fisc américain. Sans cet EIN (numéro d’identification employeur), indispensable pour les entreprises en relations avec les États-Unis, impossible pour la société de rachat de procéder au moindre mouvement de fonds.
Tant que cette procédure administrative (la même que pour le rachat de Swansea, Liverpool, Arsenal ou Majorque et qui peut prendre deux mois) n’a pas été validée, le pole d’investisseurs américain ne pourra pas transférer les sommes. Et Daniel Masoni aura raison de réaffirmer qu’il reste le patron du club. « Acheter un club en partenariat prend plus de temps que de l’acheter en tant qu’individu », fait-on savoir du côté des repreneurs.
Pourquoi les Américains
et la Ville veulent aller vite ?
Si le 15 septembre avait été évoqué pour un rachat définitif du club, tout devrait s’accélérer en ce début de mois. Autour du 15 juillet, tout pourrait être réglé.
Car à la Ville de Troyes, comme du côté des Américains, la volonté est clairement affichée, de finaliser ce rachat dans de brefs délais. La Ville mise sur des investisseurs « crédibles et solides », et le pole de Gary Allen aimerait s’impliquer dans un recrutement qui lui échappe.
Tant que les sommes (un peu moins de 3 M€) n’ont pas été versées, Daniel Masoni et Luis de Sousa sont aux manettes pour bâtir une équipe en Ligue 2. Certains joueurs sont libérés (Bekamenga, Karaboué), d’autres sont prolongés (Darbion, Thiago). Le mercato (arrivées de Cordoval, Obiang, Paye, Giraudon, Dingomé) est plutôt cohérent par ailleurs, mais pas forcément en totale adéquation avec les souhaits des futurs investisseurs. Certains agents veulent s’engouffrer dans la brèche pour tirer leurs dernières cartouches.
Éric Descombes, le futur président délégué, qui était encore à Troyes jeudi, a bien l’intention de reprendre la main sur le marché des transferts. Pour redémarrer la saison le 29 juillet avec quelques joueurs supplémentaires qu’il aura choisis.
Christophe Mallet