Jean-Marc Furlan [Entraîneur] (2004 - 2007) ; (2010 - déc 2015)

[nikosss51]

Article l'Equipe du jour.....

[Soussmeboules]

Intéressant cet article.

Il rejoint en bonne partie ce que j'avais écrit suite à la défaite à Bordeaux:viewtopic.php?f=34&t=20160&start=255

Effectivement Furlan n'est pas un simple entraîneur, mais un manager. Il a bien trop de pouvoir par rapport à ses compétences. Du coup, on n'a pas de manager sportif, étant donné qu'Adam, et Jezierski ont été virés. C'est très dommageable maintenant!

On peut dire ce que l'on veut, mais donner presqu'autant de pouvoir à Furlan que Perrin n'en avait auparavant(ce qui a aussi causé la perte du club quand il est parti entrainer l'OM) était de très loin la plus grosse erreur que Masoni pouvait faire.

Furlan n'a pas et de très loin les compétences de Perrin, que ce soit au niveau tactique, relationnel, management, et de recruteur. Perrin n'était pas toujours commode, ni forcément diplomate avec ses joueurs mais il n'était pas rancunier et mauvaise foi comme Furlan, ni ne placardisait un joueur pour raisons personnelles, si celui ci était bon, et surtout savait souvent tirer le meilleur d'eux.


Furlan sur le bilan des recrutements est plutôt mauvais, alors que Perrin avait le nez très fin en général, que ce soit à Troyes ou ailleurs.

Triste époque, on a l'impression de revenir à la fin de la période T. Gomez qui a failli détruire notre club. Je n'ai pas envie de revivre ça.

[nikosss51]

Article l'EST ECLAIR du jour:


Estac / Devoir expliquer ses choix…

Ludovic Matten

Les résultats de l’Estac étant ce qu’ils sont, les choix de l’entraîneur sont forcément commentés, disséqués, parfois critiqués. C’est le jeu… Lui répond, à sa façon.

Jean-Marc Furlan a relancé Jimmy Cabot mercredi. Le Savoyard a été titularisé pour la première fois de la saison. Photo

Il est un peu plus de 23 h ce mercredi quand Jean-Marc Furlan, le pas lourd, le regard vide, la tête dans les épaules, passe une première fois dans la zone mixte. Il file à l’extérieur, à côté de son bus, griller une cigarette. Il sait qu’il devra, quelques instants plus tard, répondre aux sempiternelles questions de la presse ; les mêmes, qui reviennent inlassablement depuis le début de la saison. Comment expliquer la défaite ? Quelle analyse faites-vous de cette rencontre, que vous aviez en main ? Pensez-vous pouvoir réagir ? Y croyez-vous encore ? Le moment est pénible pour lui, pas plus agréable pour nous. Surtout après plusieurs mois durant lesquels l’Estac marchait sur l’eau en même temps que sur ses adversaires.

« Pour le bien de l’équipe… »

Habitués à gagner, à écraser la concurrence, les Aubois doivent réapprendre à perdre, obligés de faire le dos rond pour passer une mauvaise passe qui s’éternise. Comme toujours, face à la presse, un sourire un peu forcé, le coach tente de faire bonne figure. Certains confrères le sentent affecté. « Vous avez le droit de ressentir ce que vous voulez », répond-il. Puis de poursuivre sur le jeu de son équipe, « trop fragilisée défensivement » selon lui pour espérer mieux. « Nous n’avons pas eu suffisamment l’emprise sur le jeu, n’avons pas eu assez la possession du ballon pour soulager notre défense, qui a été bousculée sur de nombreux corners et coups de pied arrêtés, indique-t-il en substance. Avec une telle instabilité défensive, nous ne pouvons pas rivaliser. »

Plus tard, avant de rejoindre le bus, Michel Padovani, son adjoint, poussera un peu plus loin l’analyse : « On en a marre de perdre. Quand on prend un but, on a l’impression que l’on ne reviendra pas. Pourtant, on était bien en place, bien entrés dans le match. On a fait une bonne première période… » C’est cette frustration qui gagne, cette déception qui colle aux basques d’un staff technique « qui se battra quoi qu’il arrive, car on ne veut pas lâcher », confie « Pado ».

De retour en conférence de presse d’après-match. Ce n’est peut-être pas le meilleur moment. Mais nous voulons savoir. Pourquoi diable Karim Azamoum n’est pas entré ? Le coach a osé la titularisation de Confais, a relancé Thiago, essayé Ngcongca au milieu, offert du temps de jeu à Cabot et Court en même temps que du crédit à Bienvenu. Mais Azamoum, aux stats si intéressantes en L2, pourtant très souvent titulaire la saison dernière, n’est pas entré.

Froidement, gêné mais imperturbable, Furlan répond. « Il faut avoir joué en Ligue 1 et en Ligue 2 pour savoir que ce n’est pas la même musique, lance-t-il, histoire de nous renvoyer dans nos 22 mètres. C’est un autre palier. Et chaque joueur doit accepter de franchir ces paliers. Karim a gravi les échelons grâce à moi, passant du CFA à la Ligue 2. S’il avait 200 matches en Ligue 1 ou Ligue 2 derrière lui, votre question se justifierait. » Pas là, visiblement. « Si vous assistiez aux entraînements, à tous les entraînements, du début à la fin, vous sauriez, continue-t-il. Le staff a choisi de faire jouer d’autres garçons. Nous aimerions que tous puissent s’exprimer. Ce n’est pas possible. Et quand une équipe perd, les supporters, les journalistes, se demandent pourquoi tel ou tel joueur ne rentre pas. N’oubliez pas que je suis allé chercher Karim en CFA ; que je lui ai permis de jouer en Ligue 2, de progresser. Si pour son bien et pour le bien de l’équipe, j’avais la possibilité de l’utiliser, je le ferais… les yeux fermés. » Azamoum, touché de ne pas avoir été utilisé, doit donc apprendre la patience, redoubler d’efforts aux entraînements pour espérer inverser la tendance. Car le coach l’a montré mercredi soir, il n’est pas fermé aux nouveautés (« On ne peut pas me taxer de ne pas prendre de risques ou de ne pas faire débuter des jeunes, la liste est trop longue depuis cinq ans », juge-t-il). Ainsi, mercredi, Aloïs Confais (tout juste 19 ans) a pointé le bout du nez. « Titulariser un stagiaire arrière droit, c’est intéressant pour le club et pour lui », conclut Jean-Marc Furlan. Peut-être le reverra-t-on. Il mérite une seconde chance… Comme Karim Azamoum ?

[turtle]

Toujours la même rengaine de Furlose : "vous ne venez pas a chaque entrainement , moi seul sait qui est bon ou pas"

[Léo]

Assez d'accord, de toute façon au point où en en est, on ne voit pas pourquoi il ne tente pas la carte Azamoun.
On ne risque pas de faire moins bien que ce qu'on a fait....

[did3lf]

Surtout quand on voit les prestations des autres au même poste que lui.

[Olive75]

Le type est déçu de Mavinga et Veskovac...mais il fait jouer Othon quoi.
Y'a dix classes d'écart entre ces deux joueurs et Othon. (Meme si c'est vrai que les deux nouveaux venus sont pas étincelants, ils feraient largement l'affaire pour finir 17eme).
Jmf doit se barrer, il fonctionne à l'affect et n'a jamais été objectif dans ses choix. Perrin était froid mais au moins il jugeait les types à leur prestation et parlait vrai.
Son coté pleureuse incomprise me casse de plus en plus les %%nfr**.

[Olive75]

Il peut manager une pataterie ou le grec du coin, mais pas un club de foot pro.

[palexandre]

Article de l'EE qui nous laisse vraiment sur notre faim. Car il y avait au moins 2 cas individuels à évoquer :
1. Pourquoi AZAMOUM ne joue-t-il pas ? La question est posée mais la réponse est nulle à chier.
2. Pourquoi OTHON joue-t-il alors qu'il a le niveau DH comme arrière gauche ? Et là, c'est l'omerta .
Sans doute est-il pote avec un des journalistes de l'EE car sa présence est quand même plus grave que l'absence de AZAMOUM ? En effet, elle nous a coûté de nombreux points. J'estime à 4 ou 5 points au minimum le déficit de l'ESTAC (+ l'élimination en CDL à LILLE) à cause de la présence de ce joueur.