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L'actualité de l'ESTAC Troyes en Ligue 2 BKT : discussions d'avant-matches et d'après-matches, notes, débats. Infos sur les équipes de N3, féminines, jeunes...
turtle a écrit :edo, c'est pas bien les doubles comptes C'est vrai ça, le public troyen a la pouvoir, rien qu'en soutenant son équipe de transformer Othon en Marcelo du Real, Court en Ronaldo, Pi en Pogba, Camus en Messi, Petric en Neuer et même Martial en son frère !
Ce mec est ce qu'on appelle un troll. Il vient juste faire son intéressant en disant des énormités exprès pour nous faire réagir. Et si il pense vraiment ce qu'il dit, c'est grave pour lui.
JMF4EVER a écrit :si tous les mecs qui gu.eulent sur se forum en faisait autant dans le stade pour supporter leur équipe, on serait vite sur le podium
Sur le podium du championnat des pelouses nous y sommes déjà oui, car c'est bien le seul podium que nous pouvons accrocher ,le podium de la ligue 1 avec JMF ça ne risque pas d'arriver ..
Eh oui : ils sont où les people que l'on voyait parader au printemps dernier et pavoiser au stade de l'Aube comme des Paons ?
Tels que l'ex-comique sur l'eternel retour "Mezrahi" (sur le retour à chaque retour de l'Estac en L1), le chanteur à minettes Pokora (qu'on a vu avant le match à Marseille sur C+ où il a clairement affiché ses faveurs pour l'OM), ou encore C. Hanouna qui en a profité une fois de plus pour s'attirer une cote sympathie via une publicité gratuite ???
L’Estac a réalisé un gros match contre Lyon samedi mais la question du maintien ou non de son entraîneur continue d’alimenter la chronique et menace l’unité du club.
Il flottait une drôle d’atmosphère hier autour du club troyen. Entre la cruelle défaite contre Lyon et l’énorme polémique sur l’arbitrage, les déclarations ambiguës de Jean-Marc Furlan en conférence de presse -« je ne serai pas un obstacle à la progression du club » –, l’annonce au réveil hier matin par L’Équipe d’un contact entre Daniel Masoni et José Anigo, les supporters ne savaient plus où donner de la tête et qui croire.
Difficile de savoir ce qu’il va se passer dans les semaines à venir puisque l’absence de victoire continue d’alimenter toutes les hypothèses possibles. Sans doute le président Masoni s’est-il posé la question, sans doute a-t-il été ou est-il hésitant, mais en tout cas, hier, il apparaissait plus préoccupé par l’arbitre M. Jochem que par un éventuel changement d’entraîneur. « Non, ce sont des conneries tout ça, je ne sais pas d’où ça sort, mais je ne vais pas tarder à attaquer en diffamation si ça continue. Je n’ai pris aucun contact avec qui que ce soit. » Jean-Marc Furlan sera donc sur le banc contre Lorient ? « Oui, il faut arrêter de polémiquer et laisser travailler les gens. La réponse est dans le jeu proposé par les joueurs samedi soir. »
Une instabilité momentanée utilisée par des agents proches du club pour déstabiliser l’édifice, c’est sans doute ce qui a amené à voir le nom de José Anigo apparaître hier matin dans le quotidien sportif national.
Furlan a-t-il encore les ressources ?
D’autant que Jean-Marc Furlan semble lui aussi entre deux eaux. L’entraîneur troyen est resté injoignable hier, ce qui est rare. Samedi soir, il a quelque part laissé la porte ouverte à une négociation pour son départ, puisque l’aspect financier (il lui reste 20 mois de contrat) pèse lourd dans la balance d’un éventuel licenciement. Ou alors, il voulait en posant directement la question de son maintien retrouver une véritable légitimité pour éteindre définitivement l’incendie ? C’est possible aussi.
La question est surtout de savoir si l’entraîneur a les ressources, l’envie tout simplement, pour continuer à lutter. Les joueurs ne l’ont pas lâché, en tout cas.
Car le paradoxe dans tout ça, si on veut bien mettre une minute de côté l’aspect catastrophique au niveau comptable, c’est que l’Estac a réalisé un gros match samedi soir face aux Lyonnais et n’a jamais semblé aussi proche de sortir la tête de l’eau. Les joueurs ont en tout cas prouvé qu’ils avaient encore de la moelle et le niveau pour faire face. Peut-être est-ce déjà trop tard, mais enfin le Gazelec Ajaccio a bien réussi à gagner deux matches, on ne voit pas pourquoi l’Estac ne serait pas capable elle aussi de le faire et recoller.
Lossemy Karaboué résume : « On a tout contre nous, ça va être très compliqué mais ce n’est pas le moment de lâcher. Il faut être solidaire, on a montré beaucoup d’envie. Sans parler de l’arbitrage, il y a encore des choses à régler pour obtenir une victoire le plus vite possible. »
Il apparaît indispensable que cette semaine, s’il n’y a pas rupture profonde comme cela semble en prendre le chemin, toutes les composantes du club (président, staff, joueurs) vont devoir se poser pour redéfinir les contours d’une stratégie à court terme, en s’appuyant sur ce qui existe déjà : l’unité du groupe, le soutien des supporters malgré les critiques légitimes. Et communiquer une ligne de conduite claire pour éviter que des rumeurs extérieures ne viennent polluer le club et finissent par saper le peu d’espoir qu’il reste.
C'est vrai ça, le public troyen a la pouvoir, rien qu'en soutenant son équipe de transformer Othon en Marcelo du Real, Court en Ronaldo, Pi en Pogba, Camus en Messi, Petric en Neuer et même Martial en son frère !
