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Blaise Matuidi (2004 - 2007)
- Electronic-cat
- International
- Messages : 8249
- Enregistré le : 05 oct. 2002, 23:36
- Localisation : Vancouver
Blaise Matuidi
Blaise Matuidi continue d'exploser au PSG et sa valeur ne cesse de grimper.
Je me demandais si nous avions encore le droit à un pourcentage sur la revente du joueur ? Malgré la vente entre St-Etienne et le PSG, est ce que le pourcentage demeure toujours ou il ne s'applique que sur le premier transfert ?
Pour un joueur comme Matuidi qui devrait valoir autour de 20 Millions maintenant, ca fait une jolie somme à percevoir.
Je me demandais si nous avions encore le droit à un pourcentage sur la revente du joueur ? Malgré la vente entre St-Etienne et le PSG, est ce que le pourcentage demeure toujours ou il ne s'applique que sur le premier transfert ?
Pour un joueur comme Matuidi qui devrait valoir autour de 20 Millions maintenant, ca fait une jolie somme à percevoir.
- Elvedin
- Pro
- Messages : 2595
- Enregistré le : 29 oct. 2004, 23:14
Re: Blaise Matuidi
Il me semble que le club qui a formé le joueur touche un pourcentage sur tous ses transferts
- Electronic-cat
- International
- Messages : 8249
- Enregistré le : 05 oct. 2002, 23:36
- Localisation : Vancouver
Re: Blaise Matuidi
Lorsque Gomez l'avait vendu à St-Etienne, il était prévu que nous touchions 25% de la plus-value sur la revente. St-Etienne l'avait acheté 4.5 milions et l'aurait revendu au PSG pour 7.5 milions + 2.5 millions de bonus. A l'époque, nous avions eu le sentiment de s'être fait avoir car le prix d'achat était relativement bas, avec moins de plus-value.
Mais maintenant nous devrions potentiellement avoir un joli retour puisque le psg l'ayant acheté bas, la plus-value va être plus grande. Reste à savoir si la prime liée au club formateur est un montant fixe ou un véritable pourcentage.
Mais maintenant nous devrions potentiellement avoir un joli retour puisque le psg l'ayant acheté bas, la plus-value va être plus grande. Reste à savoir si la prime liée au club formateur est un montant fixe ou un véritable pourcentage.
- Mlledu10
- Pro
- Messages : 1622
- Enregistré le : 30 déc. 2010, 18:44
Re: [Fil Rouge] Il joue où lui maintenant ??
Matuidi, meilleur ouvrier de France !
Il a séduit Carlo Ancelotti, convaincu Didier Deschamps, deux maîtres dans l’art de l’entrejeu. Le milieu de terrain parisien, formé à Troyes, et qui a passé ensuite quatre ans à Saint-Etienne, crève l’écran depuis le début de la saison sous les couleurs du PSG où il se pose en antithèse des stars de la Capitale. C’est dans le labeur que celui qui se présente comme un ouvrier du football trouve son bonheur et poursuit son irrésistible ascension.
«Lorsqu’il est arrivé à Saint-Etienne, son humilité m’avait frappé. Il avait même tendance à se sous-estimer. Mais malgré sa timidité, on sentait dans ses propos une féroce envie de progresser. C’était un garçon déjà très équilibré. »
Bernard Caïazzo, le président du Conseil de Surveillance de l’ASSE, qui a accueilli l’espoir troyen en 2007 mesure bien la dimension prise aujourd’hui par l’enfant de Fontenay-sous-Bois.
« On fondait beaucoup d’espoirs sur lui. Nous l’avions tout de même payé plus de cinq millions d’euros avec les bonus. Il ne nous a pas déçus. Il a toujours eu le souci de sa progression et une attitude irréprochable. Il est de la dimension des Patrick Vieira, Claude Makelele ou Lilian Thuram. Il est jeune mais c’est un joueur à l’ancienne de par son comportement. »
Aujourd’hui, Nasser Al Kelaïfi, le président du PSG est tout aussi ébahi et bluffé par la progression et l’impact au sein du groupe de ce joueur « spécial et unique, un guerrier, jamais arrogant qu’il l’adore », même s’il ne figurait pas parmi les premiers choix de la direction sportive du club, à son arrivée dans la Capitale, en 2011.
En vérité, Carlo Ancelotti n’a commis qu’une erreur à l’encontre de « Balèze » Matuidi. Celle de ne pas le titulariser lors du premier match de championnat face à Lorient. Ce soir-là, Paris passa tout près de la catastrophe sur la pelouse du Parc (2-2). Le week-end suivant, Matuidi entamait une très longue série de titularisations (46 à ce jour !) toutes compétitions nationale, européenne et internationale confondues.
« Personne n’est irremplaçable », le dicton n’a pas cours pour Matuidi. Au match aller contre les Verts, le 3 novembre dernier au Parc des Princes, la sortie sur blessure de l’ex-Stéphanois dès la demi-heure de jeu, après un choc aérien avec Josuah Guilavogui avait été fatidique aux hommes d’Ancelotti qui concédèrent leur première défaite de la saison (1-2). Roland Romeyer, le président des Verts s’en souvient :
« Sans lui, le PSG a perdu son football. C’est un pilier de son équipe avec Ibrahimovic. » Son coéquipier Christophe Jallet ne dit pas autre chose : « Sans lui, l’équipe ne serait pas la même ». L’homme présente tout autant d’intérêt : « C’est un garçon adorable, de ceux qu’on aimerait toujours avoir. Il est doux mais il a beaucoup de caractère. Il sait où il veut aller. Il est ambitieux » renchérit Romeyer.
Son ex-partenaire et ami Josuah Guilavogui poursuit l’éloge : « C’est un très bon joueur qui a compté dans ma progression. Il m’a beaucoup parlé. Il faisait l’unanimité, il continue à la faire. Je me suis entraîné deux ans avec lui, son potentiel était évident. Il a simplement pris une autre dimension au PSG. Maintenant il marque. On le chambrait à l’entraînement parce qu’il ne marquait pas. Je suis content pour lui. Dimanche, il sera mon adversaire mais c’est avant tout un ami. »
Christophe Galtier, son ex-entraîneur ne doutait pas non plus de son évolution vers les sommets : « On sentait tous qu’il avait un potentiel énorme, on était sûr de ses qualités mentales et athlétiques. Le fait d’avoir un grand entraîneur fait qu’il s’est amélioré techniquement, tactiquement. On est très content quelque part. Avec beaucoup de modestie, on est fier parce qu’on a travaillé dans ce sens. Il est en train de devenir un très grand joueur. »
Au bout du compte, comme dirait Jean-Marc Furlan, l’entraîneur de Troyes qui le lança : « Blaise, ce n’est que du bonheur ! »
Source : Le progrès
Il a séduit Carlo Ancelotti, convaincu Didier Deschamps, deux maîtres dans l’art de l’entrejeu. Le milieu de terrain parisien, formé à Troyes, et qui a passé ensuite quatre ans à Saint-Etienne, crève l’écran depuis le début de la saison sous les couleurs du PSG où il se pose en antithèse des stars de la Capitale. C’est dans le labeur que celui qui se présente comme un ouvrier du football trouve son bonheur et poursuit son irrésistible ascension.
«Lorsqu’il est arrivé à Saint-Etienne, son humilité m’avait frappé. Il avait même tendance à se sous-estimer. Mais malgré sa timidité, on sentait dans ses propos une féroce envie de progresser. C’était un garçon déjà très équilibré. »
Bernard Caïazzo, le président du Conseil de Surveillance de l’ASSE, qui a accueilli l’espoir troyen en 2007 mesure bien la dimension prise aujourd’hui par l’enfant de Fontenay-sous-Bois.
« On fondait beaucoup d’espoirs sur lui. Nous l’avions tout de même payé plus de cinq millions d’euros avec les bonus. Il ne nous a pas déçus. Il a toujours eu le souci de sa progression et une attitude irréprochable. Il est de la dimension des Patrick Vieira, Claude Makelele ou Lilian Thuram. Il est jeune mais c’est un joueur à l’ancienne de par son comportement. »
Aujourd’hui, Nasser Al Kelaïfi, le président du PSG est tout aussi ébahi et bluffé par la progression et l’impact au sein du groupe de ce joueur « spécial et unique, un guerrier, jamais arrogant qu’il l’adore », même s’il ne figurait pas parmi les premiers choix de la direction sportive du club, à son arrivée dans la Capitale, en 2011.
En vérité, Carlo Ancelotti n’a commis qu’une erreur à l’encontre de « Balèze » Matuidi. Celle de ne pas le titulariser lors du premier match de championnat face à Lorient. Ce soir-là, Paris passa tout près de la catastrophe sur la pelouse du Parc (2-2). Le week-end suivant, Matuidi entamait une très longue série de titularisations (46 à ce jour !) toutes compétitions nationale, européenne et internationale confondues.
« Personne n’est irremplaçable », le dicton n’a pas cours pour Matuidi. Au match aller contre les Verts, le 3 novembre dernier au Parc des Princes, la sortie sur blessure de l’ex-Stéphanois dès la demi-heure de jeu, après un choc aérien avec Josuah Guilavogui avait été fatidique aux hommes d’Ancelotti qui concédèrent leur première défaite de la saison (1-2). Roland Romeyer, le président des Verts s’en souvient :
« Sans lui, le PSG a perdu son football. C’est un pilier de son équipe avec Ibrahimovic. » Son coéquipier Christophe Jallet ne dit pas autre chose : « Sans lui, l’équipe ne serait pas la même ». L’homme présente tout autant d’intérêt : « C’est un garçon adorable, de ceux qu’on aimerait toujours avoir. Il est doux mais il a beaucoup de caractère. Il sait où il veut aller. Il est ambitieux » renchérit Romeyer.
Son ex-partenaire et ami Josuah Guilavogui poursuit l’éloge : « C’est un très bon joueur qui a compté dans ma progression. Il m’a beaucoup parlé. Il faisait l’unanimité, il continue à la faire. Je me suis entraîné deux ans avec lui, son potentiel était évident. Il a simplement pris une autre dimension au PSG. Maintenant il marque. On le chambrait à l’entraînement parce qu’il ne marquait pas. Je suis content pour lui. Dimanche, il sera mon adversaire mais c’est avant tout un ami. »
Christophe Galtier, son ex-entraîneur ne doutait pas non plus de son évolution vers les sommets : « On sentait tous qu’il avait un potentiel énorme, on était sûr de ses qualités mentales et athlétiques. Le fait d’avoir un grand entraîneur fait qu’il s’est amélioré techniquement, tactiquement. On est très content quelque part. Avec beaucoup de modestie, on est fier parce qu’on a travaillé dans ce sens. Il est en train de devenir un très grand joueur. »
Au bout du compte, comme dirait Jean-Marc Furlan, l’entraîneur de Troyes qui le lança : « Blaise, ce n’est que du bonheur ! »
Source : Le progrès
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- Localisation : Vancouver
Re: Blaise Matuidi
Dommage que Matuidi soit suspendu pour le match retour contre le Barça.
Avec son but à la dernière minute, il est une vrai star en ce moment, adulé par les parisiens.
Plus sa valeur monte, plus nos recettes vont grimper en fléche !
Avec son but à la dernière minute, il est une vrai star en ce moment, adulé par les parisiens.
Plus sa valeur monte, plus nos recettes vont grimper en fléche !
- Kevin-10
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- troyenetchampenois
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Re: [Fil Rouge] Il joue où lui maintenant ??
J'ai bien aimé la déclaration du (petit) grand Blaise après match. Il n'oublie pas son club formateur. J'espère que les jeunes du Centre de Formation suivent son exemple, rester humble et atteindre les objectifs que l'on se fixe à force de travail (même si on n'est pas au départ surdoué, Dame Nature n'accorde ses préférences avec parcimonie).
Que Blaise revienne de temps en temps au Centre de Formation pour motiver nos jeunes pousses afin d'atteindre le monde professionnel.
Que Blaise revienne de temps en temps au Centre de Formation pour motiver nos jeunes pousses afin d'atteindre le monde professionnel.
3,5 km du stade Gaston Arbouin
- Seven
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- Enregistré le : 19 août 2003, 09:59
- Localisation : Troyes
Re: Blaise Matuidi
C'est 5% du montant de la transaction, qui est distribuée aux clubs formateurs au prorata du nombre d'années passées au club. Et c'est valable seulement pour un transfert vers l'étranger.Electronic-cat a écrit :Reste à savoir si la prime liée au club formateur est un montant fixe ou un véritable pourcentage.
Donc les 5% ne sont pas exclusivement pour notre poche, on en touche une partie seulement (en fonction du nombre d'années passées au club entre le 12e et le 23e anniversaire du joueur).
> Voici comment sont exactement répartis ces 5% :
– Saison de son 12e anniversaire :
5 % (soit 0,25 % de l’indemnité totale)
– Saison de son 13e anniversaire :
5 % (soit 0,25 % de l’indemnité totale)
– Saison de son 14e anniversaire :
5 % (soit 0,25 % de l’indemnité totale)
– Saison de son 15e anniversaire :
5 % (soit 0,25 % de l’indemnité totale)
– Saison de son 16e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
– Saison de son 17e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
– Saison de son 18e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
– Saison de son 19e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
– Saison de son 20e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
– Saison de son 21e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
– Saison de son 22e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
– Saison de son 23e anniversaire :
10% (soit 0,5% de l’indemnité totale)
> En clair, la répartition se ferait comme cela:
Matuidi a passé 4 ans au club entre 16 et 20 ans (2003-2007). Selon les règlements de la FIFA, l'Estac peut donc prétendre à la moitié (50%) des 5% du montant de la transaction en cas de transfert vers l'étranger. Saint-Etienne aurait droit à 30% de ces 5%. Les 20% restants seraient à répartir entre Créteil et Vincennes, deux clubs fréquentés par Matuidi entre 12 et 16 ans.
> Petite simulation:
Si Matuidi est transféré pour 30M€ par exemple, 5% de cette somme, soit 1,5M€ seraient à répartir entre l'Estac (750K€), Saint-Etienne (450K€), Créteil et Vincennes (300K€ à répartir entre les 2).
La générosité sur le terrain, c'est tout donner sauf la victoire.