Super mentalité ce Jarjat (ce qui devient de + en + rare dans le foot) et répond toujours présent quand l'équipe a besoin de lui!!
Bravo
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Les compos probables:
-------------- Thuram -----------------
Jarjat -- Saunier -- Rincon -- N'Sakala
--------- N'Goyi -- Obbadi ------------
--- Yattara --- Nivet ---- Camus ----
-------------- Marcos ------------------
-------------- Fauvergue ----------------
-- Diego -- Devaux --- Glombard ----
--------- Krychowiak -- Ca ------------
Souaré -- Weber -- Tacalfred -- Mandi
-------------- Agassa -----------------
-------------- Thuram -----------------
Jarjat -- Saunier -- Rincon -- N'Sakala
--------- N'Goyi -- Obbadi ------------
--- Yattara --- Nivet ---- Camus ----
-------------- Marcos ------------------
-------------- Fauvergue ----------------
-- Diego -- Devaux --- Glombard ----
--------- Krychowiak -- Ca ------------
Souaré -- Weber -- Tacalfred -- Mandi
-------------- Agassa -----------------
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Enregistré le : 02 déc. 2006, 09:35
Les articles concernant les andouillettes sur le Blog du Stade de Reims
http://stade-de-reims-paolo92.skyrock.c ... royes.html
http://stade-de-reims-paolo92.skyrock.c ... royes.html
Modo
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Enregistré le : 18 juil. 2004, 19:57
Content de voir Camus titulaire!
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Dommage, je préfère voir Camus en tant que numéro 10. Pourquoi pas une ligne d'attaque:
-Yattara--Camus--Bahebeck-
-----------Marcos--------------
Comme çà, Marcos est là pour les coups de pieds défensifs pour aider et soulager la défense. Après, s'il est cuit en seconde mi-temps, tu mets Momo Camara à sa place, et après tu décales Camus à droite, tu mets Nivet en 10 et Enza à gauche.
-Camus--Nivet--Enza-
---------Camara--------
-Yattara--Camus--Bahebeck-
-----------Marcos--------------
Comme çà, Marcos est là pour les coups de pieds défensifs pour aider et soulager la défense. Après, s'il est cuit en seconde mi-temps, tu mets Momo Camara à sa place, et après tu décales Camus à droite, tu mets Nivet en 10 et Enza à gauche.
-Camus--Nivet--Enza-
---------Camara--------
Passe Avant Li Melhior
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Enregistré le : 14 nov. 2005, 19:02
Contributeur
absolument, c'est un vieux guerrier, en plus de la mentalité, il a la compétence.Catalaunien a écrit :Super mentalité ce Jarjat (ce qui devient de + en + rare dans le foot) et répond toujours présent quand l'équipe a besoin de lui!!
Bravo
C'est très bien de pouvoir toujours compter dessus, qu'il soit toujours prêt à jouer.
Il ne représente pas l'avenir comme Colin ou Saunier ou Rincon, mais il a les années d'expérience.
A 32 ans :
- 43 matchs de L1.....3 buts
- 220 matchs de L2.....3 buts
- 22 matchs de National....2 buts
----------------------------------
Soit : 285 matchs au total.
Star mondiale
Messages : 20378
Enregistré le : 12 août 2010, 00:54
Star mondiale
On ne parle pas de celui qui risque une fois de plus d'être l'acteur principal de ce match : le redoutable monsieur CHAPRON, qui n'a jamais été tendre avec l'ESTAC. C'est un euphémisme.
L'ESTAC finira -t-elle le match à 11 ?
Se verra-t-elle infliger un nouveau penalty imaginaire comme à BASTIA derrnièrement ?
Avec un arbitrage honnête, les chances me semblent réelles d'accrocher un nul. Même s'il faudra pour cela rééditer la performance défensive réalisée contre MARSEILLE.
L'ESTAC finira -t-elle le match à 11 ?
Se verra-t-elle infliger un nouveau penalty imaginaire comme à BASTIA derrnièrement ?
Avec un arbitrage honnête, les chances me semblent réelles d'accrocher un nul. Même s'il faudra pour cela rééditer la performance défensive réalisée contre MARSEILLE.
International
International
J'aimerai bien que notre défense soit imperméable comme contre Marseille. Ne pas prendre de buts fait du bien au goal average et pour le moral de tout le secteur défensif, et même du secteur offensif qui joue un peu plus sans pression.
Allez une petite victoire 1-0 çà me ferait plaisir
Allez une petite victoire 1-0 çà me ferait plaisir
Passe Avant Li Melhior
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Enregistré le : 30 déc. 2010, 18:44
Obbadi, la bonne patte du derby
Attention, Troyes et Mounir Obbadi ont toujours bien réussi face au Stade de Reims.
FOOTBALL (L1). Très influent dans le jeu de l'Estac, Mounir Obbadi espère que battre Marseille n'aura pas été un feu de paille. Le Troyen veut récidiver dans ce derby à Reims, un club qui lui réussit. A suivre en direct samedi dès 20 heures.
IL est de ceux que le Stade ne voit pas arriver d'un bon œil. En 11 rencontres de championnat (National et Ligue 2), les Rouge et Blanc n'ont eu le dernier mot avec lui qu'à deux reprises (*). Mounir Obbadi est un coriace loyal.
En bientôt dix ans de professionnalisme, le « Titi parisien », formé au Camp des Loges, n'a connu qu'Angers et Troyes. A 29 ans, le vice-capitaine aubois s'est taillé une solide et justifiée réputation de battant mais aussi d'élégance balle au pied. Une épaisseur de caractère doublée d'une finesse technique.
Ce n'est pas un hasard si le Franco-Marocain est un des joueurs - avec Fabrice Nsakala (de retour de suspension) - qui touche le plus de ballons. Pour juguler le jeu de l'Estac, il faut déjà mettre la main sur son milieu relayeur…
« Prendre des points partout où on va »
Mounir, après le succès contre Marseille, votre coach a évoqué un poids en moins sur vos épaules.
Est-ce ainsi que vous vivez votre premier succès en championnat ?
« On a enfin gagné et, en plus, contre le leader. Mentalement, ça fait beaucoup de bien. Pour la confiance, il n'y avait rien de tel avant de se projeter sur Reims. C'est plus agréable de s'entraîner, de travailler après un succès. »
Ressentiez-vous de la pression ?
« Un peu d'impatience mais pas de pression. On attendait tous cette victoire plus tôt dans la saison. Depuis le début, on sait que ça va être dur. L'Estac a le plus petit budget. Il est normal que l'on souffre. Certains nous voient déjà morts, déjà en Ligue 2. A nous de les faire mentir. »
Pour l'anecdote, vous le gamin formé à Paris, vous offrez la première place de la L1 au PSG en battant l'OM…
« C'est un petit plaisir en plus. A choisir un champion entre les deux, je suis Parisien à 100 %. »
Ce succès de prestige ne prendra toute sa valeur que si vous enchaînez demain à Reims ?
« Reims ou un autre, c'est pareil. Le maintien est loin. Il faut prendre des points partout. Il faut enchaîner pour sortir de la zone rouge. »
Reims est-il l'adversaire idéal pour la passe de deux ?
« On connaît cette équipe depuis longtemps. C'est toujours compliqué contre elle. Reims est solide défensivement et va très vite vers l'avant. Il est dangereux sur ses attaques rapides. Pour faire un résultat, il faudra de la concentration, de la rigueur. Mais, il faudra aussi que l'on respecte notre philosophie de jeu, faite de passes, de mouvements. On ne le trahit jamais. C'est dommage qu'on ne parvienne pas à concrétiser. »
Votre récente victoire en Coupe de la Ligue (2-1) peut-elle avoir un impact sur ce derby ?
« Cela donne sans doute une motivation supplémentaire à Reims qui voudra sa revanche. Mais, pour moi, les deux compétitions sont très différentes. On sait où est notre challenge : prendre des points partout où on va. »
« Olivier Guégan m'a inspiré »
A Reims, vous allez retrouver de vieilles connaissances qui vous ont vu grandir ?
« C'est vrai. Quand je suis arrivé au Sco d'Angers. Il y avait Mickaël Tacalfred, un défenseur intransigeant. Je ne suis pas surpris de le retrouver là. Et, là-bas, mon capitaine était Olivier Guégan. Je jouais récupérateur avec lui. J'ai beaucoup appris à ses côtés. Il avait un caractère fort. Il a inspiré mon début de carrière par son tempérament de guerrier. C'était un vrai leader de vestiaire et un meneur d'hommes sur le terrain. »
(*) Contre Angers ou Troyes, le Stade s'est donc imposé deux fois (1-0) contre Troyes (National et l'an passé sur un exploit de Fauré dans le temps additionnel), a concédé 7 défaites et 2 nuls.
Attention, Troyes et Mounir Obbadi ont toujours bien réussi face au Stade de Reims.
FOOTBALL (L1). Très influent dans le jeu de l'Estac, Mounir Obbadi espère que battre Marseille n'aura pas été un feu de paille. Le Troyen veut récidiver dans ce derby à Reims, un club qui lui réussit. A suivre en direct samedi dès 20 heures.
IL est de ceux que le Stade ne voit pas arriver d'un bon œil. En 11 rencontres de championnat (National et Ligue 2), les Rouge et Blanc n'ont eu le dernier mot avec lui qu'à deux reprises (*). Mounir Obbadi est un coriace loyal.
En bientôt dix ans de professionnalisme, le « Titi parisien », formé au Camp des Loges, n'a connu qu'Angers et Troyes. A 29 ans, le vice-capitaine aubois s'est taillé une solide et justifiée réputation de battant mais aussi d'élégance balle au pied. Une épaisseur de caractère doublée d'une finesse technique.
Ce n'est pas un hasard si le Franco-Marocain est un des joueurs - avec Fabrice Nsakala (de retour de suspension) - qui touche le plus de ballons. Pour juguler le jeu de l'Estac, il faut déjà mettre la main sur son milieu relayeur…
« Prendre des points partout où on va »
Mounir, après le succès contre Marseille, votre coach a évoqué un poids en moins sur vos épaules.
Est-ce ainsi que vous vivez votre premier succès en championnat ?
« On a enfin gagné et, en plus, contre le leader. Mentalement, ça fait beaucoup de bien. Pour la confiance, il n'y avait rien de tel avant de se projeter sur Reims. C'est plus agréable de s'entraîner, de travailler après un succès. »
Ressentiez-vous de la pression ?
« Un peu d'impatience mais pas de pression. On attendait tous cette victoire plus tôt dans la saison. Depuis le début, on sait que ça va être dur. L'Estac a le plus petit budget. Il est normal que l'on souffre. Certains nous voient déjà morts, déjà en Ligue 2. A nous de les faire mentir. »
Pour l'anecdote, vous le gamin formé à Paris, vous offrez la première place de la L1 au PSG en battant l'OM…
« C'est un petit plaisir en plus. A choisir un champion entre les deux, je suis Parisien à 100 %. »
Ce succès de prestige ne prendra toute sa valeur que si vous enchaînez demain à Reims ?
« Reims ou un autre, c'est pareil. Le maintien est loin. Il faut prendre des points partout. Il faut enchaîner pour sortir de la zone rouge. »
Reims est-il l'adversaire idéal pour la passe de deux ?
« On connaît cette équipe depuis longtemps. C'est toujours compliqué contre elle. Reims est solide défensivement et va très vite vers l'avant. Il est dangereux sur ses attaques rapides. Pour faire un résultat, il faudra de la concentration, de la rigueur. Mais, il faudra aussi que l'on respecte notre philosophie de jeu, faite de passes, de mouvements. On ne le trahit jamais. C'est dommage qu'on ne parvienne pas à concrétiser. »
Votre récente victoire en Coupe de la Ligue (2-1) peut-elle avoir un impact sur ce derby ?
« Cela donne sans doute une motivation supplémentaire à Reims qui voudra sa revanche. Mais, pour moi, les deux compétitions sont très différentes. On sait où est notre challenge : prendre des points partout où on va. »
« Olivier Guégan m'a inspiré »
A Reims, vous allez retrouver de vieilles connaissances qui vous ont vu grandir ?
« C'est vrai. Quand je suis arrivé au Sco d'Angers. Il y avait Mickaël Tacalfred, un défenseur intransigeant. Je ne suis pas surpris de le retrouver là. Et, là-bas, mon capitaine était Olivier Guégan. Je jouais récupérateur avec lui. J'ai beaucoup appris à ses côtés. Il avait un caractère fort. Il a inspiré mon début de carrière par son tempérament de guerrier. C'était un vrai leader de vestiaire et un meneur d'hommes sur le terrain. »
(*) Contre Angers ou Troyes, le Stade s'est donc imposé deux fois (1-0) contre Troyes (National et l'an passé sur un exploit de Fauré dans le temps additionnel), a concédé 7 défaites et 2 nuls.
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