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Blaise Matuidi (2004 - 2007)
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Re: Il joue où lui maintenant ??
bin moi, je vais aller voir mon Ptit Blaise samedi 9 avril à Auxerre, je me suis pris une super place en face de la ligne médiane en hauteur, pour le voir bien, ce n'est que du plaisir de le revoir, je ne voulais surement pas louper ça car ce n'est pas un Rothen lui.
St Etienne je m'en fou, c'est Ptit Blaise que je vais voir et en même temps je vais supporter Auxerre, j'aime bien les bouzeux (comme vous dites), mais pas autant que l'estac
Aller Blaise et Aller Auxerre
Bon match à moi...
St Etienne je m'en fou, c'est Ptit Blaise que je vais voir et en même temps je vais supporter Auxerre, j'aime bien les bouzeux (comme vous dites), mais pas autant que l'estac
Aller Blaise et Aller Auxerre
Bon match à moi...
- Mlledu10
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Re: Il joue où lui maintenant ??
Matuidi :«Je me suis trompé»
Il n'y croyait pas et pourtant... Cette saison, Blaise Matuidi a découvert les Bleus sous le maillot de Saint-Etienne. Il aspire à aller encore plus haut.
Il était convaincu du contraire. Être appelé en équipe de France en évoluant à Saint-Etienne ? Impossible, pensait Blaise Matuidi. Quatre convocations chez les Bleus et deux sélections plus tard, le milieu stéphanois le reconnaît avec un plaisir non dissimulé : «Je me suis trompé». Alors que l'absence de Coupe d'Europe ajoutée à deux dernières saisons chaotiques l'avaient poussé à s'interroger cet été sur la suite à donner à sa carrière, Matuidi a finalement prolongé son contrat avec les Verts jusqu'en juin 2013. Faute de mieux ? «La vérité c'est que n'ai pas eu la proposition du club qui m'aurait permis de franchir un cap, reconnaît-il. Mais finalement, j'ai réussi à le faire avec Saint-Etienne, et c'est tant mieux. C'est grâce à lui que je suis devenu international».
En club, la voix de Matuidi porte haut. En sélection, le milieu défensif se signale par davantage de retenue. Comme si la peur de dire quelque chose qu'il ne fallait pas prenait le dessus. «C'est vrai et c'est normal», souligne-t-il. Fort de ses quatre années passées dans le Forez, l'ancien Troyen fait figure de cadre chez les Verts quand il n'est encore qu'un bleu chez les Bleus. «Je ne suis pas un terrain inconnu, mais je suis nouveau et je ne fais pas encore partie intégrante de cette équipe de France, rappelle-t-il encore. Pour l'instant, je suis à l'écoute pour progresser, mais les choses se feront naturellement. Le plus important, c'est de s'affirmer sur le carré vert. Il n'y a que ça qui compte». Dans l'ensemble, il estime y être parvenu contre la Croatie, il y a dix jours, en amical.
Cette première titularisation sous le maillot Bleu, Matuidi ne s'y attendait pas vraiment. Il a appris la nouvelle lors de la causerie d'avant-match avec pour seules consignes de Laurent Blanc «de jouer mon jeu et de ne pas me prendre la tête». Perfectionniste, le joueur qui fêtera ses 24 ans le 9 avril se reproche de ne s'être «peut-être pas assez libéré». «A Saint-Etienne, je touche énormément de ballons. J'aurais pu me rendre plus disponible, mais je suis quelqu'un d'insatisfait, d'ambitieux, qui aspire à être toujours au meilleur de son potentiel. De ce point de vue-là, j'ai encore un peu de marge». La progression de ce grand fan de Claude Makelele -«mon modèle»- passera-t-elle par un départ vers un club plus huppé cet été ? «Aujourd'hui, je ne me pose pas la question, mais j'aspire à jouer la Ligue des champions un jour. Même si à la fin de l'année, j'irai sur mes 200 matches en L1, tant que je n'aurai pas disputé de grande compétition, pour moi, je serai toujours au début du chemin».
Source: equipe.fr
Il n'y croyait pas et pourtant... Cette saison, Blaise Matuidi a découvert les Bleus sous le maillot de Saint-Etienne. Il aspire à aller encore plus haut.
Il était convaincu du contraire. Être appelé en équipe de France en évoluant à Saint-Etienne ? Impossible, pensait Blaise Matuidi. Quatre convocations chez les Bleus et deux sélections plus tard, le milieu stéphanois le reconnaît avec un plaisir non dissimulé : «Je me suis trompé». Alors que l'absence de Coupe d'Europe ajoutée à deux dernières saisons chaotiques l'avaient poussé à s'interroger cet été sur la suite à donner à sa carrière, Matuidi a finalement prolongé son contrat avec les Verts jusqu'en juin 2013. Faute de mieux ? «La vérité c'est que n'ai pas eu la proposition du club qui m'aurait permis de franchir un cap, reconnaît-il. Mais finalement, j'ai réussi à le faire avec Saint-Etienne, et c'est tant mieux. C'est grâce à lui que je suis devenu international».
En club, la voix de Matuidi porte haut. En sélection, le milieu défensif se signale par davantage de retenue. Comme si la peur de dire quelque chose qu'il ne fallait pas prenait le dessus. «C'est vrai et c'est normal», souligne-t-il. Fort de ses quatre années passées dans le Forez, l'ancien Troyen fait figure de cadre chez les Verts quand il n'est encore qu'un bleu chez les Bleus. «Je ne suis pas un terrain inconnu, mais je suis nouveau et je ne fais pas encore partie intégrante de cette équipe de France, rappelle-t-il encore. Pour l'instant, je suis à l'écoute pour progresser, mais les choses se feront naturellement. Le plus important, c'est de s'affirmer sur le carré vert. Il n'y a que ça qui compte». Dans l'ensemble, il estime y être parvenu contre la Croatie, il y a dix jours, en amical.
Cette première titularisation sous le maillot Bleu, Matuidi ne s'y attendait pas vraiment. Il a appris la nouvelle lors de la causerie d'avant-match avec pour seules consignes de Laurent Blanc «de jouer mon jeu et de ne pas me prendre la tête». Perfectionniste, le joueur qui fêtera ses 24 ans le 9 avril se reproche de ne s'être «peut-être pas assez libéré». «A Saint-Etienne, je touche énormément de ballons. J'aurais pu me rendre plus disponible, mais je suis quelqu'un d'insatisfait, d'ambitieux, qui aspire à être toujours au meilleur de son potentiel. De ce point de vue-là, j'ai encore un peu de marge». La progression de ce grand fan de Claude Makelele -«mon modèle»- passera-t-elle par un départ vers un club plus huppé cet été ? «Aujourd'hui, je ne me pose pas la question, mais j'aspire à jouer la Ligue des champions un jour. Même si à la fin de l'année, j'irai sur mes 200 matches en L1, tant que je n'aurai pas disputé de grande compétition, pour moi, je serai toujours au début du chemin».
Source: equipe.fr
- Mlledu10
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Re: Il joue où lui maintenant ??
Matuidi, Vert de l’espoir.
L’année 1987 a particulièrement été généreuse à l’égard du football français. Nés cette année là, Karim Benzema, Hatem Ben Arfa, Jérémy Ménez ou encore Samir Nasri sont ainsi les fleurons d’une génération de joueurs talentueux, en qui l’on plaçait volontiers les plus grands espoirs sur la scène internationale après leur victoire à l’UEFA EURO U-17 2004.
Jugé "fauteur de trouble", ce bouquet de Bleuets n’a toutefois pas eu le même succès auprès de l’ancien sélectionneur de l’équipe de France, Raymond Domenech. Si ce dernier s’en est donc passé quelques années, son successeur Laurent Blanc a lui manifestement décidé de s’appuyer pour l’avenir sur cette "génération de fou", selon ses termes. Parmi elle, il semble notamment attendre beaucoup du milieu de terrain défensif de Saint-Etienne, Blaise Matuidi.
Espoir des Verts, Vert de l’espoir, le joueur d’origine angolaise est, il est vrai, en train de franchir un palier cette année. Sa régularité, ses qualités de récupérateur-relayeur, ont autant contribué au joli parcours de l’ASSE en Ligue 1 cette saison, qu’aux appels répétés de Blanc chez les Bleus. "J’aime bien aller chercher le ballon dans les pieds et le redistribuer le plus proprement possible à mes coéquipiers. C’est ce qu’on me demande, et c’est ce que j’essaye de faire" raconte-t-il modestement au micro de FIFA.com
De Troyes en trois
Jugé "indispensable à l’ASSE" par son entraîneur Christophe Galtier, considéré comme "attentif, volontaire et surtout ne se posant pas de question" par son sélectionneur, son jeu fait l’unanimité auprès de ses coachs. "Dans sa capacité à récupérer le ballon, à dribbler aisément, il me faisait penser à Jean Tigana" raconte encore Jean Marc Furlan, qui l’a lancé dans le grand bain de la Ligue 1 sous le maillot de Troyes en 2005. Pas étonnant donc que son ascension ait été fulgurante…
Après trois ans à l'ESTAC (2004-2007), où sa progression fut en effet constante et agrémentée de quatre buts lors de la dernière saison, le gamin de Fontenay-sous-Bois quitte l’Aube pour le mythique club de Saint-Etienne. Inamovible sentinelle, son influence est alors croissante chez les Verts. On lui confie même le brassard de capitaine en l’absence de Loïc Perrin, dés sa seconde saison dans le Forez : "ça fait toujours plaisir d’être capitaine d’une équipe… être celui d’un club comme celui de Saint-Etienne est encore plus spécial. Quand j’ai le brassard, j’essaye simplement d’apporter ma petite expérience et mon envie sur le terrain" avoue l'intéressé.
S’il rayonne déjà lors de ses premières années stéphanoises, Matuidi ne parvient toutefois pas à emmener dans son sillage une ASSE ancrée dans la seconde partie de tableau. Il faut donc attendre cette année 2010/11 pour voir les Verts retrouver un peu de leur superbe, et le haut du classement. Meilleur tacleur du championnat avec plus de 107 tacles réussis au dernier comptage (29 mars 2011), l’homme chewing gum - surnom imaginé par son ami Samir Nasri pour sa capacité à s'enrouler autour des adversaires – persiste, lui, dans son habituel abatage.
Vert mais mûr
"C’est vrai qu’on a longtemps été en haut du tableau, mais on avait conscience que ça n’allait peut être pas durer toute la saison. On sait d’où l’on vient !" analyse Matuidi "mais on sait également ce que l’on veut ! Aujourd’hui il y a une sixième place à aller chercher. Certes, c’est serré, on est plusieurs à la vouloir mais on va tout faire pour aller accrocher ce fauteuil qui peut être synonyme d’Europe. On va se battre."
On peut lui faire confiance pour allier les gestes à la parole. Il suffit de voir avec quelle énergie il s’emploie pour récupérer le moindre ballon. Laurent Blanc qui loue "ses qualités mentales" a insisté sur son apport lors de la dernière sortie des Tricolores contre la Croatie, première titularisation du Stéphanois : "Je pense que Blaise Matuidi a gagné sa place ce soir et durant le stage". A l’aise, Blaise a, lui, savouré : "c’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé. J’ai ressenti énormément de bonheur."
Mais le sérieux reprend vite le dessus : "Attention, ce n’est pas une fin en soi. Il faut encore que je travaille, j’ai encore du chemin à parcourir. Ce n’est qu’un match. Pour être un joueur aguerri, il en faut plus. A moi de continuer à travailler pour franchir encore plus d’étapes." Jeune mais mature, cette ambivalence retentit à nouveau lorsqu’il évoque son avenir : "Je suis à Saint-Etienne, sous contrat, et je me dois donc de ne parler d’aucun autre club. Je suis uniquement concentré sur notre fin de saison et ne porte aucun regard sur mes objectifs à long terme".
Encore Vert, mais déjà mûr, Matuidi récolte aujourd’hui, à l'évidence, les fruits d’une rare maturation.
Source: FIFA.com
L’année 1987 a particulièrement été généreuse à l’égard du football français. Nés cette année là, Karim Benzema, Hatem Ben Arfa, Jérémy Ménez ou encore Samir Nasri sont ainsi les fleurons d’une génération de joueurs talentueux, en qui l’on plaçait volontiers les plus grands espoirs sur la scène internationale après leur victoire à l’UEFA EURO U-17 2004.
Jugé "fauteur de trouble", ce bouquet de Bleuets n’a toutefois pas eu le même succès auprès de l’ancien sélectionneur de l’équipe de France, Raymond Domenech. Si ce dernier s’en est donc passé quelques années, son successeur Laurent Blanc a lui manifestement décidé de s’appuyer pour l’avenir sur cette "génération de fou", selon ses termes. Parmi elle, il semble notamment attendre beaucoup du milieu de terrain défensif de Saint-Etienne, Blaise Matuidi.
Espoir des Verts, Vert de l’espoir, le joueur d’origine angolaise est, il est vrai, en train de franchir un palier cette année. Sa régularité, ses qualités de récupérateur-relayeur, ont autant contribué au joli parcours de l’ASSE en Ligue 1 cette saison, qu’aux appels répétés de Blanc chez les Bleus. "J’aime bien aller chercher le ballon dans les pieds et le redistribuer le plus proprement possible à mes coéquipiers. C’est ce qu’on me demande, et c’est ce que j’essaye de faire" raconte-t-il modestement au micro de FIFA.com
De Troyes en trois
Jugé "indispensable à l’ASSE" par son entraîneur Christophe Galtier, considéré comme "attentif, volontaire et surtout ne se posant pas de question" par son sélectionneur, son jeu fait l’unanimité auprès de ses coachs. "Dans sa capacité à récupérer le ballon, à dribbler aisément, il me faisait penser à Jean Tigana" raconte encore Jean Marc Furlan, qui l’a lancé dans le grand bain de la Ligue 1 sous le maillot de Troyes en 2005. Pas étonnant donc que son ascension ait été fulgurante…
Après trois ans à l'ESTAC (2004-2007), où sa progression fut en effet constante et agrémentée de quatre buts lors de la dernière saison, le gamin de Fontenay-sous-Bois quitte l’Aube pour le mythique club de Saint-Etienne. Inamovible sentinelle, son influence est alors croissante chez les Verts. On lui confie même le brassard de capitaine en l’absence de Loïc Perrin, dés sa seconde saison dans le Forez : "ça fait toujours plaisir d’être capitaine d’une équipe… être celui d’un club comme celui de Saint-Etienne est encore plus spécial. Quand j’ai le brassard, j’essaye simplement d’apporter ma petite expérience et mon envie sur le terrain" avoue l'intéressé.
S’il rayonne déjà lors de ses premières années stéphanoises, Matuidi ne parvient toutefois pas à emmener dans son sillage une ASSE ancrée dans la seconde partie de tableau. Il faut donc attendre cette année 2010/11 pour voir les Verts retrouver un peu de leur superbe, et le haut du classement. Meilleur tacleur du championnat avec plus de 107 tacles réussis au dernier comptage (29 mars 2011), l’homme chewing gum - surnom imaginé par son ami Samir Nasri pour sa capacité à s'enrouler autour des adversaires – persiste, lui, dans son habituel abatage.
Vert mais mûr
"C’est vrai qu’on a longtemps été en haut du tableau, mais on avait conscience que ça n’allait peut être pas durer toute la saison. On sait d’où l’on vient !" analyse Matuidi "mais on sait également ce que l’on veut ! Aujourd’hui il y a une sixième place à aller chercher. Certes, c’est serré, on est plusieurs à la vouloir mais on va tout faire pour aller accrocher ce fauteuil qui peut être synonyme d’Europe. On va se battre."
On peut lui faire confiance pour allier les gestes à la parole. Il suffit de voir avec quelle énergie il s’emploie pour récupérer le moindre ballon. Laurent Blanc qui loue "ses qualités mentales" a insisté sur son apport lors de la dernière sortie des Tricolores contre la Croatie, première titularisation du Stéphanois : "Je pense que Blaise Matuidi a gagné sa place ce soir et durant le stage". A l’aise, Blaise a, lui, savouré : "c’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé. J’ai ressenti énormément de bonheur."
Mais le sérieux reprend vite le dessus : "Attention, ce n’est pas une fin en soi. Il faut encore que je travaille, j’ai encore du chemin à parcourir. Ce n’est qu’un match. Pour être un joueur aguerri, il en faut plus. A moi de continuer à travailler pour franchir encore plus d’étapes." Jeune mais mature, cette ambivalence retentit à nouveau lorsqu’il évoque son avenir : "Je suis à Saint-Etienne, sous contrat, et je me dois donc de ne parler d’aucun autre club. Je suis uniquement concentré sur notre fin de saison et ne porte aucun regard sur mes objectifs à long terme".
Encore Vert, mais déjà mûr, Matuidi récolte aujourd’hui, à l'évidence, les fruits d’une rare maturation.
Source: FIFA.com
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Re: blaise matuidi
Matuidi : «Si on est là, c'est qu'on le mérite»
«Ce que j'ai fait n'est pas passé inaperçu», s'est réjoui Blaise Matuidi, qui pourrait être titulaire avec les Bleus lundi contre l'Ukraine. «A un moment donné, j'aurai envie de jouer», prévient le milieu qui ne se contentera pas longtemps d'être remplaçant.
«Blaise, est-ce difficile de se motiver pour ces matches amicaux de fin de saison ?
C'est quand même le niveau international ! La motivation vient d'elle-même. Il faut être prêt quand on fait appel à nous. Si Laurent Blanc le fait, essayons de répondre présent, de donner le maximum pour montrer que l'on a notre place dans cette sélection. Il y a une grosse concurrence. On sait qu'il y a du monde. Le sélectionneur fait attention à tout. On est encore loin de l'Euro, alors, de là à se dire que des places se jouent...
Comment avez-vous accueilli cette première titularisation à la surprise générale contre la Croatie ?
Être titulaire était une surprise. Cela a montré que ce que j'ai fait n'est pas passé inaperçu et aussi la confiance que le sélectionneur a en moi. Ca m'a donné envie de donner plus. Je l'ai appris le soir à la causerie. Après, je ne me suis plus posé de questions. Je me suis dit que c'était le moment, j'ai pensé à toutes les étapes, à Troyes, à ma petite jeunesse. J'aurai pu faire mieux, mais c'était plutôt pas mal pour une première.
L'absence de cadres contre l'Ukraine inhibera-t-elle ou libèrera-t-elle leurs remplaçants ?
Si le sélectionneur fait appel à nous, c'est qu'il a confiance, quel que soit l'âge. Si on est là, c'est qu'on le mérite. L'objectif est d'abord d'accrocher le wagon. C'est étape par étape. Après, une fois qu'on y est, on est compétiteur. A un moment donné, j'aurai envie de jouer.
Que devez-vous travailler pour passer ces paliers ?
Tout, mais notamment l'utilisation du ballon, mon jeu vers l'avant. Je suis récupérateur avant tout mais je dois aspirer à être plus décisif. C'est ce qui fait la différence entre un bon et un excellent milieu. A ce niveau, je manque de spontanéité, je suis souvent concentré sur ce qu'on me demande de faire.
Un changement de club à un an de l'Euro peut-il vous aider ?
Il faut se poser de bonnes questions et je ne sais pas si ça passe par un départ. C'est une réflexion à avoir. Si j'ai l'opportunité pourquoi pas, mais j'ai l'équipe de France dans ma tête, j'en envie d'accrocher le bon wagon. Ca s'est plutôt bien passé pour moi cette saison, j'ai envie que ça continue. Je ne veux pas faire n'importe quoi.»
Source : France foot
«Ce que j'ai fait n'est pas passé inaperçu», s'est réjoui Blaise Matuidi, qui pourrait être titulaire avec les Bleus lundi contre l'Ukraine. «A un moment donné, j'aurai envie de jouer», prévient le milieu qui ne se contentera pas longtemps d'être remplaçant.
«Blaise, est-ce difficile de se motiver pour ces matches amicaux de fin de saison ?
C'est quand même le niveau international ! La motivation vient d'elle-même. Il faut être prêt quand on fait appel à nous. Si Laurent Blanc le fait, essayons de répondre présent, de donner le maximum pour montrer que l'on a notre place dans cette sélection. Il y a une grosse concurrence. On sait qu'il y a du monde. Le sélectionneur fait attention à tout. On est encore loin de l'Euro, alors, de là à se dire que des places se jouent...
Comment avez-vous accueilli cette première titularisation à la surprise générale contre la Croatie ?
Être titulaire était une surprise. Cela a montré que ce que j'ai fait n'est pas passé inaperçu et aussi la confiance que le sélectionneur a en moi. Ca m'a donné envie de donner plus. Je l'ai appris le soir à la causerie. Après, je ne me suis plus posé de questions. Je me suis dit que c'était le moment, j'ai pensé à toutes les étapes, à Troyes, à ma petite jeunesse. J'aurai pu faire mieux, mais c'était plutôt pas mal pour une première.
L'absence de cadres contre l'Ukraine inhibera-t-elle ou libèrera-t-elle leurs remplaçants ?
Si le sélectionneur fait appel à nous, c'est qu'il a confiance, quel que soit l'âge. Si on est là, c'est qu'on le mérite. L'objectif est d'abord d'accrocher le wagon. C'est étape par étape. Après, une fois qu'on y est, on est compétiteur. A un moment donné, j'aurai envie de jouer.
Que devez-vous travailler pour passer ces paliers ?
Tout, mais notamment l'utilisation du ballon, mon jeu vers l'avant. Je suis récupérateur avant tout mais je dois aspirer à être plus décisif. C'est ce qui fait la différence entre un bon et un excellent milieu. A ce niveau, je manque de spontanéité, je suis souvent concentré sur ce qu'on me demande de faire.
Un changement de club à un an de l'Euro peut-il vous aider ?
Il faut se poser de bonnes questions et je ne sais pas si ça passe par un départ. C'est une réflexion à avoir. Si j'ai l'opportunité pourquoi pas, mais j'ai l'équipe de France dans ma tête, j'en envie d'accrocher le bon wagon. Ca s'est plutôt bien passé pour moi cette saison, j'ai envie que ça continue. Je ne veux pas faire n'importe quoi.»
Source : France foot
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Re: Il joue où lui maintenant ??
Matuidi pour remplacer Toulalan ?
Lyon envisagerait de recruter le milieu de terrain de Saint-Etienne, Blaise Matuidi, en cas de départ de Jérémy Toulalan à Malaga. Selon RMC, aucune négociation n'aurait encore été entamée pour l'international français qui intéresse également Newcastle.
Source : France foot
Lyon envisagerait de recruter le milieu de terrain de Saint-Etienne, Blaise Matuidi, en cas de départ de Jérémy Toulalan à Malaga. Selon RMC, aucune négociation n'aurait encore été entamée pour l'international français qui intéresse également Newcastle.
Source : France foot
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Re: blaise matuidi
L'avenir de Matuidi « intéresse » l'Estac !
Courtisé par les plus grands clubs, Blaise Matuidi devrait quitter Saint-Etienne. Un transfert pour lequel l'Estac va actionner son droit de suite
Inauguré en 2002, le centre de formation de l'Estac est en constante progression. Comme l'attestent cette demi-finale de coupe Gambardella disputée récemment par les U19 à Mérignac, ou bien encore le classement de ce centre dans la plus haute catégorie (1A) pour la saison à venir. Financièrement parlant, le club phare aubois commence aussi à percevoir les fruits de la qualité de sa formation. Depuis l'existence de son centre, l'Estac a déjà touché autour de 500 000 € au titre de l'indemnité FIFA. Cette réglementation internationale, qui protège justement la formation, stipule que 5 % du montant du transfert d'un joueur professionnel à l'étranger (uniquement) revient au club formateur. Bien sûr, le montant issu de ce pourcentage est à partager si le joueur a connu plusieurs clubs entre 12 et 23 ans (N.D.L.R. : 0,25 % par an entre 12 et 15 ans, puis 0,50 % par an entre 16 et 23 ans). « On a touché 0,25 % pour le transfert de Mohamed Sissoko à l'étranger car il est resté un an chez nous avant de vite filer à Auxerre. En revanche, on a perçu 3 % pour celui de Karim Ziani en Allemagne, ou encore 2 % pour celui de Mamadou Niang en Turquie car Le Havre et Saint-André-les-Vergers étaient également concernés », précise Philippe Pichery, président de l'Association Estac. Inutile de préciser que le transfert imminent de Blaise Matuidi est suivi de près par l'Estac qui touchera 2 % (à l'Estac de 2003 à 2007, quatre années à 0,50 %) du montant du transfert, seulement si le Stéphanois file à l'étranger.
Clause libératoire de 12 millions d'euros
Une chose est sûre, l'Estac va bénéficier du droit de suite concernant Matuidi. Car lors du transfert (6 millions d'euros) du milieu défensif par l'Estac à l'ASSE en 2007, Thierry Gomez avait effectivement inclus un droit de suite, autrement dit négocié un pourcentage (on parle de 25 %) sur la plus-value du futur transfert de celui que Jean-Marc Furlan avait lancé, à 17 ans, en L2 en octobre 2004. Ce fameux droit de suite avait rapporté, par exemple, 1 million d'euros à l'Estac pour le transfert de Mamadou Niang de Strasbourg à Marseille. Combien rapportera celui de Blaise Matuidi ? Une certitude, ce joueur vaut une petite fortune lui qui, à 24 ans, compte déjà près de 200 matches en Ligue 1 et trois sélections en équipe de France. Une clause libératoire de 12 millions d'euros stipule, dans le contrat de Blaise Matuidi, que le joueur peut quitter le Forez à ce montant sans l'accord de ses dirigeants. Roland Romeyer a donc fait de l'intox quand il affirmait dernièrement que « Matuidi, c'est 15 millions d'euros ! ». En fait, le président des Verts en voulait terriblement au PSG d'avoir contacté directement Blaise Matuidi sans passer par le club, alors qu'à la base Roland Romeyer était prêt à négocier le départ de son joueur pour une somme allant de 10 à 12 millions d'euros. Qu'en sera-t-il dans les jours à venir ? On s'en doute, l'Estac suit ça de près.
Source : l est eclair
Courtisé par les plus grands clubs, Blaise Matuidi devrait quitter Saint-Etienne. Un transfert pour lequel l'Estac va actionner son droit de suite
Inauguré en 2002, le centre de formation de l'Estac est en constante progression. Comme l'attestent cette demi-finale de coupe Gambardella disputée récemment par les U19 à Mérignac, ou bien encore le classement de ce centre dans la plus haute catégorie (1A) pour la saison à venir. Financièrement parlant, le club phare aubois commence aussi à percevoir les fruits de la qualité de sa formation. Depuis l'existence de son centre, l'Estac a déjà touché autour de 500 000 € au titre de l'indemnité FIFA. Cette réglementation internationale, qui protège justement la formation, stipule que 5 % du montant du transfert d'un joueur professionnel à l'étranger (uniquement) revient au club formateur. Bien sûr, le montant issu de ce pourcentage est à partager si le joueur a connu plusieurs clubs entre 12 et 23 ans (N.D.L.R. : 0,25 % par an entre 12 et 15 ans, puis 0,50 % par an entre 16 et 23 ans). « On a touché 0,25 % pour le transfert de Mohamed Sissoko à l'étranger car il est resté un an chez nous avant de vite filer à Auxerre. En revanche, on a perçu 3 % pour celui de Karim Ziani en Allemagne, ou encore 2 % pour celui de Mamadou Niang en Turquie car Le Havre et Saint-André-les-Vergers étaient également concernés », précise Philippe Pichery, président de l'Association Estac. Inutile de préciser que le transfert imminent de Blaise Matuidi est suivi de près par l'Estac qui touchera 2 % (à l'Estac de 2003 à 2007, quatre années à 0,50 %) du montant du transfert, seulement si le Stéphanois file à l'étranger.
Clause libératoire de 12 millions d'euros
Une chose est sûre, l'Estac va bénéficier du droit de suite concernant Matuidi. Car lors du transfert (6 millions d'euros) du milieu défensif par l'Estac à l'ASSE en 2007, Thierry Gomez avait effectivement inclus un droit de suite, autrement dit négocié un pourcentage (on parle de 25 %) sur la plus-value du futur transfert de celui que Jean-Marc Furlan avait lancé, à 17 ans, en L2 en octobre 2004. Ce fameux droit de suite avait rapporté, par exemple, 1 million d'euros à l'Estac pour le transfert de Mamadou Niang de Strasbourg à Marseille. Combien rapportera celui de Blaise Matuidi ? Une certitude, ce joueur vaut une petite fortune lui qui, à 24 ans, compte déjà près de 200 matches en Ligue 1 et trois sélections en équipe de France. Une clause libératoire de 12 millions d'euros stipule, dans le contrat de Blaise Matuidi, que le joueur peut quitter le Forez à ce montant sans l'accord de ses dirigeants. Roland Romeyer a donc fait de l'intox quand il affirmait dernièrement que « Matuidi, c'est 15 millions d'euros ! ». En fait, le président des Verts en voulait terriblement au PSG d'avoir contacté directement Blaise Matuidi sans passer par le club, alors qu'à la base Roland Romeyer était prêt à négocier le départ de son joueur pour une somme allant de 10 à 12 millions d'euros. Qu'en sera-t-il dans les jours à venir ? On s'en doute, l'Estac suit ça de près.
Source : l est eclair
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Re: blaise matuidi
En gros si Matuidi se barre ce sera maximum pour 12M€ puisqu'il a cette clause libératoire dans son contrat et l'estac percevra environ 3M€ (25%) de droit de suite.
La générosité sur le terrain, c'est tout donner sauf la victoire.
- Tomass-10
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Re: blaise matuidi
Et 240 000€ en plus si Matuidi part à l'étranger, et ça uniquement pour le centre de formation.
Passavant Li Meilhor
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