Je pense que dans la tête de certains joueurs, la montée est envisageable, peut-être vont ils lacher les chevaux!!
Pour moi, c'est une petite victoire que je vois à Boulogne. Les joueurs vont faire une petite série pour attraper au plus vite le maintien, et pour pourquoi pas monter sur le podium
Je pense que dans la tête de certains joueurs, la montée est envisageable, peut-être vont ils lacher les chevaux!!
Je pense que dans la tête de certains joueurs, la montée est envisageable, peut-être vont ils lacher les chevaux!!
Passe Avant Li Melhior
turtle a écrit :Une défaite pour faire honneur à la coutume des matches retours
Trés réaliste
Le professionnalisme, pour moi, c'est l'éradication des erreurs
Conclusion petit nous sommes petit nous resterons
Conclusion petit nous sommes petit nous resterons
Contributeur


Messages : 6609
Enregistré le : 14 nov. 2005, 19:02
steph1 a écrit :turtle a écrit :Une défaite pour faire honneur à la coutume des matches retours
Trés réaliste![]()
défaite ègalement 2 à 0
Je sens un match nul ou une défaita mais surement pas une victoire en terre boulonaise.
VICTOIRE de l'ESTAC : je serais dans les tribunes du stade de Boulogne (80 km de chez moi) et avec ma présente ,Troyes gagne souvent .......
L'ESTAC EST GRAND
http://www.eufc.fr/
http://www.eufc.fr/
Je vois malheureusement une victoire de Boulogne... 1-0 but de Thyl 90e
La générosité sur le terrain, c'est tout donner sauf la victoire.
Pourquoi pas le petit déclic à l'extérieur des matchs retour. Boulogne, qui après une superbe série de 7 victoires fait du surplace avec 3 défaites consécutives, assez pauvres en contenu. Nos joueurs seront peut être un peu plus relachés du fait que le maintien est en très bonne voie.
Allez soyons fou, petite victoire 1-0, but de psaume à la 80ème (si ça arrive, tournée générale lol)
Allez soyons fou, petite victoire 1-0, but de psaume à la 80ème (si ça arrive, tournée générale lol)
Une ville, un blason, une passion : Troyes
1 a 0 but de marcos sur penalty! sa fait longtemps qu'il a pas scorer et toutes les series ont une fin 
j'$*$*$ tous ceux qui sont pas content
Boulogne-Estac, vendredi / « Je n'ai pas de qualités au-dessus de la moyenne »
Olivier Blondel a joué avec de sacrées douleurs aux côtes vendredi contre Dijon (2-0), stigmates de son choc avec Stephen Drouin contre Grenoble (2-0) le 26 février. Ça ne s'est pas vu. Décisif en début de match, le gardien troyen a laissé son équipe dans la partie. La souffrance ne lui fait pas peur. « Je joue strappé, je pense que je vais avoir mal pendant longtemps. Il s'agit d'apprivoiser la douleur. » On lui aurait demandé de jouer la semaine précédente, il serait allé au combat. « Ça m'a rendu malade de ne pas jouer à Châteauroux. C'est le coach qui a décidé. Moi, tant que ce n'est pas cassé, je joue. »
L'ancien Havrais est un acharné du travail. Un vrai. Il « s'envoie » des énormes séances à l'entraînement. « Tous les gardiens ne sont pas aussi bosseurs, il veut que tout soit parfait », témoigne son entraîneur Olivier Tingry. « C'est un malade », rigolent parfois ses coéquipiers. D'où lui vient cette soif du toujours plus ? « C'est dans mon caractère, confie-t-il. J'estime que je n'ai pas de qualités au-dessus de la moyenne. Il me faut donc beaucoup travailler. Plus c'est dur, plus j'ai de plaisir. »
L'ombre des « tauliers »
Avec ce sens du sacrifice et ses arrêts, il a vite conquis le cœur du public troyen. Et beaucoup de supporters se demandent pourquoi il apparaît si
tard, à 31 ans déjà, dans un rôle de titulaire. « J'ai eu pas mal de galères personnelles et dans le foot. C'est aussi une question de circonstances. Je suis tombé sur des tauliers, Vencel, Revault, Mandanda ou Carrasso. »
N'aurait-il pas dû quitter le cocon normand plus tôt ? « Sans doute, reconnaît-il sans fard. Mais j'ai attendu longtemps qu'on me fasse confiance, et au moment où je pensais avoir ma chance, est arrivé un phénomène, Mandanda. C'est comme ça. Mais je n'ai pas à rougir, je suis dans ma 11e année professionnelle, c'est une grande fierté pour moi. »
Sa force s'est construite à l'entraînement. Il a progressé au forceps, dans la répétition des gammes. « Au début, au Havre, on n'avait pas d'entraîneur spécifique, et ça m'a manqué. Quand Nico (Dehon) est arrivé, il m'a permis d'évacuer ma frustration de ne pas jouer par l'entraînement. Tous les entraîneurs que j'ai eus sont complémentaires, ils m'ont tous apporté quelque chose. Je pioche dans chacun d'eux. Aujourd'hui, « Tintin » (Olivier Tingry) me comprend parfaitement. Il sait que j'ai besoin d'être bien physiquement pour m'exprimer. Il ne me restreint pas. Si je me sens aussi bien cette saison, je le dois beaucoup aux gens avec qui je travaille. Je suis épanoui, heureux de partir à l'entraînement. Et je profite de chaque match. » Pour le plus grand bonheur de l'Estac.
Source: l est eclair
Olivier Blondel a joué avec de sacrées douleurs aux côtes vendredi contre Dijon (2-0), stigmates de son choc avec Stephen Drouin contre Grenoble (2-0) le 26 février. Ça ne s'est pas vu. Décisif en début de match, le gardien troyen a laissé son équipe dans la partie. La souffrance ne lui fait pas peur. « Je joue strappé, je pense que je vais avoir mal pendant longtemps. Il s'agit d'apprivoiser la douleur. » On lui aurait demandé de jouer la semaine précédente, il serait allé au combat. « Ça m'a rendu malade de ne pas jouer à Châteauroux. C'est le coach qui a décidé. Moi, tant que ce n'est pas cassé, je joue. »
L'ancien Havrais est un acharné du travail. Un vrai. Il « s'envoie » des énormes séances à l'entraînement. « Tous les gardiens ne sont pas aussi bosseurs, il veut que tout soit parfait », témoigne son entraîneur Olivier Tingry. « C'est un malade », rigolent parfois ses coéquipiers. D'où lui vient cette soif du toujours plus ? « C'est dans mon caractère, confie-t-il. J'estime que je n'ai pas de qualités au-dessus de la moyenne. Il me faut donc beaucoup travailler. Plus c'est dur, plus j'ai de plaisir. »
L'ombre des « tauliers »
Avec ce sens du sacrifice et ses arrêts, il a vite conquis le cœur du public troyen. Et beaucoup de supporters se demandent pourquoi il apparaît si
tard, à 31 ans déjà, dans un rôle de titulaire. « J'ai eu pas mal de galères personnelles et dans le foot. C'est aussi une question de circonstances. Je suis tombé sur des tauliers, Vencel, Revault, Mandanda ou Carrasso. »
N'aurait-il pas dû quitter le cocon normand plus tôt ? « Sans doute, reconnaît-il sans fard. Mais j'ai attendu longtemps qu'on me fasse confiance, et au moment où je pensais avoir ma chance, est arrivé un phénomène, Mandanda. C'est comme ça. Mais je n'ai pas à rougir, je suis dans ma 11e année professionnelle, c'est une grande fierté pour moi. »
Sa force s'est construite à l'entraînement. Il a progressé au forceps, dans la répétition des gammes. « Au début, au Havre, on n'avait pas d'entraîneur spécifique, et ça m'a manqué. Quand Nico (Dehon) est arrivé, il m'a permis d'évacuer ma frustration de ne pas jouer par l'entraînement. Tous les entraîneurs que j'ai eus sont complémentaires, ils m'ont tous apporté quelque chose. Je pioche dans chacun d'eux. Aujourd'hui, « Tintin » (Olivier Tingry) me comprend parfaitement. Il sait que j'ai besoin d'être bien physiquement pour m'exprimer. Il ne me restreint pas. Si je me sens aussi bien cette saison, je le dois beaucoup aux gens avec qui je travaille. Je suis épanoui, heureux de partir à l'entraînement. Et je profite de chaque match. » Pour le plus grand bonheur de l'Estac.
Source: l est eclair
Créer un compte ou se connecter pour rejoindre la discussion
Vous devez être membre pour pouvoir répondre
Créer un compte
Vous n‘êtes pas membre ? Inscrivez-vous pour rejoindre notre communauté
Les membres peuvent créer leurs propres sujets et s‘abonner à des sujets
C‘est gratuit et cela ne prend qu‘une minute



