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[Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 03 juil. 2024, 13:47
par ESTACWEB.com
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[Directeur Sportif]
Antoine
SIBIERSKI


Nationalité : Française
Né le : 05 août 1974 à Lille

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 06 juil. 2024, 08:17
par Vince_23
Antoine Sibierski, nouveau directeur sportif de l’ESTAC : « Le club doit passer avant tout »
Posted on 5 juillet 2024 by Julien Parisot



Après deux relégations consécutives malgré des budgets et des moyens historiquement élevés, l’ESTAC se retrouve pensionnaire du championnat de National (3e division) pour la saison 2024-2025, sauf surprise et repêchage assez inattendu en Ligue 2. C’est dans ce contexte, avec une fracture marquée entre le club et les supporters et une dynamique très mauvaise à freiner au plus vite qu’Antoine Sibierski, ancien joueur du LOSC, de Lens, d’Auxerre, Nantes ou encore Manchester City, est arrivé dans le rôle de Directeur Sportif cette semaine après avoir quitté le banc de Châteauroux. Le nouvelle homme fort du volet sportif de Troyes s’est exprimé pour la première fois sur les canaux officiel du club, annonçant la couleur aux fans désabusés de cette équipe qui a vivement été critiquée, à raison, pour ses résultats récents.

« C’est un club qui se doit d’être à un niveau bien, bien supérieur. Il faut se mettre au travail très rapidement. Tout est réuni pour vraiment créer cette nouvelle dynamique dont on a besoin pour ramener ce club à un niveau bien supérieur. J’ai faim de victoires et pour ça, il faut travailler. Retrouver un cadre de travail, de la cohérence, le rôle et les responsabilités de chacun, que ce soit dans le staff technique, au niveau des joueurs, dans l’administratif… Tous ces départements qui constituent ce club-là, il faut que tout le monde soit productif et pour ça, le rôle et la responsabilité de chacun sont très importants. Une cohérence et une discipline de travail, pour avoir une période sportive très heureuse qui puisse générer de la joie chez les supporters. »


« Ce que je peux garantir aux supporters, c’est de la considération. Personnellement, mais surtout au nom de l’ESTAC, de tous les membres qui sont sous ma responsabilité, de tous les départements sportifs. Une considération qu’on se doit de donner à tous ces gens qui font partie de ce club, qui l’aiment et qui, en fonction des périodes – heureuses ou plus difficiles – sont toujours là. On veut leur garantir que tout ce que je ferai et tout ce que les salariés feront sera dans l’intérêt du club. Le club doit passer avant tout »

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 06 juil. 2024, 14:37
par seb_oun
Un discours que l’on n’avait pas entendu depuis longtemps et assez surprenant de la part d’un DS.

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 06 juil. 2024, 14:58
par Nounours10
Il va avoir un boulot considérable. En plus des recrues qu'il va falloir attirer en National, le club a actuellement 41 pros dans l'effectif. Il faut déjà entre 15 et 20 départs.

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 06 juil. 2024, 17:27
par palex
Tout va s'accélérer à compter du 11 juillet, passage de Martigues devant la DNCG, Ajaccio et Bordeaux seront passés le 9 juillet.
Si National confirmé, vague de départ des joueurs niveau L2, outre les Lemaître, Balde, Ndiaye, Conté, Olaitan, De Preville, et autre Dong qui ont déjà un bon de sortie, on pense aux Bruus, Boura, Kante, Mchangama, Chavalerin (?), Diop, Saïd, Ripart (?)...
Et, sur les retours de prêts, on ne peut guère compter que sur les jeunes Mazou, Lefebvre et Cervantès.

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 08 juil. 2024, 21:02
par Gigis10
https://youtu.be/HRL-ukNyF7A

La vidéo de la conférence de présentation de notre nouveau DS !!!

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 08 juil. 2024, 23:13
par Vince_23
Nous n’avons jamais eu une direction avec un tel discours !
Je suis fan du discours.
Maintenant, on attend les résultats à tous les étages.
Ça redonne espoir après les discours insipides de Vitali.

Antoine Sibierski, comment se sont noués les contacts entre vous et le City group ?

Les premiers contacts se sont faits avec Brian Marwood, que je connais depuis une dizaine d’années (Sibierski a longtemps vécu à Manchester). On a discuté et échangé par rapport à ce rôle de directeur sportif.

Qu’est-ce qui vous a séduit ?

Déjà, j’ai senti une vraie démarche du City group, à travers les entretiens, pour savoir si j’étais une personne qui pouvait entrer dans le projet, par rapport à ma personnalité, mes compétences, mes acquis. J’ai d’abord rencontré Brian, puis je suis venu deux jours à Troyes, alors que rien n’était signé. Je voulais prendre la température, sentir les gens, le club. Car il est important que je me sente bien dans le projet, car j’ai toujours privilégié l’aventure humaine. Ensuite, je suis retourné chez moi. Après, j’ai revu Brian et d’autres personnes du City group. J’ai dû comprendre et assimiler ce qu’ils font au quotidien, quels sont les outils et les ressources qu’ils mettent disposition. J’ai eu neuf entretiens, à chaque fois de plus d’une heure. J’ai apprécié cette démarche. Car peu importe mon passé et mon expérience, et par considération envers l’Estac, la direction se devait, pour un poste de ce niveau-là, d’aller dans le détail de la personne.

De votre côté, qu’avez-vous « vendu » au City group ?

Les valeurs humaines dans un premier temps. Il est hors de question que je m’engage dans un projet si je ne me reconnais pas dans ses valeurs. Je connais la ferveur des supporters de l’Estac, je sais quel type de supporters ils sont. Je sais que mes valeurs peuvent correspondre. J’ai besoin de m’identifier aux supporters, comme j’aimerais qu’ils s’identifient à moi. Je ne suis pas né avec une cuillère d’argent dans la bouche. Je suis né dans la banlieue de Lille, mes parents étaient ouvriers. Je n’ai jamais accédé à des choses gratuitement, j’ai toujours travaillé. J’aime travailler. Je sais que pour obtenir des choses, il faut travailler. J’avais besoin de ressentir cet état d’esprit autour de moi. Et cela a été le cas à Troyes.

Et sur le plan sportif ?

Au niveau de l’expertise footballistique, managériale, du coaching, j’ai de l’expérience de haut niveau, des qualifications qui m’ont fait réfléchir. Je me sens tout à fait capable de relever le défi, pour faire en sorte que ce club revienne à une meilleure situation sportive. Mais aussi que tout le monde retrouve de la joie, de la ferveur. J’ai de l’envie, des idées, une façon de travailler.

Voulez-vous faire table rase de ce qu’il s’est passé depuis deux ans ?

Si on peut parler d’échec quand le club descend deux années de suite, on ne peut pas non plus tout effacer car cela voudrait dire que tout a été mal fait. Je ne me permettrai jamais de juger quiconque. Il faut corriger ce qui a été mal fait et engager une autre façon de voir les choses, une autre direction pour remonter en Ligue 2 dès la fin de la saison prochaine si on est encore en National dans quelques semaines.

Justement, travaillez-vous sur deux scénarios : un pour la L2, l’autre pour le N1 ?

Dans notre recrutement, il faut de l’expérience, de la maturité pour ce championnat de National qui est souvent sous-estimé. On prend des joueurs qui doivent donner satisfaction pour ce championnat, mais qui ont aussi le potentiel pour jouer en Ligue 2. L’idée n’est donc pas de prendre des joueurs qui n’ont joué qu’en National.

Les profils ciblés sont les mêmes pour la L2 et pour le National ?

Oui.

Comment allez-vous gérer la question des « emerging talents », qui restent le fonds de commerce du City group ?

C’est un vrai challenge. Il faut déjà comprendre la façon avec laquelle le City football group voit les choses, comment ils veulent travailler. J’ai la chance d’avoir joué et vécu en Angleterre, en particulier à Manchester City. Je connais la mentalité des Anglais dans le travail, ça facilite la compréhension. Il faut savoir combiner, travailler avec leur façon de voir les choses, utiliser leurs ressources. Mais tout en ayant notre propre personnalité dans le travail. Je ne suis pas venu pour être un homme de paille, j’ai ma propre façon de voir les choses, j’ai une vision du football qui est la mienne, qui correspond à ce qui se fait au City group. Je ne vois aucun dilemme : il faut se comprendre et travailler en toute intelligence pour que le City group soit content de ce qui est fait à l’Estac, et que l’Estac puisse remonter en Ligue 2, avec une identité à retrouver, une culture de travail à retrouver…

Avez-vous des garanties quant à votre liberté d’action ?

On en a parlé avec Brian. Je lui ai dit que si c’était pour me mettre à ce poste pour appliquer ce qu’ils me demandent de faire sans avoir mon mot à dire, je n’étais pas la bonne personne. Mais ce n’est pas le cas. Brian Marwood me laisse de la liberté dans ma façon de travailler. À travers ma présentation, j’ai montré là où je pouvais intervenir à tous les niveaux, de façon à s’assurer que l’on parle le même langage.

Concrètement, aurez-vous un droit de veto si vous ne souhaitez pas l’arrivée à l’Estac d’un joueur en provenance du City group ?

Je suis garant de la réussite de l’Estac. Donc oui, j’ai mon mot à dire. Si je sais qu’un joueur ne va pas être complémentaire avec les autres ou qu’il ne correspond pas à nos valeurs, je dirai « non » et il ne viendra pas à l’Estac. J’ai la décision finale sur tous les dossiers, en débattant avec les gens du City group, avec le coach car c’est lui qui fait jouer son équipe. David (Guion) a besoin de connaître les profils sur lesquels on travaille.

Le City group est-il prêt à mettre son projet « jeunes » entre parenthèses le temps d’une saison, en National, afin de se donner toutes les chances de remonter ?

Pas le mettre de côté, mais qu’il soit moins accentué, si on est en National. Ce sont des gens intelligents, qui connaissent bien le football. On n’a pas eu besoin de leur demander, ils ont eu cette vision eux-mêmes. C’est une vision appropriée par rapport au contexte actuel. Cela m’a rassuré sur leurs intentions. C’est une chance d’avoir un actionnaire si compétent et qui offre une telle visibilité, surtout avec le problème actuel des droits TV. Je pense qu’ils ont peut-être été mal compris à un moment donné. C’est mon rôle de faire comprendre à tout le monde le pourquoi de leur actionnariat, leurs véritables intentions pour l’Estac, qui sont saines.

Vous serez donc le lien entre la direction sportive du CFG et le staff de l’Estac…

Je me dois d’être le lien. J’ai la chance d’avoir travaillé en Angleterre, de connaître leur mentalité, tout en connaissant celle de la France. Les approches doivent être délicates, intelligentes. Mais une seule chose m’habite au quotidien : l’intérêt du club, pour qu’il retrouve la Ligue 2 le plus rapidement. L’Estac est un club qu’il faut respecter, qui a une identité, une culture, des supporters…

À Troyes, il y a de la méfiance vis-à-vis des dirigeants du City group, notamment parce qu’ils ne semblent pas connaître le championnat français et qu’ils ne parlent pas notre langue. Comment avez-vous perçu les réactions suite à votre nomination ?

Je n’ai pas encore eu de contact avec les supporters, je ne suis pas sur les réseaux sociaux. J’ai déjà rencontré les salariés. J’ai senti des gens très sains, réactifs, compétents, qui donnent envie de travailler avec eux, avec ces valeurs humaines qui sont les miennes. On a avec nous le directeur général Mattijs (Manders), qui est certes hollandais mais qui est très compétent. J’ai besoin d’avoir ce lien avec les gens de City, mais aussi ici, avec le juridique, la communication, le financier… J’aime bien boire un café, discuter. Je veux qu’ils sentent de la considération, cela fait partie de mon éducation, de ma personnalité. Il faut donner de la considération à ces gens qui travaillent dans l’ombre, mais aussi à notre hiérarchie, aux médias, aux supporters, aux partenaires, aux sponsors, aux gamins du centre de formation… Vous me verrez souvent sur les terrains du centre de formation. Je veux faire sentir aux gens que je suis là pour les assister, les encourager pour que l’on progresse ensemble et qu’on atteigne les objectifs.

Vous serez une figure d’incarnation du club, qui manquait terriblement la saison dernière…

Sans prétention, je me considère, sur le plan sportif, comme un capitaine de bateau. Avec une vision, des objectifs à atteindre. Je veux être le référent, le responsable sportif : tout le monde doit le comprendre, le respecter. Ce n’est pas par excès de zèle, mais pour créer un cadre de travail qui permette de retrouver la Ligue 2 dès la fin de saison prochaine.

Vous n’avez pas occupé ce poste de directeur sportif depuis plus de dix ans. Pensez-vous être toujours « dans le coup » ?

J’ai repris une formation de coaching, mais ça ne m’empêchait pas de savoir ce qu’il se faisait en termes de management. Je n’ai pas été en activité pendant deux ans ; j’en ai profité pour me déplacer à l’Ajax Amsterdam, à Lens, à Livingston en Écosse, à Zulte Waregem en Belgique. Des clubs de différents pays, de différents niveaux, de différents budgets, pour voir ce qui se faisait dans le management, le coaching, à la formation… J’ai conscience de mes compétences mais j’ai cette humilité de toujours vouloir apprendre et progresser. Je dois véhiculer cela au sein du club.

Vous étiez à Châteauroux ces derniers mois. Pensiez-vous persévérer dans votre carrière d’entraîneur avant l’approche de l’Estac ?

Lors des trois dernières années, j’ai fait des entretiens pour être directeur sportif. Je n’ai pas été choisi ; un président de club a jugé que j’avais trop de compétences ! Je me suis donc dit que je devais ajouter une corde à mon arc, en passant mes diplômes d’entraîneur. Je voulais aussi retrouver le terrain après deux ans d’inactivité, pour me rafraîchir sur le plan tactique, managérial, sur la posture d’un entraîneur sur la ligne de touche, devant les médias, dans le vestiaire. Châteauroux a fait appel à moi en février pour assister l’entraîneur principal. Je suis arrivé avec mon dynamisme, mes valeurs et on est sorti de la zone de relégation. Après, il y a eu un creux, la direction a décidé de se séparer de l’entraîneur et m’a demandé, à trois journées, si je voulais prendre le poste. Si cela avait été plusieurs mois avant, je ne sais pas si j’aurais accepté. Là, il n’y avait personne ; et la greffe n’aurait pas pris avec un entraîneur de l’extérieur. Donc, pour les gamins, les salariés, j’ai accepté la mission, que l’on a réussie.

Aviez-vous un accord oral avec Châteauroux pour rester son entraîneur ?

Avec le travail que j’avais fait, le club a voulu me prolonger. Au départ, je n’étais pas contre, mais sous réserve de la DNCG. Car je savais déjà à l’époque qu’il y avait des difficultés et un manque de visibilité. Le deal, c’était de continuer l’aventure uniquement si l’avis de la DNCG le 26 juin était favorable, ce qui n’a pas été le cas. C’est vrai qu’en parallèle, je discutais déjà avec le City group. Et puis finalement, je me sens plus à l’aise dans ce rôle de directeur sportif.

Pourquoi ?

J’adore entraîner mais c’est un stress qui est important. Les entraîneurs ont vraiment du mérite. Certes, j’ai de grosses responsabilités en tant que directeur sportif, mais ce n’est pas le même stress, ça me va mieux.

Dans l’effectif en place, beaucoup de joueurs attendent-ils de savoir si l’Estac sera repêchée en Ligue 2 pour faire connaître leurs intentions ?

Je n’ai pas commencé les entretiens individuels mais j’espère voir tout le monde dans les deux ou trois jours qui viennent. Ils pourront me dire leur souhait : rester ou non à l’Estac ; rester en National ; rester en L2…

Quelles sont vos priorités de recrutement ?

Il y a plusieurs postes, plusieurs profils sur lesquels ils avaient travaillé avant mon arrivée. Pour certains, je suis d’accord, pour d’autres, je dois apporter ma touche personnelle. J’aime les footballeurs, jouer au ballon, certains principes de jeu.

Un exemple ?

L’agressivité dans le pressing. Je ne supporte pas de voir un de nos joueurs ne pas presser le porteur du ballon qui est à trois mètres. Il faut avoir cette intensité qui peut faire mal à l’adversaire. Quand on me parle d’un joueur à recruter, je regarde cet aspect : presse-t-il de manière agressive, dans un premier temps pour couper les angles de passe et dans un second pour lui prendre le ballon dans les pieds ? Ou va-t-il le regarder et le laisser centrer ? C’est ma vision mais celle-ci correspond au projet de jeu du City group. Dans le jeu, c’est essayer de jouer au ballon, créer et trouver des espaces pour franchir les paliers et se créer des occasions de but. Quand je valide un joueur, j’ai besoin de voir ça, en plus de sa personnalité et ses valeurs. Je pourrai même privilégier un joueur avec un état d’esprit irréprochable et des valeurs de combattant plutôt qu’un joueur plus doué mais qui va performer une fois sur dix.

L’identité de jeu dont vous parlez peut-elle être développée par David Guion ?

Je n’ai pas eu besoin d’initier la discussion avec David à ce sujet. De lui-même, il m’en a parlé, cela m’a rassuré : il a envie d’avoir une équipe conquérante, dominante, avec et sans ballon. Avec ballon, cela veut dire contrôler notre jeu, attaquer et déstabiliser l’adversaire comme on le souhaite. Sans ballon, ne pas être passif, emmener l’adversaire là où on veut. Il va falloir afficher nos ambitions et donc être conquérants, attaquants. On doit voir ces intentions rapidement, dès l’entame du championnat, pour jouer la montée. Car il n’y a pas d’autre objectif.

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 09 juil. 2024, 09:49
par Tristanestac
Il pense réellement qu’il pourra recruter les mêmes joueurs pour jouer en National qu’en Ligue 2 ? Il se moquerait pas un peu de nous ?
Beaucoup de blabla, il parle bien, maintenant c’est des actes dont on a besoin dans ce club, pas des conférences de presse. Je commencerai à le juger déjà au début du championnat puis à la fin du mercato.

Re: [Directeur Sportif] Antoine Sibierski

Posté : 09 juil. 2024, 09:56
par Gigis10
Tristanestac a écrit : 09 juil. 2024, 09:49 Il pense réellement qu’il pourra recruter les mêmes joueurs pour jouer en National qu’en Ligue 2 ? Il se moquerait pas un peu de nous ?
En attendant, le club a recruté 2 joueurs qui ont le niveau L2 !
On aura peut être pas les moyens de recruter des joueurs qui pourraient jouer à Metz ou Lorient ! Mais après, des bon joueurs de L2 seront peut être davantage intéressés par un club qui va vouloir remonter direct en L2 et ensuite avoir des ambitions dans ce 2nd niveau français, avec en plus des infrastructures de très bon niveau, que dans un club moyen de L2...