Jean-Louis Montero (1991 - 1997) ; (janvier 2004 - 2006)
Posté : 25 août 2008, 13:50
pour la petite histoire et les fans de Jean Louis Montero, il va joué sous les couleurs de.....la rivière de corps qui évoluera en 1ère série!!!
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Je ne sais pas qui est le plus à blâmer dans cette histoire: Furlan pour avoir écarté Montero, Gomez pour sa gestion merdique de l'affaire ou Montero lui-même pour sa mentalité de ¤#*ù^?Jackpot pour Montero : 306 000 € en appel
Qui de l'Estac ou de Gomez va payer ? Si Daniel Masoni a pris soin de protéger le club, Thierry Gomez pourrait passer au tiroir-caisse
L'ancien footballeur professionnel, Jean-Louis Montero, pourrait empocher 306 000 €, dont 240 000 € au titre des dommages et intérêts. L'histoire qui l'oppose à l'Estac remonte à 2007 lorsque, écarté de l'équipe première, Jean-Louis Montero s'ouvre à la presse. Dans sa ligne de mire, le comportement de Jean-Marc Furlan, l'entraîneur de l'époque, et ses choix. Et le joueur qui évolue en Ligue 1 va payer le prix fort pour avoir parlé.
Droit d'expression
Le club, alors dirigé par Thierry Gomez, décide de son licenciement pour faute grave. Mais Jean-Louis Montero ne plie pas. Le feuilleton judiciaire peut commencer. Les prud'hommes d'abord. Le conseil accorde au joueur 60 000 €. Pas assez pour Me Scribe, bien décidé à faire entendre le préjudice subit par son client. « Le contexte dans lequel s'est déroulé le licenciement a eu de lourdes conséquences sur la carrière de Jean-Louis Montero. Alors qu'il aurait pu jouer deux ou trois ans de plus, il n'a jamais retrouvé de club. »
Montero se tourne alors vers la chambre sociale de la cour d'appel de Reims. Et la encore, l'ancien joueur obtient gain de cause. Dans un premier temps, les magistrats considèrent que Jean-Louis Montero n'a pas critiqué son entraîneur, mais
simplement évoqué la volonté de jouer en équipe première. Il n'y a donc pas lieu de retenir la faute grave à son encontre.
Par ailleurs, l'arrêt précise qu'un salarié peut s'exprimer contre son entraîneur qui n'est pas son employeur. Montero n'a donc pas abusé de son droit d'expression dans la presse. Près de 65 000 € lui sont donc alloués. Un somme qui correspond aux salaires qu'il aurait perçu si son contrat était venu à son terme. Pour justifier les 240 000 € de dommages et intérêts, l'arrêt revient sur la chance que Montero a perdu de rejouer. « Et de fait, il n'a jamais retrouvé de club. »
La nouvelle n'a pas échappé au nouveau président, Daniel Masoni. « Notre avocat décidera des suites que nous allons donné à cette affaire en début de semaine. Mais c'est une très mauvaise nouvelle pour le club. »
Pourtant, rien ne dit que l'Estac devra passer au tiroir-caisse. Daniel Masoni pourrait agiter une clause de garantie de passif devant le nez de Thierry Gomez.
le gégé a écrit :Montéro 3 saisons de perdues ?? quel délire... Pas professionnellement en tout cas, il n'arrivait même plus à monter pour center...
C'est drôle, j'avais plutôt l'impressIon que le reproche de beaucoup était d'avoir viré, Furlan.turtle a écrit :Gomez a interet à payer pour ça c'est de sa faute la gestion pourrie de l'affaire, il aurait mieux fait de virer Furlan on serait peu être encore en L1...