Re: Les matchs de préparation
Posté : 26 juil. 2014, 13:47
L'Est Eclair du 26 Juillet 2014 :
L'Estac a mis du temps à se lâcher
L'avant-match.
Les deux-tiers des 3 500 abonnés de l'Estac n'ont pas manqué cette journée festive qui fleure bon la reprise du championnat. Les trois recrues (Koné, Pi, Ayasse) ont été présentées. Les trois maillots (bleu, blanc et rose) ont été mis en vente dès la fin du match. Et Jean-Marc Furlan en a profité pour annoncer la couleur : « Être devant, être les meilleurs... »
L'adversaire.
Relégué en D2, l'autre club du président Masoni était censé ne pas être de taille à lutter, même s'il aspire à rejoindre l'élite luxembourgeoise. À peine quinze jours de préparation dans les jambes, ponctués de deux matches nuls contre deux D4 belges, et pourtant, le Racing FC Union a complètement fait déjouer les Troyens pendant une heure.
Le match.
Saunier blessé (adducteurs), Gimbert préservé (cheville), Jean-Marc Furlan a composé une équipe en 4-4-2 disposée en losange, voisine de celle censée débuter le 1er août à Châteauroux. Mais peut-être révisera-t-il sa copie ...
Au niveau de l’adversaire
Le pouvoir a été confié aux jeunes : Cabot et Jean en attaque, Azamoum en soutien du duo d'attaquants. Mais il ne s'est rien passé digne d'intérêt en première mi-temps. L'Estac a manqué de présence dans la surface adverse, n'a pas su imposer son rythme, et a failli dans le dernier geste (volée d'Azamoum dans les nuages, tir écrasé de Court, raté immanquable de Jean seul face au but). Brillante contre Lens, l'Estac n'a pas perdu sa fâcheuse habitude de la saison précédente : se mettre au niveau de l'adversaire ...
Pour ne rien arranger, la défense troyenne a fait preuve d'une passivité étonnante quand Hennetier a déposé un centre sur la tête de Rondel (29e), libre de tout marquage. Inutile de préciser que quelques-uns des titulaires d'hier soir n'ont pas marqué des points...
Redistribution des cartes en seconde période avec un nouveau système en 4-1-4-1 (Pi en sentinelle à la place de Camara), et l'entrée de deux « cadres », Nivet et Darbion. Et le jeu s'est éclairé ! Plus tard, Ben Khalfallah est venu animer les côtés (65e). Avec succès.
À l'heure de jeu, Jean, cette fois, ne s'est pas loupé (59e). Nivet, en chef d'orchestre inspiré, a continué à trouver les espaces. Jean a plongé dedans et a servi Azamoum pour une volée parfaite (70e), avant que Ben Khalfallah ne clôture la marque au sortir d'un numéro de soliste dans le temps additionnel (92e).
L'Estac a mis du temps à se lâcher
L'avant-match.
Les deux-tiers des 3 500 abonnés de l'Estac n'ont pas manqué cette journée festive qui fleure bon la reprise du championnat. Les trois recrues (Koné, Pi, Ayasse) ont été présentées. Les trois maillots (bleu, blanc et rose) ont été mis en vente dès la fin du match. Et Jean-Marc Furlan en a profité pour annoncer la couleur : « Être devant, être les meilleurs... »
L'adversaire.
Relégué en D2, l'autre club du président Masoni était censé ne pas être de taille à lutter, même s'il aspire à rejoindre l'élite luxembourgeoise. À peine quinze jours de préparation dans les jambes, ponctués de deux matches nuls contre deux D4 belges, et pourtant, le Racing FC Union a complètement fait déjouer les Troyens pendant une heure.
Le match.
Saunier blessé (adducteurs), Gimbert préservé (cheville), Jean-Marc Furlan a composé une équipe en 4-4-2 disposée en losange, voisine de celle censée débuter le 1er août à Châteauroux. Mais peut-être révisera-t-il sa copie ...
Au niveau de l’adversaire
Le pouvoir a été confié aux jeunes : Cabot et Jean en attaque, Azamoum en soutien du duo d'attaquants. Mais il ne s'est rien passé digne d'intérêt en première mi-temps. L'Estac a manqué de présence dans la surface adverse, n'a pas su imposer son rythme, et a failli dans le dernier geste (volée d'Azamoum dans les nuages, tir écrasé de Court, raté immanquable de Jean seul face au but). Brillante contre Lens, l'Estac n'a pas perdu sa fâcheuse habitude de la saison précédente : se mettre au niveau de l'adversaire ...
Pour ne rien arranger, la défense troyenne a fait preuve d'une passivité étonnante quand Hennetier a déposé un centre sur la tête de Rondel (29e), libre de tout marquage. Inutile de préciser que quelques-uns des titulaires d'hier soir n'ont pas marqué des points...
Redistribution des cartes en seconde période avec un nouveau système en 4-1-4-1 (Pi en sentinelle à la place de Camara), et l'entrée de deux « cadres », Nivet et Darbion. Et le jeu s'est éclairé ! Plus tard, Ben Khalfallah est venu animer les côtés (65e). Avec succès.
À l'heure de jeu, Jean, cette fois, ne s'est pas loupé (59e). Nivet, en chef d'orchestre inspiré, a continué à trouver les espaces. Jean a plongé dedans et a servi Azamoum pour une volée parfaite (70e), avant que Ben Khalfallah ne clôture la marque au sortir d'un numéro de soliste dans le temps additionnel (92e).