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Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 05 févr. 2008, 16:15
par Mimiche
Oui, pour une fois qu'on pense à nous !!!
Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 05 févr. 2008, 19:39
par alexis130
"cette équipe de troyes qu'on aime"
heureusement que j'étais assis
Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 06 févr. 2008, 22:22
par alexis130
j'aime pas guy carlier, mais j'ai bien aimé son commentaire sur le psg en coupe de france dans la seconde partie de l'emission
Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 06 févr. 2008, 23:06
par libourne st seurin
une equipe de troyes qu'on aime et qu'on souhaite revoir en ligue 1 a dit Balbir...alors avec lui il faudrait une ligue 1 a 50 !!
Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 07 févr. 2008, 12:24
par edo
France2Foot, c'est quand même l'émission "footbalistique" la plus pourrie depuis longtemps. Même Téléfoot était mieux à l'époque où ils avaient les droits de la L1.
Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 07 févr. 2008, 13:22
par steph1
+10000000000000000000000
Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 07 févr. 2008, 22:02
par Matsu-
Bah France2Foot, c'est fini en fin de saison donc ça aura pas duré longtemps
Re: Mr Troch sur Fr2 ...
Posté : 07 févr. 2008, 22:42
par libourne st seurin
mince Courbis aura un salaire en moins....quel dommage...
ITW Denis Troch avant Clermont
Posté : 07 mars 2008, 16:10
par Seven
Dispo sur foot365.fr
Malgré la nette victoire sur Le Havre (4-1) lundi dernier, l'entraîneur troyen Denis Troch rejette tout triomphalisme. Il revient sur la bonne saison de l'ESTAC sans toutefois annoncer les réelles ambitions du club aubois, 3eme avant d’aller à Clermont vendredi.
Denis Troch, battre Le Havre, meilleure équipe à l'extérieur, sur un score fleuve (4-1) alors que les Hauts-Normands n'avaient encaissé que 14 buts avant le match de lundi, prouve la très belle prestation de vos joueurs…
Cela ne reste qu'une prestation sur un match avec tous les aléas que cela peut engendrer. On a fait une première mi-temps où nous avons été pressés par les Havrais, qui nous ont empêchés de jouer. Et puis, on a trouvé les ressources nécessaires pour égaliser.
Après l'ouverture du score par Guillaume Hoarau, avez-vous douté ?
Non, encaisser un but ne m'a pas fait douter. Le problème venait plus du fait que nous n’imposions pas notre jeu. Si on arrivait à rythmer cette rencontre, et à marquer un but, on savait que cela allait nous sourire par la suite.
Justement, vous êtes revenus dans la partie…
En ce qui concerne l'égalisation, on a pour habitude de dire que lorsqu'on marque un but, le public vous en rend un tout de suite. Cela a été le cas. On a égalisé et le deuxième but est venu tout de suite après parce que le public a beaucoup poussé. Nous sommes ensuite allés chercher le troisième et le quatrième.
Vous avez quand même « déroulé » avec quatre buts dans le dernier quart d'heure de jeu…
Il ne faut pas se tromper. Le match n'a pas été aussi facile que le score veut bien le montrer. On a surtout pressé très fort en ce souvenant du but qu'ils nous avaient infligé en première période. Sur 25 minutes, nous avons exercé un fort pressing sur les Havrais, ce qui nous a permis de marquer ces quatre buts. Cela ne s'est pas fait dans la simplicité, mais dans l'effort physique, technique et mental.
« On est satisfait du travail effectué »
Vous marquez souvent dans les derniers instants. Contre Reims, Danic vous donne la victoire dans les arrêts de jeu…
La configuration des deux matchs est totalement différente. Quand nous sommes allés à Reims, nous avions fait un match équilibré, en nous disant qu'il y avait un coup à jouer, sans trop se jeter. Mais on savait aussi qu'on avait des individualités qui étaient capables à tout moment de débloquer la situation. Après il y aurait pu avoir un ou deux buts plus tôt…
Certains joueurs, comme Danic, Noro ou encore Gragnic, fraîchement débarqué de Marseille, font la différence. Ce sont des joueurs importants pour le fonctionnement de l'équipe, non ?
Les individualités n'existent et ne brillent que si le collectif est bien huilé. Si vous mettez onze individualités, ce n'est pas pour autant que vous irez au bout du Championnat. Par contre, ils sont capables sur certains matchs de faire la différence, bien entendu. L'ensemble des joueurs travaillent pour le collectif et le collectif travaille pour les individualités, et ce, pour le bien de l'équipe et des résultats.
La belle dynamique de ce début d'année 2008 vous permet d'avoir neuf points d'avance sur Grenoble et Bastia, vos poursuivants directs à la montée. Peut-on dire que Troyes a fait un grand pas vers la Ligue 1 ?
Il y a plusieurs choses. Heureusement que l'ESTAC a fait ce beau parcours (Ndlr : 7victoires en 8 rencontres en 2008), sinon nous n'aurions pas cette petite marge et l'écart serait beaucoup plus infime. On est satisfait du travail effectué, mais on connaît aussi la grande difficulté qu'il y aura pour aller au bout de ce Championnat.
Ces neuf points d’avance seront-il suffisants pour faire la différence lors du sprint final ?
Nous n'avons pas le même raisonnement. Nous en avons un beaucoup plus primaire. Le match le plus important est celui qui arrive face à Clermont en fin de semaine, et on ne se pose pas la question de savoir combien de points d’écart il y aura entre le premier et le deuxième, entre le deuxième et le troisième et ainsi de suite. Ce n'est pas quelque chose qui hante nos esprits, ce sont des calculs fais par d'autres et non par nous. On ne veut surtout pas se disperser.
Donc l'idée de jouer le titre ou même la montée est à exclure, vous pensez plus à prendre les matchs les uns après les autres…
Oui tout à fait, c'est exactement cela. On sait qu'on n'est pas très loin d'une équipe comme Le Havre puisque nous ne sommes qu'à une victoire d'eux. Nantes est à deux points, Bastia est derrière et d'autres équipes suivent. On doit faire notre Championnat et continuer à faire ce que l'on a fait jusqu'à présent. Après il peut nous arriver un couac… Toujours est-il que si nous continuons notre série, nous serons les plus heureux du monde.
« C'est un cercle vertueux »
Est-ce que votre équipe vit bien ?
Oui et c'est très important. L'équipe a évolué en trois stades différents cette saison. Dans les premières journées, on était très réactif, parfois l'adversaire nous bousculait et on réagissait parce qu'on était bousculé. Cela a été le cas lors de la première rencontre contre Guingamp mais aussi contre Angers. Ensuite, on était beaucoup plus dans l'action vers octobre- novembre. Maintenant nous sommes plus dans l'anticipation et c'est mieux ainsi. Pour preuve, cela nous permet de rythmer les matchs et de se trouver les yeux fermés, ou presque, sur le terrain grâce au travail préalable.
Pouvez-vous nous dire un mot sur le jeune milieu de terrain Diallo Guidilleye qui semble vous impressionner un peu plus de jour en jour…
C'est un joueur qui a commencé avec nous il y a trois mois et il n'a que 17 ans, avec tout ce que ça comporte. En points positifs, il apporte sa fougue liée à son jeune âge, cette envie de vivre et de gagner sa place ; c'est ce qu'il est parvenu à faire. L'inconvénient, parfois, avec ce genre de jeunes joueurs, c’est qu’ils s’essoufflent. Cela n'a pas été son cas, peut-être grâce à la trêve hivernale qui est intervenue après ses quelques matchs en tant que titulaire.
Les « anciens » s’occupent-ils particulièrement de lui ?
Oui, complètement. C'est un cercle vertueux. Plus les jeunes récupèrent de ballons et plus l'attaque à des possibilités de briller. Les joueurs de qualité « bichonnent et chouchoutent » nos jeunes poussent qui leurs rendent l'appareil sur le terrain. Des joueurs comme Diallo ou Obbadi sont de bons récupérateurs de ballons qui bonifient et amplifient terriblement la valeur individuelle de nos joueurs à vocation offensive. Tout le monde s'y retrouve et l'intégration se fait naturellement.