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Djuk a écrit :C'est normal , nous avons fini 1er ... C'est exactement comme dans le sens inverse .. Les donneurs de leçons à vouloir mettre la corde autour du coup de JM sont de retour cette année

J'ai toujours été là.

J ai sondé les abonnés autour de moi contre Caen et la plupart ont vécu les 3 montées : le constat est sévère - aucun d entre eux ne pense que Furlan est un bon entraîneur
Pire en L1, ils reconnaissent avoir pris peu de plaisir a suivre des équipes impuissantes a bousculer la hiérarchie

Encore une fois on titularise des mauvais : Othon, Pi et Court. Pendant que Thiago et Azamoum regarde le désastre...
FURLAN DEGAGE !!!!!!!

Y avait un léger mieux pour Othon, on sent qu'il revient physiquement.
Pi est pas mauvais dans la récupération mais il s'obstine à tenter des trucs compliqués dans la construction ou essayer de tirer au but alors que c'est évident qu'il marquera jamais.
Court c'est incompréhensible effectivement, il était déjà à peine le niveau du reste de l'équipe quand on jouait en L2

Non FURLAN n'est pas l'homme de la situation pour maintenir un club en ligue 1. Son passé et le présent actuel le démontre.
Cependant le club est une petite PME qui à été construite par MASONI en laissant carte blanche à FURLAN sur le plan sportif.
Et FURLAN en a profité au maximum. Il a fait venir sa femme pour s'occuper du mental des joueurs ( si il y a un un problème de mental dans l'équipe c'est elle qui en est responsable et il faut la licencier pour incompétence), des adjoints qui sont à sa botte, des joueurs qui n'ont pas de caractère ( si il y en a qui se révèle en avoir comme THIAGO , il est mis sur la touche).
Bref un domaine sportif totalement verrouillé, dont l'ambition est d'être comme FURLAN l'a dit entre la 15 ème et la 30 ème place de la hiérarchie française.
La ligue 1 est un plus mais elle n'est pas indispensable dans le système mis en place.
Ce qui est primordial c'est d'équilibrer à peu près les comptes pour continuer à durer; MASONI reste à la tête du club, continue à faire du business avec ses entreprises qui travaille pour l'ESTAC et FURLAN continue à avoir la main mise sur le domaine sportif et accessoirement permet à sa femme d'avoir un travail.
C'est ça qui est à l'origine de l'incompréhension entre le président, l'entraineur et les supporteurs que nous sommes , les objectifs ne sont pas les mêmes.
Eux veulent durer, nous on a envie que l'équipe reste en ligue 1.

Tu oublies l'épisode avec les évictions de Jezierski et Adam.

Voilà encore quelques chiffres pour démontrer et argumenter que Furlan n'est plus l'homme de la situation si on veut rester en ligue 1 :

La majorité du coaching de Furlan se résume entre ligue 2 et National ,mais à ses faits d'armes s'ajoutent 4 saisons en ligue 1 avec 2 clubs, Troyes et Strasbourg.

Voici quelques chiffres et pourcentage de son passage dans l’élite footballistique française :

Saison 2005-2006 Troyes 17 éme avec 39 pts soit 9 victoires 12 nuls 17 défaites soit 24% de victoires
Saison 2006-2007 Troyes 18 ème avec 39 pts soit 9 victoires 12 nuls 17 défaites soit 24% de victoires
Saison 2007-2008 Strasbourg 19 ème avec 35 pts soit 9 victoires 8 nuls 21 défaites soit 24% de victoires
Saison 2012-2013 Troyes 19 ème avec 37 pts soit 8 victoires 13 nuls 17 défaites soit 21% de victoires

En résumé en ligue 1 sur 152 matchs 35 victoires 45 nuls 72 défaites
il ne depasse JAMAIS les 9 victoires donc compliqué pour envisager un maintien,son meilleur classement est une 17émé place....

Constats est que Furlan ses idées, sa conception de joue n’évolue pas en ligue 1 que ce soit avec Troyes ou Strasbourg c'est un parcours linéaires.

Par contre son pourcentage de victoires en L2 est plus qu'honorable

2014-2015 63%
2013-2014 39 %
2011-2012 45%
2010-2011 34%
2008-20009 47%

Conclusion

La ligue 1 n'est pas faites pour lui

Ta démonstration est imparable. Il faudrait savoir ce qu'en pense MASONI.

FRAN10 a écrit :Ta démonstration est imparable. Il faudrait savoir ce qu'en pense MASONI.

Elle serait imparable si les 3 clubs ayant des pourcentages de victoires les moins élevés étaient systématiquement relegués, ce qui n'est pas le cas.

On a déjà vu des clubs se maintenir avec moins de victoires (mais plus de nuls) que des clubs relegués.
De façon générale, le nombre de victoires n'est pas correlé à la place au classement.