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seboun a écrit : ↑03 janv. 2020, 15:22 Ah et pour la nouvelle coupe de Bédia, la voici


Au niveau excentricité, je m'attendais à mieux (pire ?).

Si ça peut lui permettre de marquer...

did3lf a écrit : ↑03 janv. 2020, 16:08

seboun a écrit : ↑03 janv. 2020, 15:22 Ah et pour la nouvelle coupe de Bédia, la voici


Au niveau excentricité, je m'attendais à mieux (pire ?).

Si ça peut lui permettre de marquer...

Ses tresses vont permettre de corriger dans la bonne direction les tirs de sa tête
Ça peut pas nuire

Si il pouvait marquer autant que Patrice Loko

Chris Bedia s est transformé en Tino Kadewere

Article sur l est éclair sur l attaquant rechercher

bonjour , quelqu un pour le partager ou nous faire un résumé ?

merci d avance

a tâche n’est pas aisée. Lors du mercato hivernal, outre un milieu récupérateur, l’Estac va recruter un attaquant pour compenser la blessure de Yoann Touzghar, qui devrait retrouver la compétition en avril, mais sans certitude sur la condition athlétique qu’il retrouvera.

Le profil idéal par les décideurs sportifs du club a été dressé. Premier critère : que la recrue soit un joueur axial. Car parmi les quatre attaquants (Bedia, Ba, Sacko et Pintor), seul le premier cité est capable de prendre l’axe, même si Ba ou Sacko peuvent dépanner.


Deuxième critère : un attaquant qui joue avec les autres, faisant office d’appui pour faire remonter le bloc, habile dans le petit jeu et, surtout, pouvant évoluer en doublette avec un autre attaquant. En fait, un mélange de Yoann Touzghar et Chris Bedia.

Outre ces deux qualités indispensables, l’Estac voudrait y ajouter plusieurs « bonus » : que cette recrue offensive soit expérimentée, car la moyenne d’âge de l’effectif est très jeune, surtout devant (si on retire Touzghar) et parce que la maturité sera un atout non négligeable lors des matches à gros enjeu qui vont se profiler si les Troyens restent en haut du tableau (ils sont 3es actuellement).

Même si l’équipe

n’est pas démunie,

la recrue devra être vite opérationnelle.

Ensuite, il serait mieux que la perle rare connaisse le championnat français, la Ligue 2 en particulier. Car même si l’Estac n’est pas démunie pour redémarrer le championnat (à Clermont vendredi prochain), elle a besoin d’un joueur vite opérationnel, ne nécessitant pas deux ou trois mois d’acclimatation au jeu hexagonal.

Enfin, et c’est peut-être le plus important : le club veut dénicher un avant-centre qui marque des buts. Ça paraît évident mais dans un effectif où le meilleur buteur est un défenseur central (Kouyaté, cinq réalisations en championnat) et où les quatre attaquants disponibles totalisent seulement sept buts, ce n’est pas anodin.

recruter en france, c’est mieux, sinon ce sera à l’étranger
Voilà le portrait-robot idéal de la future recrue troyenne. Reste maintenant à la trouver. Avec une marge financière très restreinte, cela s’annonce compliqué. Surtout dans un mercato hivernal où, en France, seuls les joueurs en manque de temps de jeu (donc ceux qui n’ont pas brillé durant six mois) sont disponibles. L’Estac devra peut-être prospecter à l’étranger, faire un pari ou attendre que le marché des attaquants bouge en Ligue 1 (ça commence à Montpellier, Marseille…), même si le staff ne veut plus de joueurs sous forme de prêt.

De toute façon, l’Estac sera sûrement obligée de sacrifier l’un ou plusieurs des critères énoncés.

Encore l'histoire du budget très restreint... Un jour où l'autre il faudra se mettre dans la tête que si on se veut ambitieux il faut sortir un peu le portefeuille.
Avec toutes les ventes effectuées ces dernières années c'est allucinant d'entendre encore ce discours.

"recruter en france, c’est mieux, sinon ce sera à l’étranger"
.....Oui ça parais logique que se soit l'un ou l'autre