Re: [23/24] Préparation, matchs amicaux, pré-saison, calendrier etc.
Posté : 20 juil. 2023, 08:05
Ce que dit l’est éclair concernant le match :
Comme après la victoire contre le FC Mondercange samedi (4-0), on va commencer par émettre quelques réserves quant à l’adversité rencontrée par l’Estac ce mercredi: le Racing Luxembourg est une meilleure équipe que Mondercange, mais pas encore le calibre permettant de réellement jauger cette équipe troyenne 2023-2024.
Celle-ci a enchaîné un deuxième succès (0-2), avec un but par période, et on a hâte de voir ce que cela peut donner contre Metz (promu en Ligue 1) ce samedi, au Stade de l’Aube. Car sans même parler du score final – qui fait quand même du bien au moral -, on a vu des choses très intéressantes dans la capitale luxembourgeoise.
Dans un système en 4-1-4-1 (qui se transforme en 3-2-4-1 quand l’Estac a le ballon), les Troyens ont parfaitement utilisé la largeur offerte par ses «mangeurs de craie»: Odobert et Dong, puis Tibidi et Bruus. Les renversements de jeu sont une clé du « City game » et c’est comme cela que les Troyens ont ouvert la marque hier, Assoumou coupant parfaitement un centre tendu de Dong, excentré à droite (0-1, 10e).
En supériorité numérique au milieu, enfin !
Autre constat à confirmer quand les obstacles s’élèveront: le jeu troyen est moins stéréotypé. Outre la largeur, les joueurs de Kisnorbo ont aussi utilisés très souvent le jeu direct, dans le dos de la défense, grâce aux appels incessants d’Assoumou, excellent dans ce registre (lire par ailleurs), mais aussi des milieux qui se projettent, à l’image de Dongmo dans la dernière demi-heure.
Puisqu’on est encore en phase d’observation, voire même de curiosité à l’égard de ce que vont proposer dans le jeu les Troyens cette saison, on notera également qu’ils cherchent à avoir du monde au cœur du jeu en phase offensive, afin de créer du surnombre. C’était tellement flagrant hier qu’on se demande pourquoi le staff troyen n’a pas cherché cette supériorité la saison dernière, quand l’Estac se retrouvait systématiquement en infériorité numérique au milieu, au grand dam de certains joueurs.
Mais bon, allez, il faut arrêter de ressasser et regarder de l’avant. Pas facile en raison de l’épais brouillard que représente le mercato, qui n’en est qu’à ses prémisses à Troyes. D’un côté, c’est bien car cela signifie que l’Estac va encore beaucoup recruter – et elle en a besoin -. De l’autre, cela veut dire que l’équipe avance sans des futurs titulaires. Ceux-là devront vite apprendre les systèmes de jeu mis en place par Kisnorbo, qui sont assez complexes. Cela demandera du temps. Comme pour se faire une idée précise du niveau de cette Estac « new look ».
Comme après la victoire contre le FC Mondercange samedi (4-0), on va commencer par émettre quelques réserves quant à l’adversité rencontrée par l’Estac ce mercredi: le Racing Luxembourg est une meilleure équipe que Mondercange, mais pas encore le calibre permettant de réellement jauger cette équipe troyenne 2023-2024.
Celle-ci a enchaîné un deuxième succès (0-2), avec un but par période, et on a hâte de voir ce que cela peut donner contre Metz (promu en Ligue 1) ce samedi, au Stade de l’Aube. Car sans même parler du score final – qui fait quand même du bien au moral -, on a vu des choses très intéressantes dans la capitale luxembourgeoise.
Dans un système en 4-1-4-1 (qui se transforme en 3-2-4-1 quand l’Estac a le ballon), les Troyens ont parfaitement utilisé la largeur offerte par ses «mangeurs de craie»: Odobert et Dong, puis Tibidi et Bruus. Les renversements de jeu sont une clé du « City game » et c’est comme cela que les Troyens ont ouvert la marque hier, Assoumou coupant parfaitement un centre tendu de Dong, excentré à droite (0-1, 10e).
En supériorité numérique au milieu, enfin !
Autre constat à confirmer quand les obstacles s’élèveront: le jeu troyen est moins stéréotypé. Outre la largeur, les joueurs de Kisnorbo ont aussi utilisés très souvent le jeu direct, dans le dos de la défense, grâce aux appels incessants d’Assoumou, excellent dans ce registre (lire par ailleurs), mais aussi des milieux qui se projettent, à l’image de Dongmo dans la dernière demi-heure.
Puisqu’on est encore en phase d’observation, voire même de curiosité à l’égard de ce que vont proposer dans le jeu les Troyens cette saison, on notera également qu’ils cherchent à avoir du monde au cœur du jeu en phase offensive, afin de créer du surnombre. C’était tellement flagrant hier qu’on se demande pourquoi le staff troyen n’a pas cherché cette supériorité la saison dernière, quand l’Estac se retrouvait systématiquement en infériorité numérique au milieu, au grand dam de certains joueurs.
Mais bon, allez, il faut arrêter de ressasser et regarder de l’avant. Pas facile en raison de l’épais brouillard que représente le mercato, qui n’en est qu’à ses prémisses à Troyes. D’un côté, c’est bien car cela signifie que l’Estac va encore beaucoup recruter – et elle en a besoin -. De l’autre, cela veut dire que l’équipe avance sans des futurs titulaires. Ceux-là devront vite apprendre les systèmes de jeu mis en place par Kisnorbo, qui sont assez complexes. Cela demandera du temps. Comme pour se faire une idée précise du niveau de cette Estac « new look ».