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Karim Azamoum (2013 - 2018) ; (jan. 2021 - 2022)
- soho10
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Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
BARETO j'y crois pas... j'espere me tromper mais je pense que c'est faiblard pour le niveau pro...
- turtle
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Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
A moins qu'il se reconvertisse en latéral droit.
- juan21.rmcinfo.fr
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- Localisation : Bordeaux
Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
+ 1 Barreto a ete repositionne dans ce sens par JMF pour etre la doublure de Collin
Comme Marester ou Enza dans le passe
Comme Marester ou Enza dans le passe
Prolonger Grax alors que Caceres a mis 7 buts lors des 12 derniers matchs de la montee...
Incroyable mais vrai, ils l ont fait.
Incroyable mais vrai, ils l ont fait.
- Gigis10
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Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
ça n'a pas si mal réussit à Enza et N'Sak ... qui était pourtant très offensif ... alors pourquoi pas ???
- turtle
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Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
Bof, pour une réussite on a eu 2 échecs, si N'Sakala a été une réussite, Marester et Enza sont deux grosses daubes. D'ailleurs Enza n'a plus évolué latéral depuis très longtemps.
- Gigis10
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- Localisation : Troyes / Tribune Champagne
Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
Au début de son repositionnement , Enza n'était pas si mauvais que ça à ce poste.
Mais bon difficile de discuter sur ce sujet avec un anti-yamissi
Mais bon difficile de discuter sur ce sujet avec un anti-yamissi
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- Contributeur
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Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
L'Est Eclair du lundi 16 septembre 2013 :
http://i75.servimg.com/u/f75/13/02/25/60/16-09-10.jpg
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- Mlledu10
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- Enregistré le : 30 déc. 2010, 18:44
Re: [19] Karim Azamoum >> juin 2015
L'Est Eclair du 6 juillet 2014 :
Estac/ Karim Azamoum veut s’imposer
Le Marseillais n’est pas parti malgré des propositions. Il souhaiterait, alors qu’il ne lui reste qu’une année de contrat, franchir un palier.
Sa douce voix, son accent chantant, nous ne les entendons que trop rarement. Karim Azamoum est plutôt du genre discret. Pourtant, lorsqu’il s’exprime, on prend toute la dimension de ce garçon, agréable, cultivé, qui pèse chaque mot. « Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis … même calmement, affirme-t-il posément. Je suis armé de certaines certitudes. Dans la vie, on n’est pas obligé de crier pour se faire entendre. Ce n’est pas forcément utile. »
En cette fin de journée ensoleillée, à Morzine, nous découvrons un jeune homme (24 ans) ouvert et disert. « Karim est quelqu’un qui aime s’instruire, qui aime la culture, qui se rend régulièrement à la bibliothèque », témoigne Jean-Marc Furlan. Loin des carcans dans lesquels on enferme trop souvent les joueurs de foot. « J’ai un bac ES, confie l’intéressé. J’aurais aimé, comme une partie de ma famille, poursuivre des études de Droit. Mais avec la vie que je mène, assez instable, ce n’est pas évident. » Car Azamoum a un peu bourlingué. Après Auxerre, où il a passé huit saisons, il a posé son sac à Agde puis à Hyères, en CFA. Avant de rejoindre l’Aube, la saison dernière. « J’ai connu le milieu professionnel, mais aussi le monde amateur, témoigne-t-il. J’ai vu ce que c’était de devoir travailler, quand je jouais en CFA, en dehors du football. Ce passage dans le monde amateur m’a beaucoup servi. Il m’a appris l’humilité dans la vie de tous les jours. (il insiste) Les valeurs du monde amateur me conviennent très bien. »
C’est pourtant à l’étage supérieur qu’il compte aujourd’hui s’exprimer. À Troyes plus qu’ailleurs. « Un peu avant la fin de la saison, c’est vrai, j’avais émis le souhait de jouer davantage. Si j’avais trouvé un challenge sportif intéressant, ailleurs, j’aurais aimé être libéré. » Mais deux derniers matches accomplis ont changé la donne. « Ils m’ont mis en confiance et m’ont donné envie de persévérer, souligne-t-il. J’aimerais aujourd’hui faire une saison complète, passer un cap et gagner ma place. » « Il a prouvé en fin de saison qu’il avait le niveau pour jouer en Ligue 2, complète Jean-Marc Furlan. Malheureusement, Karim a souvent été blessé au mauvais moment. Mais lorsque je l’ai appelé, il a répondu présent. C’est un très bon passeur, capable de marquer. Évidemment que je compte sur lui… »
Azamoum aurait pu choisir l’exil. « J’avais des propositions de clubs de National, confie-t-il. Je ne vais pas mentir, elles m’ont fait réfléchir. Mais je les ai refusées. Aujourd’hui, je suis ici. Je crois en moi et si on m’offre encore ma chance, j’essaierai de la saisir. » Il veut transformer ses quatre matches de Ligue 2 (ses premiers en professionnel, dont une titularisation), enrichir ses stats et « prouver qu'(il) est bien là ». Un discours que le coach Furlan aime. « Une carrière de footballeur peut aller très vite, dans les deux sens, conclut notre Marseillais. Aujourd’hui, j’ai la chance d’exercer un métier comme celui-là. » À lui de ne pas se manquer.
Estac/ Karim Azamoum veut s’imposer
Le Marseillais n’est pas parti malgré des propositions. Il souhaiterait, alors qu’il ne lui reste qu’une année de contrat, franchir un palier.
Sa douce voix, son accent chantant, nous ne les entendons que trop rarement. Karim Azamoum est plutôt du genre discret. Pourtant, lorsqu’il s’exprime, on prend toute la dimension de ce garçon, agréable, cultivé, qui pèse chaque mot. « Quand j’ai quelque chose à dire, je le dis … même calmement, affirme-t-il posément. Je suis armé de certaines certitudes. Dans la vie, on n’est pas obligé de crier pour se faire entendre. Ce n’est pas forcément utile. »
En cette fin de journée ensoleillée, à Morzine, nous découvrons un jeune homme (24 ans) ouvert et disert. « Karim est quelqu’un qui aime s’instruire, qui aime la culture, qui se rend régulièrement à la bibliothèque », témoigne Jean-Marc Furlan. Loin des carcans dans lesquels on enferme trop souvent les joueurs de foot. « J’ai un bac ES, confie l’intéressé. J’aurais aimé, comme une partie de ma famille, poursuivre des études de Droit. Mais avec la vie que je mène, assez instable, ce n’est pas évident. » Car Azamoum a un peu bourlingué. Après Auxerre, où il a passé huit saisons, il a posé son sac à Agde puis à Hyères, en CFA. Avant de rejoindre l’Aube, la saison dernière. « J’ai connu le milieu professionnel, mais aussi le monde amateur, témoigne-t-il. J’ai vu ce que c’était de devoir travailler, quand je jouais en CFA, en dehors du football. Ce passage dans le monde amateur m’a beaucoup servi. Il m’a appris l’humilité dans la vie de tous les jours. (il insiste) Les valeurs du monde amateur me conviennent très bien. »
C’est pourtant à l’étage supérieur qu’il compte aujourd’hui s’exprimer. À Troyes plus qu’ailleurs. « Un peu avant la fin de la saison, c’est vrai, j’avais émis le souhait de jouer davantage. Si j’avais trouvé un challenge sportif intéressant, ailleurs, j’aurais aimé être libéré. » Mais deux derniers matches accomplis ont changé la donne. « Ils m’ont mis en confiance et m’ont donné envie de persévérer, souligne-t-il. J’aimerais aujourd’hui faire une saison complète, passer un cap et gagner ma place. » « Il a prouvé en fin de saison qu’il avait le niveau pour jouer en Ligue 2, complète Jean-Marc Furlan. Malheureusement, Karim a souvent été blessé au mauvais moment. Mais lorsque je l’ai appelé, il a répondu présent. C’est un très bon passeur, capable de marquer. Évidemment que je compte sur lui… »
Azamoum aurait pu choisir l’exil. « J’avais des propositions de clubs de National, confie-t-il. Je ne vais pas mentir, elles m’ont fait réfléchir. Mais je les ai refusées. Aujourd’hui, je suis ici. Je crois en moi et si on m’offre encore ma chance, j’essaierai de la saisir. » Il veut transformer ses quatre matches de Ligue 2 (ses premiers en professionnel, dont une titularisation), enrichir ses stats et « prouver qu'(il) est bien là ». Un discours que le coach Furlan aime. « Une carrière de footballeur peut aller très vite, dans les deux sens, conclut notre Marseillais. Aujourd’hui, j’ai la chance d’exercer un métier comme celui-là. » À lui de ne pas se manquer.
- Gigis10
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