Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 12 févr. 2023, 19:50
Oui mais avant nos chèvres serraient les fesses,maintenant elles les écartent c'est L'Australia touch qui permet cette évolution
Site et forum non-officiels de l'ESTAC Troyes, club de football de Ligue 1 Uber Eats (FC Troyes). Matches, rumeurs transferts, mercato, actualités sur l'Espérance Sportive Troyes Aube Champagne
https://www.estacweb.fr/
Oui mais avant nos chèvres serraient les fesses,maintenant elles les écartent c'est L'Australia touch qui permet cette évolution
C’était pas folichon mais la seule question que l’on se pose désormais, c’est si on va s’en prendre 4,5 ou 6 ?Gigis10 a écrit : ↑12 févr. 2023, 19:36 Et je dis ça , alors que contrairement à beaucoup je n'étais pas un anti Irles !
Mais je ne suis pas non plus un anti PK ... Ce n'est pas lui qui joue comme un plot sur le terrain !
Ce qui était déjà le cas en octobre/novembre et qui a amené le départ de BI ...
Alors, la question qui brûle les lèvres de tout le monde :Elpinguin a écrit : ↑29 nov. 2022, 15:18 Patrick Kisnorbo, l’état de grâce
Contrairement à son prédécesseur Bruno Irles, Patrick Kisnorbo réalise un sans-faute en matière de communication depuis son arrivée à l’Estac. L’Australien, direct et naturel, met tout le monde dans sa poche. Ce lundi, il a rencontré les joueurs pour la première fois.
Alan Mangin
Une anecdote pour illustrer la sympathie engendrée par Patrick Kisnorbo, le nouvel entraîneur de l’Estac. Alors qu’il mangeait au restaurant avec ses adjoints en centre-ville de Troyes dimanche soir, l’Australien a aperçu et reconnu un jeune journaliste qui l’avait questionné lors de la conférence de presse vendredi. Kisnorbo a pris le temps de le saluer, d’échanger, et cela en arrivant et repartant. Pour le commun des mortels, rien d’extraordinaire ; mais dans la bulle footballistique, cette proximité fait du bien, surtout dans une ville à taille humaine comme Troyes.
Car l’entraîneur va vite s’en rendre compte : il va devenir un personnage identifié dans l’Aube, qui ne compte qu’un seul club professionnel, là où, à Melbourne, il passait inaperçu. Car en Australie, le « soccer » laisse indifférent, contrairement au « footy », un sport proche du rugby, sur un terrain plus grand et ovale. Le critère de la personnalité était donc primordial au moment de trouver un successeur au clivant Bruno Irles.
Pour le moment, sur l’aspect humain, le charismatique Patrick Kisnorbo réalise un sans-faute. Toutes les personnes, en interne ou en externe, qui l’ont déjà rencontré voire qui ont échangé un moment avec lui, parlent pêle-mêle d’un homme « chaleureux », « direct », « ouvert », « souriant », et même « déconneur ». Sur les réseaux sociaux, les tout premiers commentaires suite à sa nomination étaient mitigés (pas de vécu en Ligue 1, pas francophone…). Il a suffi de quelques vidéos mises en ligne par l’Estac et par Melbourne City, dans lesquelles on voit notamment l’entraîneur fendre la carapace, pour voir les commentaires positifs se multiplier.
La communication, celle du club au départ, puis la sienne lors de sa présentation officielle vendredi dernier, a été parfaitement maîtrisée. Le « story telling », une expression adorée des communicants, doit désormais faire face à la réalité du terrain. Hier, les joueurs étaient justement de retour au Stade de l’Aube, après avoir suivi, depuis leur lieu de vacances, la chaude actualité de l’Estac.
« Je ne le connaissais pas du tout, confie Renaud Ripart au sujet de Patrick Kisnorbo. Ce n’est pas plus mal car généralement, quand un coach connu en France arrive, on a toujours des avis ou des échos d’autres joueurs. Là, je vais me faire mon propre avis ; les prochains jours vont être intéressants. »
Mais dès ce lundi, le groupe a eu un aperçu de la façon de manager de l’ancien coach de Melbourne. « On sent qu’il va amener beaucoup de dynamisme, d’énergie, le groupe en a besoin. » Car en raison de récents résultats en berne et d’un quotidien pas toujours très jovial sous Bruno Irles, le vestiaire était un peu moribond.
Par sa fraîcheur et sa personnalité (on dit des adjoints qu’ils sont aussi très conviviaux), le nouveau staff va ramener de la vitalité. « Oui, mais ce n’est que le premier jour, il faut voir sur la durée, tempère Renaud Ripart. Là, c’est tout nouveau mais c’est vrai que ça fait du bien à tout le monde. » Car les joueurs avaient envie de retrouver un coach davantage dans l’affection. « C’est primordial, poursuit l’attaquant troyen. Pour être performant, il y a l’environnement sportif, mais aussi l’humain. Tout cela est de bon augure… »
Dans une rencontre, les premiers instants sont souvent les meilleurs. Et on mesure la qualité d’une relation à sa capacité à surmonter les obstacles.
Pour Kisnorbo et ses joueurs, ils n’arrivent que dans un mois, avec la reprise du championnat le 28 décembre. Pour un président, on dit que l’état de grâce dure cent jours. Pour un entraîneur, il se détériore à chaque mauvais résultat. Sourire ravageur et poignée de main virile ou pas.
Vu sa com ...français ou pas il n'a pas l'air de se remettre en cause ...troyenetchampenois a écrit : ↑12 févr. 2023, 21:18 J'espère qu'il prend des cours de Français pour lire nos messages.....