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Une équipe de U19 ou d'espoirs .....

C le PFC qui rigole bien.

Bof, avec ou sans nos meilleurs joueurs, ça ne changera rien je pense....

Je pense que cette équipe manque bcp de métier dans les phases de jeu un peu tendues.
Des anciens feront toujours du bien.
D'ailleurs pourquoi leur avoir fait des contrats qd on limite l'âge a 23 ans?

Sans de preville et Chavalerin ça manque de maturité clairement

romainpat94@free.fr a écrit : ↑27 oct. 2023, 21:58 Sans de preville et Chavalerin ça manque de maturité clairement

En même temps … est ce que la maturité sous Kisnorbo nous a déjà ramené quelque chose ?
Avec ou sans les 2 joueurs cités, ça sera la même galère.

Grandeur et, surtout, décadence. Le 29 octobre 2022, malgré la défaite, l’Estac de Bruno Irles, qui vivait ses dernières heures sur le banc troyen, avait bousculé le PSG de Messi, Neymar et Mbappé. Grâce notamment à un Mama Baldé des grands soirs, l’équipe troyenne avait regardé le champion en titre dans les yeux. Elle avait ravi ses supporters, fiers, ce soir-là, de leur équipe.

Un an plus tard, tout s’est dégradé, la situation s’est délitée. Elle est même, pour beaucoup, invivable (les Magic ont par exemple appelé à ne plus se rendre au stade ni même à acheter le moindre objet estampillé Estac !). De l’équipe qui a été alignée au Parc des Princes, par Bruno Irles, il ne restera, ce soir à Charléty… personne. À moins que Patrick Kisnorbo (ce serait surprenant) ne choisisse de relancer Abdu Conté.

En un an, donc, l’Estac est passée des lumières de la Ligue 1 aux profondeurs de la Ligue 2. Des paillettes au... paillasson. Car oui, toutes les équipes françaises s’essuient désormais leurs crampons sur une formation sans ressort. Même en National, pas certain que cette Estac-là gagnerait des matches, tant son niveau de jeu flirte, parfois, avec le… ridicule.

Comment en sommes-nous arrivés là? Là où Laurent Batlles et Bruno Irlès étaient convaincus de ne pouvoir réussir en utilisant en Ligue 1 ou en Ligue 2 que des jeunes, Patrick Kisnorbo fait le jeu de CFG.

Irles avait pourtant été recruté par Erick Mombaerts. Mais l’ancien Monégasque a rapidement vu les limites du système. «PK», lui, maintient le cap. En bon soldat, il ne se rebelle pas, quitte à écorner sa réputation. Jusqu’au-boutiste, il semble prêt à égratigner un peu plus son image, comme s’il avait prêté allégeance à CFG. «(il hausse les épaules) Je ne suis pas le boss, souligne-t-il. Même si cela peut sembler dur à comprendre pour les gens, à l’extérieur, le projet est défini, tracé par l’actionnaire. Je suis ici pour appliquer les consignes. Ce n’est pas moi qui dicte les règles.»

« Je ne suis pas le boss. Ce n’est pas moi qui dicte les règles »

Patrick Kisnorbo

Si Kisnorbo a accepté de relever le défi, s’il a mis en place ce projet, c’est qu’il y croyait… Mais les résultats étant bien en deçà des espérances, on peut penser que l’Australien a mal cerné la situation, qu’il a minimisé la qualité du Championnat de France, de Ligue 1 puis de Ligue 2, ou surestimé le groupe qu’on lui a confié. « Nous vivons une saison compliquée, je le reconnais, mais jamais je n’ai minimisé la qualité de ce championnat », assure-t-il.

On aimerait percer un peu plus la carapace, avoir les moyens de bien comprendre, en anglais ou en français, ce que le coach pense réellement. À des questions précises, traduites par un des chargés de communication du club, nous n’obtenons que certaines réponses, dites avec conviction, mais sans saveur.

Plusieurs fois, jeudi, en conférence de presse, «PK» a répété qu’il n’était « pas le boss », qu’il était là « pour travailler avec son staff », qu’il avait pour mission « d’instaurer un climat agréable de travail», afin de faire progresser une équipe dont il est persuadé qu’elle va, au fil du temps, retrouver la lumière. « Les jeunes, dans ce contexte, font très bien leur travail, répète-t-il. Je suis fier d’eux. Leur tâche n’est pas facile. On va continuer à travailler. » Pour s’extirper de la zone rouge, pour redorer un blason terni. « Nous avons envie de retrouver le chemin de la victoire », lance-t-il, persuadé que la réussite va tourner. « Paris, un match crucial? Chaque match est crucial. On va aborder cette rencontre comme les autres, sans nous focaliser sur notre classement, avec l’envie, comme toujours, de faire le mieux possible. »

Il ça aborder ce match comme les autres.... Donc même résultat que pour les autres.

Meme Dupraz pourtant pas terrible serait un vrai génie à coté de cette cloche qui nous sert d'entraineur ......