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Ça peut être un beau challenge de venir.Je vois bien Pelissier ...

Je vois bien aussi Pélissier

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Après Lorient, Christophe Pelissier veut vite rebondir en Ligue 1

Écarté de Lorient le 19 juin, l'entraîneur de 56 ans, Christophe Pelissier, raconte comment il a vécu cette éviction tardive et son souhait de revenir au plus vite entraîner en L1.

Franck Le Dorze mis à jour le 19 août 2022 à 00h05

En juin, Christophe Pelissier, qui sortait de trois saisons à Lorient, était écarté de l'équipe première, à deux ans du terme de son contrat et à huit jours de la reprise. À 56 ans, l'entraîneur, qui a trouvé un accord financier avec le président Loïc Féry, est désormais consultant pour Prime Video. Mais, comme il le dit pour la première fois depuis son éviction, il souhaite reprendre du service en Ligue 1, dès que possible.

« Avez-vous digéré cette mise à l'écart ?
Sur le moment, cela a été une surprise, ensuite, une déception. Maintenant, j'ai tourné la page et je regarde devant.

C'est la première fois que ça vous arrivait...
Je crois que c'est Arsène Wenger qui a dit que l'on commence à être un bon entraîneur quand on s'est au moins fait virer une fois (sourire).

Est-ce violent, même si cette éviction n'est pas intervenue en cours de saison ?
Oui. C'est d'autant plus dur à encaisser quand on a atteint l'objectif, a fortiori à une semaine de la reprise, car c'est compliqué de se retourner. Autant j'aurais pu comprendre quand on était au coeur de la tempête cet hiver... Mais on avait redressé la barre, ce qui prouve que le président a fait le bon choix à ce moment-là. Deux jours après la fin du Championnat, j'ai une réunion avec le président et le directeur général (Arnaud Tanguy) : on réfléchit à comment faire progresser le groupe. Je travaille sur le recrutement et je n'avais vraiment pas de doute que j'allais reprendre la saison.

Quand le président vous appelle le 19 juin, vous êtes donc surpris ?
Non car, à partir de début juin, je sens que ça tourne. Cela faisait trois ans que j'étais là, on dit souvent que ça correspond à un cycle.

Comment justifie-t-il son choix ?
Il me dit qu'il a mené une réflexion et qu'il pensait que si ça se passait un peu moins bien en cours de saison, il ne pourrait pas me soutenir autant que ce qu'il avait fait lors des deux dernières, ce que je peux comprendre. Il n'y a aucun problème entre le président et moi. J'ai rempli mon contrat. On est venu me chercher en Ligue 2 (2019), pour être en Ligue 1 dans les trois ans (*). Trois ans plus tard, je laisse le club en Ligue 1.

N'avez-vous pas pâti d'une qualité de jeu déficiente ?
Ça, ce sont des paroles. La seule chose que le président m'a dite, c'est que l'objectif avait été rempli. La qualité de jeu, quand on se bat pour le maintien...

N'était-on pas, tout de même, en droit d'attendre mieux de cette deuxième saison en L 1 (6 points de moins qu'en 2020-2021) ?
On fait un début de saison magnifique, on est 6e, avec 13 points, après 8 journées. On bat Monaco (1-0), Lille (2-1) et Nice (1-0), on fait nul à Lyon (1-1). Après, on a beaucoup de blessés. La confiance est altérée et c'est difficile de produire du beau jeu quand il faut aller chercher les points.

Regrettez-vous certains de vos choix ?
Bien sûr qu'il y a une introspection. Je pense que je suis l'entraîneur qui a fait débuter le plus de jeunes en Ligue 1, neuf. L'année d'avant, on a permis à Yoane Wissa d'exploser, tout comme Terem Moffi et Armand Laurienté. Mais ils ont aussi connu une crise de croissance. Peut-être que je n'ai pas assez insisté, en début de saison, sur davantage de concurrence.

Pensez-vous que cet épisode puisse nuire à votre image ?
Cela fait quinze ans que, partout où je passe, les objectifs sont atteints. Et parfois même au-delà, comme à Amiens, où la L1 n'était pas programmée.

Aujourd'hui, souhaitez-vous retrouver un club au plus vite ?
Je n'ai pas envie d'attendre. J'ai la chance d'être consultant, ce qui me permet de regarder des matches. Je suis prêt à relever un nouveau défi, à m'inscrire dans un projet, en L1, comme je l'ai fait durant quatre saisons. »

(*) Lorient est champion de Ligue 2 en 2019-2020 et accède à la Ligue 1.

Au secours, pas lui. C'est BI avec l'accent méridional.
Les supporters lorientais n'en pouvaient plus.

palexandre a écrit : ↑21 août 2022, 11:03 Au secours, pas lui. C'est BI avec l'accent méridional.
Les supporters lorientais n'en pouvaient plus.

Les résultats plaident pour lui avec des équipes aux effectifs limités, après c'est pas avec lui qu'on verrai du jeu......

palexandre a écrit : ↑21 août 2022, 11:03 Au secours, pas lui. C'est BI avec l'accent méridional.
Les supporters lorientais n'en pouvaient plus.

Lorient et Amiens (ou même Luzenac) de Pelissier jouaient bien mieux que l'Estac de Irles. Largement.
Qd tu vois comment Amiens était capable de rentrer dans le lard du PSG par exemple, pressing haut, mais aussi transitions rapides pour jouer les contres, ou encore avec Guirassy capable de tenir le ballon pour faire remonter le bloc, on voyait plus de choses avec Amiens que nous contre Toulouse ou Lyon.
Après à Lorient Laurienté et Moffi ont été moins performants la 2e année mais ça jouait pas si mal. Ils l'an passé ça a été mieux après le mercato hivernal qd ils ont eu Koné.

Pélissier a le meilleur pédigrée.. Lorient le club et Fery le nauséabond créé une atmosphère peu propice ...

Notre stérilité offensive en L1 n a été ni corrigé par LB ni par BI

...et ne pourra en aucun cas être corrigé pas ce Pélissier.

Le mec a l'expérience du maintien et à toujours réalisé ces objectifs partout où il est passé...
A l'heure qu'il est avec l'effectif que l'ont a à dispo et la forme de certains joueurs, je ne crois pas une seconde que l'ont peut créer du beau jeux en gagnant des matchs...
En essayant de défendre ont en prends minimum 3 par match . Jouer plus haut et se découvrir sur certaines fases de jeu, et ben je crains le pire
Donc moi Pelissier je crache pas dessus