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y'a pas moyen de faire une petition pour lui faire comprendre qu'on veut plu de lui ???

turtle a écrit :

TontonManu a écrit :J'avoue que çà me fait un peu peur quand je lis que Gomez ne comprend pas comment on en est arrivé là ... Il ne s'agit pas des 6 derniers mois, ni même des 15 derniers mois, çà fait 3 saisons (depuis le clash estival Gomez / Furlan) que ce club fonctionne à l'envers voire de travers. Le projet de "jeu à la troyenne" est parti en même temps que Furlan et depuis Gomez semble chercher en priorité des entraîneurs "gentils" qui n'oseront pas donner leur avis sur le recrutement.
Ce clash Gomez / Furlan a également été le premier accroc dans notre "club familial où tout le monde aime tout le monde" et depuis les affaires se multiplient. Les résultats d'un club pro passent bien sûr par le terrain en priorité mais également par les coulisses, et dans les 2 domaines on s'enfonce depuis 3 ans.

Sinon par rapport au sujet initial je ne vois pas comment Gomez pourrait encore rester à la tête du club : il avait un projet à 5 ans, il s'est planté, il doit avoir le courage de prendre le décision qui s'impose et son départ doit être le début d'une grande lessive dans ce club, à tous les niveaux, car un tel effondrement ne peut pas être imputé à seulement quelques personnes.

Pour en revenir au clash Furlan/Gomez , Gomez n'est pas le seul responsable a mon avis les tords sont partagés. Furlan n'a pas réussi non plus à strasbourg et ça c'est pas la faute de Gomez quand même. Après les deux aurait pu se comporter de manière + "pro" , c'est a dire par forcement amis mais pas faire des trucs genre "je fais pas jouer Saganowski parce que Gomez a pas voulu que j'ai mon Bobo" ou "tiens je t'impose tel ou tel joueur a faire jouer dans ton équipe comme Boskovic"

Je suis d'accord avec Tonton. Tout marche de travers depuis ce moment là.
Quand il y a conflit, les torts sont toujours partagés; celà dit on n'a jamais vraiment su quel en était vraiment le motif.
De la même façon, pendant les 2 saisons où tout marchait bien, chacun avait sa part dans les bons résultats.
Il reste que le projet sportif reposait entièrement sur Furlan et qu'il n'a jamais été remplacé dans ce rôle. C'est pour cette raison que je me tue à dire que l'important ce n'est pas de désigner un fautif mais de trouver des solutions.

edo a écrit :Alex, un changement ne pourra pas avoir de conséquences pires que ce qu'on vit actuellement, si?

Bah, on peut hélas encore faire pire : la disparition du club !
Mais ne me fait pas dire ce que je n'ai pas dit : il faut du changement c'est clair mais je me méfie simplement de ce qu'on va récupérer. Comme le dit Nikkko, on n'a pas forcément de quoi attirer un cador je ne crois pas aux joyeux mécènes qui ne viennent que pour le plaisir.
Un patron de club vient avec ses objectifs : rentabilité, notoriété, ?... et s'intéresse à un club s'il peut lui permettre d'atteindre ses objectifs.
Il reste beaucoup de travail pour sauver ce qui reste et reconstruire ce qui manque; on a besoin de quelqu'un qui s'investit sur le long terme et pas d'un parachuté qui vient faire un coup.
Je suppose que les responsables de nos collectivités locales ne vont pas rester inertes face à cette situation ...

edo a écrit :C'est parce qu'on a pas gardé Montero.

eh ouais je l'avais bien dit

eh oui au lieu de licencier Montero il aurait été plus judicieux de virer Furlan ... je l'ai toujours affirmé et on voit maintenant le résultat fait chier quand même d'avoir raison ..

Ouais t'as raison. Ou alors on peut voir le problème dans l'autre sens: après avoir foutu le ¤#*ù^ à l'Estac, Montero est en train de foutre le ¤#*ù^ à La Rivière.

Aujourd'hui c'est un triste anniversaire pour notre ville et notre club, 30 ans et déjà (article Libération-Champagne):

Samedi 26 mai 1979 : le TAF disputait son dernier match professionnel au stade de l'Aube devant... 833 spectateurs. C'était la fin d'une époque !

Il y a exactement trente ans, jour pour jour, le Troyes Aube football disputait son dernier match professionnel. Avant de disparaître de la scène nationale.
En ce samedi 26 mai 1979, pour le compte de la 34e et dernière journée du groupe A de Division 2, 833 spectateurs passifs s'étaient déplacés au chevet du mourant au stade de l'Aube. Comme pour donner encore plus de relief à cette triste disparition, une pluie fine s'était abattue durant toute la partie sur le vieux stade du Labourat.
Face à ces compagnons de misère que le maillot du TAF réunissait une dernière fois, l'AS Béziers, possédant plus de maturité, s'était imposée 1-0 (but de Maya à la 14e minute) au terme d'une rencontre de bien médiocre qualité. Deux jours plus tard, le tribunal de commerce de Troyes prononçait la liquidation des biens du TAF. Ce fut la fin d'une belle époque débutée dix ans auparavant. Sur une initiative de Marc Eullaffroy, le TAF avait vu effectivement le jour en 1969. Troyes avait profité de la création toute récente du Championnat National à trois poules pour débuter sa carrière dans l'antichambre de l'élite. Entraîné par René Pleimelding, le TAF fit des débuts honorables en terminant la saison 1970-1971 à 11e place du groupe Nord.


Cinq saisons en Division 1


Commença alors l'ère de Pierre Flamion qui propulsa son équipe à la seconde place de son groupe, derrière Sedan. La troisième année s'avéra la bonne puisqu'au terme d'un championnat mémorable, le TAF souffla la pole position à Monaco et accéda enfin à la Première division. Marcel Artélésa et ses copains avaient alors mérité leur tour d'honneur.
Durant cinq saisons, Pierre Flamion, puis René Cédolin firent en sorte de maintenir, tant bien que mal, leur équipe en Ligue 1, avant de boire le calice jusqu'à la lie en 1978 : 19e et relégation en Division 2 ! René Cédolin était

remercié et Paul Jurilli reprit le flambeau. Pas pour longtemps d'ailleurs puisque face aux mauvais résultats de l'équipe, il passa la main à Gérard Grégoire. La suite, on la connaît, à savoir la relégation sur le plan sportif, le dépôt de bilan et, enfin, la liquidation judiciaire.
Le football troyen traversa ainsi une longue traversée du désert avant que quelques passionnés ne créent, en 1986, l'Association Troyes Aube Champagne (ATAC), qui deviendra par la suite l'Estac, toujours en vie…


Carlos Lopez : « Ce fut une période difficile ! »

Actuel adjoint de Luis Fernandez au Stade de Reims, Carlos Lopez (50 ans) figurait au sein de cette équipe du TAF défaite par l'AS Béziers ce 26 mai 1979. « Je ne me souviens pas spécialement de ce dernier match au stade de l'Aube mais plus des derniers mois du TAF. Ce fut une période difficile. Outre les situations sportive et financière de l'équipe, c'était compliqué pour nous car avec Olivier Vincent, Kamel Kébir et d'autres, nous étions à l'armée à Romilly. On revenait le soir pour s'entraîner au stade de l'Aube sous la houlette de Gérard Grégoire ». Malheureusement, à l'heure où le centre de formation commençait à porter ses fruits, le TAF mit la clef sous la porte. « Les dirigeants tels que Marc Eullaffroy et Michel Pariset ne nous ont pas laissés tomber. Grâce à eux, avec Kamel Kébir, nous avons signé à Montluçon. J'y suis resté trois ans », ajoute Carlos Lopez qui est revenu à Troyes, en 1997 en tant qu'éducateur à l'Estac où il est resté huit ans.

Curieux moment pour relater ce triste moment. J'y était à ce dernier match ...

Lu dans l'Equipe aujourd'hui : "on s'agite en coulisse pour convaincre T. Gomez de passer la main"

Comme d'habitude dans la presse, c'est une non-information (on ne sait rien mais on s'autorise à penser ... ).

Bon, si les coulisses c'est le forum, ils ne sont pas allés chercher bien loin ... mais il y a probablement d'autres coulisses où l'on prépare ses cartouches en attendant le verdict définitif de vendredi.

Oui c'est curieux mais les dates sont la, moi aussi j'étais cette saison la présent aux matches, avec ce diable de diallo.

Pour en revenir à Gomez je pense qu'il donnera sa décision de partir rapidement peut être même dès vendredi soir (bruit de coulisse)