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Je pense que l'équipe de Metz est bien, à part Khaoui à gauche (il faut mettre Pelé en attendant le retour de Darbion qui jouera quoi qu'en on dise) et le problème principal c'est mettre quelqu'un plus près de Niané (ou tenter Suk) donc Khaoui en 10 je trouve ça une très bonne idée avec volonté de refaire le genre d'action qui a mené au but du 2-1 à Nice. Et giraudon avec Hérelle c'est pas mal en effet. On a vraiment une colonne vertébrale Samassa Hérelle Dingomé Grandsir et ?? Niané mieux accompagné

Après je pense que Niané a besoin de quelqu'un de très altruiste avec lui, j'ai donc quand meme quelques réserves avec Khaoui

turtle a écrit : ↑24 sept. 2017, 20:57 Excellent le temps additonel du CFC avec Grandsir qui n'a plus de voix a force de crier après la victoire et l'image ou ce même Grandsir se prend un grand pont et ou on entend Garcia gueuler son fameux "Aloiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis!" derrière

Je ne suis pas fou alors, à chaque fois que j'entends Garcia gueuler à la télé, j'avais l'impression que c'était toujours sur le pauvre Confais

Estac: défense d’entrer

À Metz, l’Estac a été secouée, mais n’a pas plié. Et a surtout fait le plein.

L’Estac n’a sans doute pas livré, samedi soir, sa production collective la plus emballante de la saison. Mais à un stade du championnat où l’Estac avait déjà besoin de points, déjà pour récupérer ceux perdus à la maison ces deux dernières semaines, être beau à voir n’était pas à l’ordre du jour.

Dans un contexte compliqué, et sur un match ô combien important pour les deux formations, l’idée était surtout de ne pas repartir bredouille de Saint-Symphorien. Philippe Hinschberger et les Messins ont tenu parole. « Il fallait mettre l’Estac sur le gril », avait annoncé l’entraîneur messin.

« Il faut encore que l’on franchisse un cap techniquement » Jean-Louis Garcia

Conséquence, le navire troyen a sérieusement tangué par moments, mais il a eu le mérite de ne pas sombrer. « On est dans la quête d’un maintien, donc il faut prendre des points. Compte tenu de la série qu’on venait de vivre, et face à un adversaire direct, c’est le résultat avant tout qui compte, abondait Jean-Louis Garcia après la rencontre. Malgré tout, je n’ai pas l’impression qu’on ait fait n’importe quoi tout le match. On a encore montré des choses cohérentes, notamment en termes d’organisation. »

Ce succès, l’Estac la doit à une solidité à toute épreuve, symbolisée évidemment par la partition sans fausse note jouée par Mamadou Samassa dans ses buts. Empruntés dans le jeu, les partenaires de Karim Azamoum ont eu très peu d’occasions de mettre Didillon à contribution. « Il faut encore que l’on franchisse un cap techniquement. Mais le contenu passait au second plan aujourd’hui (samedi). Cette équipe en nous battant, nous passait devant », savait Garcia.

Sans forcément briller, l’Estac a effectué la bonne opération comptable du soir. Et a une nouvelle fois fait respecter son statut d’équipe difficile à manœuvrer. Plusieurs fois, la défense troyenne aura été déséquilibrée par les flèches messines, Nguette en tête.

Mais elle aura tenu bon, avec des entrants qui se sont montrés à la hauteur de l’événement. Saîf-Eddine Khaoui, aligné côté droit, a eu quelques fulgurances balle au pied mais s’est surtout inscrit dans le projet collectif. « Tant qu’on a été à onze contre onze, on a vraiment bien défendu, appréciait l’entraîneur troyen. La charnière centrale, avec Jimmy Giraudon qui faisait son retour en défense centrale, a montré beaucoup de sérénité. Un garçon comme Aloïs Confais est rentré milieu de terrain, puis sur le côté, puis milieu droit... Ce sont des joueurs qui sont à la disposition de l’équipe, qui ne se posent pas de questions, qui sont généreux... »

Capitaliser à domicile

En retardant l’échéance face à la tempête, les Troyens se sont donné l’occasion de cueillir à froid des Lorrains qui doivent encore se demander, comment ils ont fait pour ne pas concrétiser leur domination, devenue presque suffocante pour les Aubois dans les vingt dernières minutes.

Le coaching de Jean-Louis Garcia aura alors apporté un écot salvateur. « Si on avait voulu ne faire que défendre, j’avais d’autres solutions que Bryan Pelé sur le banc, ajoutait Garcia. C’est ce qu’on appelle un match référence en termes de cœur, de générosité, de solidarité... Je suis très heureux pour mes joueurs. On a maintenant quelques jours pour récupérer et préparer la réception de Saint-Étienne. »

Avec six points décrochés loin du stade de l’Aube sur neuf possibles et une solidité qui n’est plus à démontrer, l’Estac doit désormais penser à capitaliser à domicile. Dès dimanche face aux Verts ?

Source : l'est eclair

Trois points très importants ont été ramené de Lorraine, aussi bien pour le plan comptable et pour le moral. Mais que cela fut difficile.

Ce serait vraiment bien de confimer par une victoire contre les verts, pour passer la nouvelle trève internationale au chaud.

Notre équipe a des lacunes et des points à améliorer, mais elle a de grosses ressources mentales qui peuvent être capitales dans la course au maintien.

Sinon vu qu'on y arrive pas domicile, on devrait demander a jouer a l extérieur tout le temps

Franchement, le rouge de deplagne n'est pas un mal je pense qu'il faut mettre Confais si bellugou est rétabli si on pas le choix Herelle à droite et Giraudon Vizca dans l'axe !

Deplagne était totalement dépassé encore une fois sur ce match , je suis pas fan de Cordoval , mais Deplagne on lui accorde pas mal de crédit ...il n'a pas fait un seul match aboutit encore !

CORDOVAL : 35 matchs l'an passé = 0 match abouti. A METZ une cata sur un quart d'heure.
DEPLAGNE : 3 bons matchs (à NICE et à BORDEAUX et contre TOULOUSE) sur 7 seulement, c'est vrai, mais laissons lui le temps.