[Fil rouge] L'ESTAC et le City Football Group

[Fab5210]

Cette année, les clubs doivent boucler leur budget sans savoir combien ils vont recevoir de droit tv.

Certains anticipent les problèmes et se serrent la ceinture tout de suite, l’argent reçu des droits tv cette année servira au budget de l annee prochaine (à condition que les droits tv dégagent des bénéfices)

[Matthew2]

Brest, j'ai dit ce que pensais de ce club de m... qui va retomber rapidement dans les oubliettes.

Club de ¤#*ù^ ?
Jalousie, jalousie. Un peu d’humilité te ferait pas de mal.

[estacplus]

Brest, j'ai dit ce que pensais de ce club de m... qui va retomber rapidement dans les oubliettes.

Club de ¤#*ù^ ?
Jalousie, jalousie. Un peu d’humilité te ferait pas de mal.

Carrément je comprend pas palex ce que tu peux reprocher a ce club ! Tu a vu les matchs de LDC qu'ils ont fait ? Voilà un club avec un président français sponsors locaux avec je trouve des valeurs a dimension humaines, dans le foot a notre époque c'est plutôt rares, moi franchement je trouve que ce club fait plaisir à voir et il me rappelle un peu nos épopée européenne avec nos petits moyen sous Perrin .
Bravo Brest j'espère qu'ils continuerons a embêter certain gros en L1 encore longtemps, pour moi c'est ça le foot !

[TontonManu]

Palex n’avait pas pris ses cachets je crois !
Je suis en phase avec estacplus, c’est un club qui travaille bien, sans grands moyens financiers, avec un soutien populaire qui fait envie.
Roy avait expliqué que sans les revenus de la LDC le club aurait pu disparaître, ils vont construire un nouveau stade, leur gestion me semble exemplaire. Contrairement à certains clubs ils savent qu’ils ne toucheront pas les 50 millions tous les ans donc ils ne les craquent pas en un été, moi je dis bravo !

[TontonManu]

Et le titre putaclic de l’article … j’ai vraiment du mal avec cette époque

[Vince_23]

Article est éclair :

Ce n’est pas le grand flou de l’été dernier, mais les ambitions de l’Estac sont difficiles à cerner à l’aube d’une saison 2025-2026 qui s’ouvre samedi soir au Stade de l’Aube contre Grenoble.

Il faut savoir se retourner et se souvenir qu’il y a un peu plus d’an, l’Estac ne devait sa présence en Ligue 2 qu’à la faveur d’un repêchage dû au déclassement administratif des Girondins de Bordeaux. Et que le 12 août 2024, Stéphane Dumont débarquait sur le gong comme nouvel entraîneur du club… quelques jours avant la reprise du championnat.


En 2025, il y a du mieux. À l’issue d’une deuxième partie de saison rassurante, l’Estac a bouclé l’exercice à la 10e place. Au mois de juin, Stéphane Dumont, l’homme du redressement, a été prolongé logiquement jusqu’en 2028.

De la continuité à la tête du club, pas dans l’effectif
La continuité est enfin de mise à la tête du club après des saisons de turbulences. Mais l’horizon n’est pas complètement dégagé en ce qui concerne l’effectif. On pourrait continuer de s’insurger contre les méthodes de City Football Group, mais, c’est une évidence, la Ligue 2 traverse une crise d’austérité et tout puissant qu’il est, le propriétaire du club s’adapte à ce contexte morose. En cette période incertaine, il assure déjà la pérennité financière du club troyen et cette tranquillité n’a pas de prix.


Pour amortir les millions d’euros engagés depuis qu’il a posé les pieds à Troyes, CFG a intensifié sa politique de trading dans l’Aube. Question de survie pour le club, Daniel Masoni vendait ses bijoux de famille dès qu’une opportunité se présentait. Désormais, CFG vend pour rentabiliser ses investissements, et tant qu’à faire, dégager des bénéfices. Cet été, en ajoutant la plus-value sur la revente de Mbeumo aux transferts de Saïd, Irié, Kanté et N’Diaye, le club a rentré plus de 30M€ dans les caisses. Et n’a dépensé qu’1 M€ pour acheter Ifnaoui et Mille.

Ce déséquilibre de la balance des ventes et des achats crispe les supporters troyens qui voient en l’Estac une machine à fric de CFG, un tremplin pour de jeunes joueurs en transit, trop rapidement transférés.

Toute l’attaque est à recomposer, mais le mercato n’est pas terminé. Les trois dernières semaines lèveront le voile sur les ambitions réelles des dirigeants pour cette équipe à laquelle Stéphane Dumont a su redonner une âme. Et ça, ça ne s’achète pas.

La stabilité d’en haut a permis d’installer Stéphane Dumont dans un An II qui aurait dû être celui de la continuité, mais qui ne l’est qu’à moitié. Pour que la flamme rejaillisse pour de bon, des individualités qui tirent vers le haut l’effectif du moment sont attendues. Les arrivées de joueurs expérimentés (Mille et de Maronnier) sont de bons signaux. Si le recrutement offensif va dans le même sens, l’Estac pourrait repointer le bout de son nez dans le premier tiers du classement de Ligue 2. Puisqu’il faut savoir se retourner, on n’oubliera pas de mentionner qu’avant de finir 10e la saison dernière, l’Estac a transpiré à grosses gouttes pour assurer son maintien.