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Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 17 janv. 2023, 14:19
par gayotremi
Je suis pour le moment content du mec qu'il a l'air d'être , le seul bémol , j'aurais aimé qu'il fasse venir un ou deux guerriers de ses anciennes équipes histoire d'insuffler la niaque au reste du groupe....
J'espère vraiment que les dirigeants travaillent au coulisse pour faire venir trois ou quatre joueurs minimum sur ce mercato hivernal
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 17 janv. 2023, 14:30
par turtle
Parce que tu crois que des mecs qui jouent en Australie ont le niveau pour jouer en L1?
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 17 janv. 2023, 14:45
par gayotremi
Edit Snoop
Avertissement N°1 ; il n'y en aura pas d'autre.
Merci
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 17 janv. 2023, 15:52
par turtle
Edit Snoop
Avertissement N°1 ; il n'y en aura pas d'autre.
Merci
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 17 janv. 2023, 17:03
par Dies Irae 10
Y a qq un qui l'article du jour sur l'EE. "l'Estac pour l'instant ca ne prends pas."
Merci.
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 20 janv. 2023, 08:11
par Elpinguin
L’Estac, pour l’instant ça ne prend pas
Tactiquement, l’Estac a été en grande difficulté lors des deux derniers matches : pas de bloc équipe, pas d’occasion en attaque placée, défense transpercée… Entre ce qui est demandé par Patrick Kisnorbo (agressivité, intensité, pressing) et ce que l’on voit, il y a un gouffre.
Par Alan MANGIN
L ’intensité demandée aux joueurs troyens est impressionnante. » « Ça court dans tous les sens, tout le temps et toujours en sprint. » « À la perte du ballon, le contre-pressing de quelques secondes est permanent, peu importe la zone du terrain. »
Voilà quelques extraits de notre compte-rendu du match amical contre Leicester (0-0) le 10 décembre dernier. C’était alors la première rencontre managée par Patrick Kisnorbo et l’attitude montrée par son équipe était prometteuse.
Des promesses loin d’être tenues
Plus d’un mois plus tard, ces promesses ont fait « pschitt ». Les premiers bons résultats, contre Nantes et Strasbourg, ont caché le fait que l’Estac a été globalement dominée. Des carences mises au grand jour contre Marseille et Lille.
Plus que la défaite face à ces cadors du championnat, c’est l’impression laissée qui est décevante : jamais l’Estac n’a été en capacité de rivaliser.
Encore plus frappant, le gouffre est énorme, pour l’instant, entre le projet « vendu » par Kisnorbo (intensité de tous les instants, pressing très haut, agressivité décuplée…) et la réalité du terrain. « (À Lille), on est passé au travers de notre pressing, admet Florian Tardieu. On les a trop laissés jouer. Le coach avait mis l’accent sur les pressings ; on n’a pas réussi à faire ce que l’on avait dit à l’entraînement. »
Les joueurs comprennent-ils les consignes ?
À de multiples reprises, au cours des derniers matches, on a vu Patrick Kisnorbo utiliser ses mains pour montrer à ses joueurs qu’il voulait un bloc plus compact. Sans réel effet sur le comportement de ses joueurs.
La barrière de la langue, pour les non-francophones, est-elle un obstacle à la compréhension des consignes tactiques de l’entraîneur ? On pense à cette scène, contre Marseille, durant laquelle Renaud Ripart et Patrick Kisnorbo échangent longuement durant un arrêt de jeu. « Renaud comprend l’anglais, donc c’est facile de lui passer des consignes », assure le coach australien, qui n’utilise pas d’interprète en cours de match, comme on le voit parfois avec des entraîneurs étrangers.
Globalement, ressent-il un manque de compréhension chez ses joueurs en raison de la langue? « Peut-être que parfois, c’est compliqué. C’est pour cela que je dois plus répéter. Je fais aussi des efforts pour parler mieux et plus vite le français.
De plus, on utilise beaucoup la vidéo pour répéter aux joueurs ce que l’on souhaite. On leur montre tout sur les écrans. » D’autre part, le bruit des stades, différent de l’Australie, l’empêche parfois de se faire entendre. « Non, je n’ai pas de difficulté avec cela. Je demande à joueur de faire passer un message à un autre. Et je donne beaucoup de consignes avant le match pour que ce soit plus facile pendant. »
Un manque d’agressivité flagrant
Un aveu d’échec suivi d’un autre dans la bouche du milieu troyen : « Dans le pressing, on était clairement entre deux. On a trop laissé jouer leur sentinelle (Benjamin André), qui était souvent seule. On avait pourtant travaillé ce point vendredi et samedi, mais on n’a pas réussi à le faire. »
Si passer à travers d’un match peut arriver (là, ça fait quand même déjà deux), il y a un domaine dans lequel l’Estac ne peut pas échapper, c’est l’agressivité. « Oui, en a manqué, dit Tardieu. Quand il fallait mettre le pied ou la tête, les Lillois le faisaient, pas nous. »
La combativité est pourtant une notion chère au guerrier Patrick Kisnorbo, qui perçoit chaque match comme un combat : « Pour moi, c’est naturel de se battre. On doit changer notre mentalité. » Une phrase forte de l’entraîneur, qui n’arrive pas encore à transmettre son « fighting spirit ». « En Australie, on a l’habitude de se battre lors de chaque match, même si c’est une top équipe en face. Je suis d’accord que l’on doit montrer davantage d’agressivité, je veux l’enseigner au groupe. Car face à des grands joueurs, sans cette agressivité, c’est compliqué. »
« Il faut au moins un an pour y arriver (à déployer le City game) »
Même réponse concernant l’intensité recherchée… mais que l’on ne voit pas. « Le pressing, l’intensité, c’est la manière dont je veux jouer. Depuis mon arrivée, il y a eu de grands changements, on travaille. Mais l’équipe doit le comprendre ; je veux l’aider en ce sens, pour gagner en intensité, et ne pas attendre. »
Car la passivité affichée par l’Estac ne ressemble pas du tout à la philosophie du City game et donc de Patrick Kisnorbo. D’où cette perpétuelle question : ce projet de jeu est-il applicable en Ligue 1, un championnat bien plus calculateur que la Premier League par exemple ?
Surtout, cet effectif en a-t-il les compétences ? « Il y a un paradoxe entre l’esthétisme demandé par le City group avec son City game et la situation qui amène à être plus efficace et prendre des points rapidement, a réagi Ludovic Obraniak, consultant pour Amazon lors de Lille-Estac. L’équilibre est très difficile à trouver entre beauté et efficacité. » « Je dirais qu’il faut au moins un an pour y arriver (à déployer le City game) », notait Kisnorbo sur Amazon.
L’Estac doit donc peut-être passer par ces difficultés pour arriver à son but. Sauf qu’entre-temps, il y a quand même un maintien à aller chercher.
Le mercato, une réelle solution ?
Après la rencontre, Patrick Kisnorbo a assuré, sur le plateau d’Amazon, que l’Estac avait « besoin de joueurs qui peuvent pratiquer ce type de jeu (le City game) ». Autrement dit, l’effectif actuel n’en a pas complètement les capacités. Face à ce constat, deux options : la première, modidier l’effectif en ce sens lors du mercato de janvier, dont on a déjà passé la mi-parcours. Mais cette période sert habituellement à ajuster et bonifier son équipe, pas à la chambouler. Et vu comme c’est parti, on imagine mal les dirigeants troyens amener cinq ou six joueurs dans l’effectif.
Deuxième option: adapter l’organisation à l’effectif en place. Beaucoup d’obervateurs s’accordent à dire que la carence principale de l’Estac se situe sur ses ailes offensives. Bruus n’apporte plus aucun centre, Larouci est actif mais pour quelle efficacité? Et Ripart et Odobert sont plus à l’aise dans une position axiale.
Alors pourquoi pas, par exemple, changer de schéma tactique, en passant au 4-4-2 avec un milieu en losange, qui ne requiert pas d’ailier? Cela permettrait d’associer deux attaquants (Baldé-Odobert ?) tout en conservant Rony Lopes en numéro 10, puisque le Portugais a aujourd’hui les clés du camion offensif troyen. Ce schéma permettrait aussi de lancer plus facilement Ripart et Ugbo, qui sont restés sur le banc à Lille.
Mercato, changement de système, projet de jeu... il reste des solutions à Patrick Kisnorbo, qui a quinze jours pour préparer son équipe. Ils ne seront pas de trop.
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 20 janv. 2023, 08:24
par snoopy45
Merci pour l'article.
Avec son article "un peu à charge", et son envie de changer de tactique, Il veut la place de coach le journaleux ?
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 20 janv. 2023, 10:37
par turtle
Même si d'habitude les journalistes sont des Batlles-dépressifls, la ils reprennent tout ce qui se dit ici.
Re: [Entraîneur] Patrick Kisnorbo >> juin 2025
Posté : 20 janv. 2023, 13:21
par Fab5210
Le city game a l estac et ou en L1 c est trop tot.
1, on a pas les joueurs pour
2, est ce que le city game est applicable au championnat rude et calculateur de L1. On sait pas.
Je ne sais pas si je me trompe, mais il me semble que seuls 2 clubs pro du CFG pratiquent le city game ( je ne parle pas des equipes de jeunes).
L estac a l ambition d etre le 3eme tres bien, mais patientons un peu. Si on redecend, cette année, on saura peut etre le faire en L2 l année prochaine, mais on se retrouvera de nouveau face à la realité en L1 si on remonte, resultat 3 à 4 ans mini de perdu pour l estac et le city group.
L estac est peut etre trop ambitieuse pour cette année, le CFG semble sous estimer le niveau de la L1 (tout le monde dit que le niveau L1 est tres mauvais, mais je pense que c est surtout un pb de mentalité quand on joue contre d autres equipes européenes qui jouent leur vie à chaque match)
Moi je prefere largement le city game au jeu de BI, mais il faut d abord se maintenir cette année, cela passera peut etre par betonner un peu. Par contre nos joueurs, c etaient vraiment zero en terme d agressivité, ça, il va falloir abslument qu ils s y mettent surtout en defense.
Who will tell that to PK and CFG ?
@Jermstroyes10 , je ne vois que toi, notre ami ambassadeur du forum à City Group.
Donc, de toi depend notre maintien cette année. Cette mission, tu dois l accepter. Que la force soit soit avec toi
humour, second degré et lol