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contre quelle équipe du top 10 ???????

et contre les équipes du dernier quart ????????

Ce que je vois surtout c'est que l on est à 5 points du 16e à 9 journée de la fin. Alors la possession , les stats, et toute cette ¤#*ù^ on s en fou.

Et on sera en ligue 2 , avec ou sans Auxerre , ça on s'en tape , nous on y sera , cela ne fait aucun doute ....

Le dernier espoir nous a quitté. A n’en pas douter nous sommes en Lige 2.
L’entreprise Magne, Vitali, mombaert , PK et compagnie patronné par City poursuit
Son travail de démolition . La question se posait il y a deux ans de savoir si l’Estac n’était pas l’objet d’un nouveau honteux traité de Troyes? Hélas cette fois-ci nous n’avons pas une nouvelle Jeanne d’Arc à moins que?

Estac : C’est la crise à tous les niveaux

La nouvelle défaite à Auxerre samedi a sérieusement hypothéqué les chances de maintien de l’Estac. Le dernier trimestre, sportivement catastrophique, a exacerbé la vindicte et l’incompréhension des Troyens à l’égard des choix sportifs et extrasportifs des dirigeants.
L’Estac n’a plus gagné à domicile depuis le mois d’août. Une éternité dans une saison dont la fin malheureuse semble de plus en plus inéluctable.
Par Alan Mangin
Publié: 2 avril 2023 à 19h56

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La crise de résultats

Même en le répétant, ça paraît toujours aussi dingue : l’Estac n’a plus gagné depuis treize rencontres. Encore plus fou : l’entraîneur Patrick Kisnorbo survit à cette catastrophique série, comme si de rien n’était. Il a glané sept points en quatorze matches de Ligue 1, soit deux fois moins que Bruno Irles en autant de matches cette saison.

Pourquoi cet immobilisme insensé, alors que le club a bougé les lignes quand ça n’allait pas si mal sur le plan des résultats ? Parce que le City football group estime (et Kisnorbo pense la même chose) que la mentalité et les méthodes de l’Australien trouveront leur sens la saison prochaine, notamment quand il aura sous sa main des joueurs à sa sauce.

Sauf qu’en attendant, l’Estac fonce vers la Ligue 2 les yeux fermés, et que ce discours long-termiste est inaudible à l’heure actuelle. On aurait envie d’entendre que la relégation est inenvisageable. En public, les dirigeants affirment que l’ambition est de se maintenir dans l’élite. Mais conserver Kisnorbo coûte que coûte est la preuve qu’ils ne mettent pas toutes les chances de leur côté pour y arriver. Cela donne le sentiment que descendre en L2 ne serait pas si grave, alors que ce serait vécu comme un énorme gâchis par tout l’environnement du club.

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La crise du projet

Le mot qui revient le plus souvent quand on évoque la situation actuelle de l’Estac, c’est justement « gâchis ». Car jamais le club troyen n’aura eu autant de moyens mis sur la table par son propriétaire. De l’argent a été injecté par City group dans les fondations (stade, formation, administration) et ce n’est pas fini puisque le centre d’entraînement attendu dans les années à venir devrait coûter autour de vingt millions d’euros. CFG a aussi déjà renfloué les caisses du club, pour compenser les déficits structurels.

La masse salariale de l’effectif a gonflé, avec des émoluments jamais connus à Troyes. Pourtant, on a l’impression que de l’argent a été jeté par les fenêtres : cinq millions pour Metinho, trois pour Ahmed Fatah, six et demis pour Savio, quelques autres pour Tibidi et la liste n’est pas exhaustive. Certes, la politique du trading implique des échecs et une seule réussite (Biancone vendu dix millions) permet de les compenser. Mais quand même, les erreurs de casting concernant les fameux « emerging talents » s’accumulent.

C’est là que se niche la crise du projet de l’Estac. Car City pensait racheter un club de Ligue 2 qu’ils allaient pouvoir faire grandir progressivement en y plaçant notamment des joueurs de 18-19 ans qui allaient prendre de la valeur en France. Sauf que la montée en Ligue 1 a rebattu les cartes, obligé l’actionnaire à réajuster sa ligne de conduite. Une relégation ferait revenir City à son projet originel, ce qui ne semble pas lui déplaire au vu de son immobilisme actuel.

Mais attention, la Ligue 2 n’est pas le championnat le plus facile pour lancer en masse des jeunes talents, de surcroît étrangers. Le propriétaire de l’Estac est-il conscient de tout cela ? On a le droit d’en douter.

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La crise d’identité

Rarement le fossé entre le club et ses supporters n’a semblé si important. Certes, les réseaux sociaux, qui n’étaient pas encore en vogue lors de la catastrophique saison 2015-2016, grossissent le trait. Mais globalement, les Troyens ne se reconnaissent plus dans la stratégie globale de l’Estac.

Là où les Aubois prônent l’authenticité, la simplicité et la combativité, il se dégage tout autre chose du comportement et des décisions prises à la tête du club et sur le terrain. En cela, le parallèle avec l’AJ Auxerre, qui a rempli l’Abbé-Deschamps pour la septième fois de la saison samedi, est frappant.

La conséquence, c’est que les résultats de l’Estac génèrent colère, indifférence et lassitude. Les supporters semblent résignés, épuisés, aussi parce que comme nous, ils ont l’impression que quoi qu’ils pensent et font savoir, leur message et leur courroux n’atteignent pas les personnes aux manettes du club, à Troyes ou à Manchester.

La rupture entre l’Estac et son environnement (dans lequel on peut aussi ajouter de nombreux sponsors et partenaires) est profonde, et on n’est même pas sûr qu’un maintien de plus en plus hypothétique puisse permettre de recoller les morceaux. La crise de nerfs est proche.

Bon, on oublie et on passe à la suite...

Electronic-cat a écrit : ↑01 avr. 2023, 20:29

TontonManu a écrit : ↑01 avr. 2023, 09:05 C'est vrai que Agoumé aurait dû dire "on est nuls, des tocards, l'abruti d'Australien qui nous sert de coach ne comprend rien au foot et de toute façon CFG n'en a rien à branler de ce club, ils claquent des millions d'euros pour le plaisir".
Et il aurait pu ajouter "et puis de toute manière quand on voit la mentalité d'une partie de notre public on ne va quand même pas se bouger le derche pour faire plaisir à ses peine-à-jouir", là au moins c'aurait été un vrai discours mobilisateur !!

Il est évident que le staff doit avoir un discours mobilisateur mais il est malheureusement pas réaliste avec la situation.

J’ai écouté la conférence de Pelissier du côté d’Auxerre. Le message était clair : lorsque je suis arrivé nous avions 6 points de retard sur Troyes et il serait inacceptable en vue du maintien de ne pas finir cette journée avec 5 points d’avance sur eux. Le maintien passe par là.

Cette approche est diamétralement difference de L’Estac. Mais le timing n’est pas le même entre les investisseurs Auxerrois qui ont besoin maintenant de la ligue 1 alors qu’elle semble moins indispensable pour Troyes a court terme.

Le discours d'un coach est différent e celui d'un joueur ; c'est juste normal.

Nitarm a écrit : ↑01 avr. 2023, 20:55

snoopy45 a écrit : ↑01 avr. 2023, 08:56

Nitarm a écrit : ↑31 mars 2023, 23:23 Selon Agoumé ce n'est pas l'une des dernières chances car il reste encore beaucoup de matchs après , je pense que les joueurs d'Angers doivent se dirent la meme chose il peuvent encore finir à 40 points en gagnant tous les matchs Quelle bande de tocards je serai quand meme curieux de voir le discours coté auxerrois qui doit etre bien différent, pour moi on va tout droit au purgatoire ,aucun esprit de révolte dans ce discours .....

Même si je partage une partie de ton raisonnement, il n'y a aucune raison pour que les joueurs se mettent une pression inutile.
Alors oui, ce discours est difficilement entendable pour nous, supporters, mais il est tellement logique.

Clairement ils ne se mettent aucune pression intitule , on en voit le résultat, Auxerre avait la pression, pas nous , notre équipe n'a aucune âme.

Après un match, on tire des conclusions plus facilement
Tu connais un seul joueur qui, en conf d'avant match, dit que c'est foutu ?