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romainpat94@free.fr a écrit : ↑25 juin 2024, 08:50Je ne parlais pas de Sibierski bien évidemment ..

Cela ne l'était pas pour moi, puisque les posts précédents parlaient de lui

snoopy45 a écrit : ↑26 juin 2024, 06:53

romainpat94@free.fr a écrit : ↑25 juin 2024, 08:50Je ne parlais pas de Sibierski bien évidemment ..

Cela ne l'était pas pour moi, puisque les posts précédents parlaient de lui

Oui je faisais echo aux posts précédents (j avais du retard dans le fil de discussion) et je répondais a un des membres ... Du coup effectivement c était confus ..mon message est renforcé par le fait que Sibierski a joué au haut niveau, exp de gestion en N1, parle anglais, connait le CFG et pas a un salaire anglais de siège ...

J'attends de voir le résultat de toutes ces manœuvres. Et ça ne sert plus à rien de parler de CV ou d'expérience. On s'est tellement fait mené en bateau par City et leur pépites de chocolat.

Quels pepites? Mombaerts, Kisborno ?

Alors que les joueurs de l’Estac sont attendus lundi au Stade de l’Aube pour les tests médicaux traditionnels de retour de vacances, un homme est déjà en train de travailler sur place. Antoine Sibierski, comme révélé dans nos colonnes en début de semaine, est sur le point de rejoindre l’organigramme sportif de l’Estac. Il devrait même être présent pour la reprise lundi.

Selon nos informations, l’ancien joueur de Lille, Nantes ou encore Manchester City va occuper le poste de directeur sportif. L’annonce de cette signature devrait survenir ces prochains jours. Sibierski a déjà endossé ce costume de «DS» au RC Lens, lors de la saison 2012-2013.

L’Estac tient son nouveau directeur sportif. Après avoir annoncé le départ de François Vitali mercredi dernier, le club troyen va officialiser, dans les heures ou jours qui viennent, l’arrivée de son successeur : Antoine Sibierski.

Coïncidence : comme Vitali, Sibierski (49 ans) est né à Lille. Et comme son prédécesseur, il a rejoint le LOSC, où il est resté treize années. Formé à l’OM Mons-en-Barœul, dans la banlieue lilloise, le jeune Sibierski rejoint le club phare à huit ans. Il remporte même la Coupe de France des poussins avec les Dogues en 1985. Fan du Polonais Zbigniew Boniek, passé par la Juventus Turin, le jeune Antoine Sibierski – d’origine polonaise – fait toutes ses classes au LOSC, où il signe pro en 1992.

La même année, il connaît sa première sélection avec les jeunes de l’équipe de France, en l’occurrence les moins de 19 ans. Il y côtoie Frédéric Danjou, que Sibierski retrouvera à Auxerre (1996-1998). « Oui, on a fait toutes les équipes de France jeunes ensemble, se souvient l’ancien défenseur de l’Estac. On s’est perdu de vue mais à l’époque, on était assez proches. Ce que je peux en dire ? C’est un bon mec, avec un fort caractère. Il a toujours eu ce tempérament, déjà chez les jeunes. C’est une personne simple, proche des gens, qui sait parler avec tout le monde. À Troyes, il ne prendra pas les gens de haut. »

Franc du collier
Franc du collier, Sibierski, aperçu ce mardi dans les tribunes des Internationaux de tennis de Troyes, peut paraître froid et distant à la première impression. « Il ne faut pas attendre de lui qu’il embrasse tout le monde de suite, reprend Fred Danjou. Avant de se confier, de se lâcher et de donner sa confiance, il prend le temps de connaître les gens. »

Une distance que confirme le journaliste nordiste Benoît Dequauviller, auteur de plusieurs ouvrages sur le RC Lens, qu’Antoine Sibierski a rejoint après ses passages à Auxerre et Nantes (1998-2000) : « Au premier abord, il peut être glaçant. Antoine, ce n’est pas un expansif, mais c’est un mec sincère, franc. Il lisait beaucoup la presse. Quand il n’aimait pas un commentaire, il le disait en face. Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas un béni-oui-oui. »

Une facette de sa personnalité qui sera importante à ce poste de directeur sportif de l’Estac. Entre les requêtes locales et les directives de City, Sibierski devra être l’homme des compromis, tout en sachant faire remonter ce dont a besoin (et surtout ce dont n’a pas besoin) le club troyen. « Il faudra voir quelle marge de manœuvre lui laisse Manchester, dit Danjou. Il est capable de taper du poing sur la table dans le vestiaire, ce qui est important à mes yeux au poste de directeur sportif. Il a le bon profil, même si j’attends aussi de voir quelles sont ses connexions. »

Antoine Sibierki a construit un réseau solide, depuis qu’il a stoppé sa carrière de joueur en 2009. Depuis Manchester, où la famille Sibierski se plaît (il a joué à Manchester City, Newcastle, Wigan et Norwich), il entame sa reconversion, d’abord en épaulant son frère Emmanuel, alors titulaire d’une licence d’agent de joueurs. En 2010, suite au décès de sa fille – alors âgée de 18 ans –, il prend un peu de recul avec le monde du football pour s’occuper pleinement de sa famille. En 2012, Sibierski revient au RC Lens, cette fois en tant que directeur sportif. Une expérience de courte durée (une saison en 2012-2013) puisque l’ancien milieu offensif (ou neuf et demi) a quitté Lens au moment où Gervais Martel est revenu aux manettes. Le temps, quand même, de se séparer de Jean-Louis Garcia, l’ancien coach de l’Estac, au bout de quelques semaines.

Sibierski repart alors dans le nord de l’Angleterre, à Manchester, où il vivait encore il y a peu. C’est là-bas que l’ancien joueur a travaillé à son compte en tant qu’agent (2015-2019), a passé l’UEFA Pro Licence (l’équivalent du DEPF en France), afin de devenir entraîneur.

Un intérêt pour la formation
C’est avec ce diplôme en poche que Sibierski a fait sa réapparition en France en février dernier, devenant l’adjoint d’Olivier Saragaglia à Châteauroux (National). « Quand il est arrivé, l’équipe a changé de système (du 3-4-3 au 3-5-2) et c’était plus efficace, remarque Jean-Marc Ruyet, journaliste à La Nouvelle République. Sibierski était très discret, ne voulait pas être mis en lumière. »

Mais à trois journées de la fin, l’adjoint a été mis sur le devant de la scène après l’éviction de Saragaglia (qui connaissait Sibierski depuis longtemps et qui n’aurait pas apprécié que ce dernier accepte de lui succéder sur le banc). « Il lui restait trois matchs pour sauver la patrie, poursuit notre confrère. Le premier, Châteauroux gagne 1-0, avec un but d’un joueur qu’il avait fait entrer. J’avais écrit que j’avais trouvé le changement tardif. Il m’a ensuite fait remarquer qu’il n’était pas d’accord. Il est ultra-précis, sûr de son fait. Au final, il a fait plutôt bonne impression à Châteauroux. D’ailleurs, d’après ce qu’on avait compris, il avait dans l’idée de percer dans ce métier d’entraîneur » À La Berrichonne, Sibierski s’est intéressé aux jeunes du centre de formation (dans les locaux duquel il dormait), en allant voir les matchs des U17, U19 et de la réserve. « Il a même fait des déplacements avec eux et a fait jouer des jeunes de la réserve lors du dernier match. »

Son intérêt pour les jeunes de la formation, ainsi que son expérience multicartes et ses connexions avec Manchester ont visiblement beaucoup plu au City group.

A nouveau merci Vince

Les starlettes de national vont devoir se bouger avec un DS a poigne ... Très bonne chose .. Flamby Vitali jamais responsable jamais coupable est bien parti ..

bienvenu a lui , espéreront juste qu'il ai sont mot a dire et qu'il soit écouté !