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Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 11:30
par Catalaunien
Montanier ou Moulin ça me va!

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 11:50
par Léo
De toute façon , il y a un délais légal pendant lequel l'ESTAC ne peut embaucher personne.
C'est à cela que sert la mise à pied à titre conservatoire, ce sera donc quelqu'un en interne au moins pour le prochain match.

Mais n'importe qui fera aussi bien

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 11:53
par palex
En interne, ça ne peut être que Mombaerts ou Diarra, ou les deux, s'ils s'entendent a minima, ce qui n'est pas très sûr.

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 12:00
par ALFRED
LE SEUL OBJECTIF cette saison :Rester en L2 , au final cela fera 18 mois de perdus dans le projet à 10 ans
et QUID de VITALI qui est en bout de course question recrutement?

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 12:51
par Tonton-Manu
S'il n'est pas encore sur la sellette je pense qu'il va devoir assurer lors des prochains mercatos. Autant je trouvais qu'il faisait du bon boulot en L1 avec notre image de relégable en puissance, autant le mercato de l'été dernier me laisse un peu dubitatif ...

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 13:02
par palex
Oui mais on ne sait pas quelle était la "commande" de PK...

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 13:24
par Spip
Tonton-Manu a écrit : 27 nov. 2023, 12:51 S'il n'est pas encore sur la sellette je pense qu'il va devoir assurer lors des prochains mercatos. Autant je trouvais qu'il faisait du bon boulot en L1 avec notre image de relégable en puissance, autant le mercato de l'été dernier me laisse un peu dubitatif ...
Après en L1, certes on avait cette étiquette d’équipe qui fait l’ascenseur mais on avait un coach qui tenait la route et le City Group pour attirer et faire briller les yeux de certains joueurs/agents. Et beaucoup de joueurs veulent évoluer en L1, même si c’est pour jouer le maintien.
En L2, c’est plus difficile d’attirer des joueurs et surtout, je pense que c’est la présence de PK qui a fait capoter pas mal les choses. Quand tu sais que le coach a gagné un seul match en une demie saison de L1, ça ne te donne pas envie de signer dans le club qu’il entraîne.

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 18:10
par palex
Le profil recherché selon l'EE : entraîneur français, connaissant la L2, acceptant les conditions de City, notamment en matière de recrutement et obligation de faire éclore des jeunes.
Dall'Oglio, Guion et Montanier ont ce profil mais City peut sortir une nouvelle surprise et là ça fait peur...

Re: [Fil rouge] Quel entraîneur pour la saison 2023-2024 ?

Posté : 27 nov. 2023, 18:11
par Vince_23
Voici l’articulée complet :

C’est la loi du football… et de la société en général. On zappe vite. Depuis des mois, Patrick Kisnorbo occupait toute l’actualité et les débats autour de l’Estac. On va vite passer à autre chose cette semaine, puisqu’il a été mis à pied à titre conservatoire dimanche (ainsi que ses quatre adjoints, lire notre édition de lundi).

Passer à autre chose, c’est chercher un nouvel entraîneur, même si dans les textes, il faut attendre que l’entraîneur soit débarqué pour nommer un successeur (lire ci-contre).

Pas un « pompier de service » pour six mois.

Dans les faits, les dirigeants du club s’activent à dénicher la perle rare, celle qui remplit tous les critères. Trois sont prioritaires: un entraîneur libre, français, qui connaît la Ligue 2. Ce premier filtre laisse encore beaucoup de candidats sur le marché (Laurey, Furlan…) et écarte les coaches étrangers (au moins un s’est déjà porté candidat ce lundi), à moins que City nous sorte encore une surprise de son chapeau.

Quel style de management va privilégier l’Estac ? A priori pas un «pompier de service», dont la mission serait de six mois afin de relever l’équipe immédiatement, mais sans vision sur le moyen terme. On peut donc retirer de la liste Pascal Dupraz ou Frédéric Antonetti.

Autre critère et pas des moindres: l’entraîneur doit être «City compatible », à la fois dans le discours (pas faire trop de vagues), dans le management (savoir accompagner des jeunes joueurs), au quotidien (être capable d’échanger avec les dirigeants mancuniens) et accepter, parfois, de «subir » des choix de recrutement.

Là, l’étau se resserre et on peut nommer, dans la short-list de l’Estac à ce jour, Philippe Montanier, Olivier Dall’Oglio ou encore David Guion. Les trois sortent du lot et cochent quasiment toutes les cases. Guion reste sur un double traumatisme à Bordeaux (la relégation et le début de championnat manqué) mais l’Estac avait déjà pensé à lui pour succéder à Laurent Batlles.

Montanier, qui a gagné la Coupe de France il y a un an et demi avec Toulouse, a baroudé et performé en Ligue 2 et a connu un actionnaire étranger au Téfécé. Dall’Oglio, lui, n’a jamais vécu cette situation à Dijon, Brest et Montpellier, mais lui connaît la maison Estac pour y avoir entraîné un groupe de joueurs placardisés en 2006-2007 quand il finissait de passer son BEPF. Dall’Oglio n’a pas coaché depuis un an (il a été débarqué du MHSC en octobre 2022) et arriverait avec une fraîcheur qui serait plus que bienvenue.

Dall’Oglio connaît Troyes, Montanier l’actionnariat étranger, Guion a déjà été pisté récemment.

Car le vestiaire troyen, même s’il est en partie soulagé depuis dimanche (certains se demandent s’ils auront toujours autant de temps jeu avec le futur coach), est au tapis. Le management de Kisnorbo a été usant (toujours les mêmes causeries, à moitié comprises, des semaines d’entraînement rituelles, sans surprise…), des joueurs ont été placardisés sans raison apparente (Cervantes jamais convoqué, Olaitan ne rentrait même plus en cours de jeu…), l’infirmerie se remplit (l’incohérence de l’intensité des entraînements peut l’expliquer), des cadres en puissance ont été déconsidérés (Tahrat, M’Changama), des jeunes sont épuisés (Dong). Et, par-dessus tout, l’Estac est relégable, avec un calendrier très délicat avant la trêve (Bordeaux, Amiens, Angers, et Pau) et un effectif sans numéro 9 disponible et sans latéral droit de métier (des carences que le mercato d’hiver devrait combler).

La liste est longue et pourrait d’ailleurs effrayer les entraîneurs ciblés par l’Estac. Mais l’attrait de sauver un club historique de Ligue 2, malgré tout bien structuré en interne et avec un environnement paisible (même si Bruno Irles et Patrick Kisnorbo diront peut-être le contraire) peuvent quand même faire envie à des coaches ayant l’envie (et la compétence, s’il vous plaît…) de rebondir. On attend donc un ticket gagnant-gagnant.