Re: Obbadi...
Posté : 23 févr. 2011, 17:45
Mounir Obbadi aime l'Estac !!
Mounir Obbadi reste à Troyes
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Avec ou sans lui, l’Estac n’a pas tout à fait le même visage. Véritable meneur de jeu, passeur décisif régulier, Mounir Obbadi, arrivé au club troyen depuis 2006, est, cette saison, le dépositaire du jeu troyen. A 27 ans, le Franco-Marocain arrivait en fin de contrat avec l’Estac à l’issue de la saison. Le Président Masoni et Jean-Marc Furlan ont souhaité qu’il reste au club et lui ont fait savoir. Une démarche très appréciée par Mounir qui a choisi la stabilité et qui prolonge avec l’Estac jusqu’en juin 2014.
Mounir, ça y’est, c’est officiel ?
Oui. Je viens de signer 3 ans (juin 2014). Je suis très heureux de rester à l’Estac. Je dois beaucoup à ce club. Je me souviens encore avoir signé mon contrat avec Troyes avec une jambe cassée. C’était il y a 5 ans. En 2005-2006, avec Angers face à Evian, j’ai pris un tacle par derrière et je me suis cassé le péroné. Derrière, l’Estac a tenu ses engagements. Je n’ai pas eu la chance d’être opérationnel tout de suite. En stage avec Jean-Marc Furlan, à cause de ma blessure, je n’ai pas pu lui démontrer mes qualités. Je ne me sentais pas très bien car je voulais vraiment lui prouver que j’étais capable de jouer. Mais je n’avais pas les moyens de le faire. Du coup plutôt que de jouer avec la réserve de l’Estac, je suis reparti jouer avec Angers en National (prêt). C’était le bon choix parce que ça m’a permis d’avoir beaucoup de temps de jeu. Aujourd’hui, le coach et moi nous entendons très bien. On se comprend bien. C’est un coach qui aime beaucoup le football et c’est une passion que nous partageons. On me reproche parfois de trop en parler. Mais je ne pense qu’à ça.
Avec Jean-Marc Furlan, vos rapports semblent avoir vraiment évolué …
J’ai le sentiment d’avoir fait changer le coach d’avis sur mon compte. Je lui ai démontré mes qualités. Aujourd’hui nous avons un vrai rapport de confiance. J’ai rattrapé ma frustration de l’époque. Le coach ne me veut que du bien. Il veut ma progression. A chaque match, il me donne des bons conseils. Le style de jeu qu’il veut pour l’équipe me convient parfaitement. Le coach a finit de me convaincre de rester au club. Je lui dois beaucoup et on sent que c’est un entraîneur qui veut beaucoup de bien à ses joueurs.
On sent que c’est l’un des paramètres importants qui ont conduit votre choix de poursuivre à l’Estac…
Il y a deux choses qui m’ont vraiment décidé.
1/ Je m’entends vraiment bien avec le Président et le coach qui m’ont fait savoir qu’ils voulaient me garder
2/ Je sens que ce club grandit en conservant des valeurs que je partage. Je connais bien les joueurs, je connais parfaitement les administratifs. Je me sens vraiment en confiance. Et je donne le meilleur de moi-même lorsque j’évolue dans ces conditions.
Le club progresse dans tous les domaines. Il y a un vrai projet qui commence à se dessiner. Les structures de travail sont au niveau de la Ligue 1. Tout cela me fait dire que le club va dans le bon sens. Je sens qu’à L’Estac tout le monde est à sa place et que ça avance. Je me sens très bien dans ce club et dans cette ville. Ma petite famille aussi et cela compte.
Source: estac.fr
Mounir Obbadi reste à Troyes
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Avec ou sans lui, l’Estac n’a pas tout à fait le même visage. Véritable meneur de jeu, passeur décisif régulier, Mounir Obbadi, arrivé au club troyen depuis 2006, est, cette saison, le dépositaire du jeu troyen. A 27 ans, le Franco-Marocain arrivait en fin de contrat avec l’Estac à l’issue de la saison. Le Président Masoni et Jean-Marc Furlan ont souhaité qu’il reste au club et lui ont fait savoir. Une démarche très appréciée par Mounir qui a choisi la stabilité et qui prolonge avec l’Estac jusqu’en juin 2014.
Mounir, ça y’est, c’est officiel ?
Oui. Je viens de signer 3 ans (juin 2014). Je suis très heureux de rester à l’Estac. Je dois beaucoup à ce club. Je me souviens encore avoir signé mon contrat avec Troyes avec une jambe cassée. C’était il y a 5 ans. En 2005-2006, avec Angers face à Evian, j’ai pris un tacle par derrière et je me suis cassé le péroné. Derrière, l’Estac a tenu ses engagements. Je n’ai pas eu la chance d’être opérationnel tout de suite. En stage avec Jean-Marc Furlan, à cause de ma blessure, je n’ai pas pu lui démontrer mes qualités. Je ne me sentais pas très bien car je voulais vraiment lui prouver que j’étais capable de jouer. Mais je n’avais pas les moyens de le faire. Du coup plutôt que de jouer avec la réserve de l’Estac, je suis reparti jouer avec Angers en National (prêt). C’était le bon choix parce que ça m’a permis d’avoir beaucoup de temps de jeu. Aujourd’hui, le coach et moi nous entendons très bien. On se comprend bien. C’est un coach qui aime beaucoup le football et c’est une passion que nous partageons. On me reproche parfois de trop en parler. Mais je ne pense qu’à ça.
Avec Jean-Marc Furlan, vos rapports semblent avoir vraiment évolué …
J’ai le sentiment d’avoir fait changer le coach d’avis sur mon compte. Je lui ai démontré mes qualités. Aujourd’hui nous avons un vrai rapport de confiance. J’ai rattrapé ma frustration de l’époque. Le coach ne me veut que du bien. Il veut ma progression. A chaque match, il me donne des bons conseils. Le style de jeu qu’il veut pour l’équipe me convient parfaitement. Le coach a finit de me convaincre de rester au club. Je lui dois beaucoup et on sent que c’est un entraîneur qui veut beaucoup de bien à ses joueurs.
On sent que c’est l’un des paramètres importants qui ont conduit votre choix de poursuivre à l’Estac…
Il y a deux choses qui m’ont vraiment décidé.
1/ Je m’entends vraiment bien avec le Président et le coach qui m’ont fait savoir qu’ils voulaient me garder
2/ Je sens que ce club grandit en conservant des valeurs que je partage. Je connais bien les joueurs, je connais parfaitement les administratifs. Je me sens vraiment en confiance. Et je donne le meilleur de moi-même lorsque j’évolue dans ces conditions.
Le club progresse dans tous les domaines. Il y a un vrai projet qui commence à se dessiner. Les structures de travail sont au niveau de la Ligue 1. Tout cela me fait dire que le club va dans le bon sens. Je sens qu’à L’Estac tout le monde est à sa place et que ça avance. Je me sens très bien dans ce club et dans cette ville. Ma petite famille aussi et cela compte.
Source: estac.fr