Patrick Kisnorbo [Entraîneur] (novembre 2022 - novembre 2023)

[KamikazeGaulois]

https://twitter.com/alanmangin10/status ... 6246122698

Il n'était pas présent au match, a fait 3 tests PCR parce que c'est tellement sur et efficace que la potion de Pfizer...il n'a pas le rhume-19.
Je penche plus sur la chiasse mexicaine.

[Vince_23]

[

Éclectique ce PK !

[Bonti]

Quand cette chiasse n'est pas sur le banc on gagne. Vivement que CFG tire la chasse d'eau.

[Catalaunien]

C'est vrai qu'il est chat noir!

[palex]

Pas bon et pas de pot...

[Vince_23]

L’est eclair a eu un faible pour l’assistant devenu entraîneur principal d’un soir.
Et cerise sur le gâteau, il s’est exprimé en parti en français lors de la conférence de presse.

Je vous laisse lire l’article :
Il était la curiosité de la soirée, samedi, lors du match Estac-Caen. John Maisano a remplacé au pied levé Patrick Kisnorbo, malade. Avec réussite, puisque les Troyens l’ont emporté 2-1. Un succès que l’entraîneur adjoint, arrivé cet été, a immédiatement dédié à l’entraîneur principal. « Je voulais gagner pour Patrick et pour l’équipe. »

Le public du Stade de l’Aube a pu voir, dans la zone technique, un entraîneur moins interventionniste et plus calme que Kisnorbo. Il faut dire que sa voix et son gabarit en imposent moins. « Parmi le staff australien, John est celui qui est le plus réservé, nous dit une source au club. Il est aussi moins impulsif. Il a toujours un mot sympa, que ce soit pour les joueurs ou pour les administratifs ; on sent qu’il veut que tout le monde se sente bien. »

Vu de l’extérieur, John Maisano paraît en effet plus tranquille que Patrick Kisnorbo et Ralph Napoli. « John a plus d’expérience, c’est peut-être pour ça qu’il paraît plus relax », nous disait « PK » en août dernier, quelques semaines après l’arrivée de son adjoint, en provenance de Melbourne, où Maisano a entraîné l’équipe réserve avant de devenir entraîneur adjoint, quand Kisnorbo est parti pour Troyes.

« John est plus réservé, moins impulsif. »
Cette tranquillité a-t-elle eu un impact positif sur les joueurs ? « C’est possible, il faudrait leur demander, nous répond un membre de la délégation troyenne. Durant la semaine, il est vrai que John est moins frontal, plus posé. Mais en général, le jour du match, il est aussi nerveux. Car le staff se met une grosse pression pour réussir. »

Samedi, dans la peau de l’entraîneur principal, Maisano a su contenir sa nervosité. « Il a été très bon à la mi-temps », dévoile une source qui était alors dans le vestiaire.

Depuis quelques matches, le staff essaie d’amener de la sérénité au sein du groupe, invaincu depuis quatre rencontres (trois nuls et une victoire). « John a un discours en ce sens, il est apprécié des joueurs », ajoute notre interlocuteur.

Recruté suite au départ de Peter Van de Ven, John Maisano (44 ans) est notamment en charge des coups de pied arrêtés offensifs et du développement des jeunes du groupe professionnel (qui ont des séances de travail supplémentaires ou plus longues).

Pourtant, il y a encore quelques années, l’ancien attaquant ne voulait plus entendre parler de football. Joueur très prometteur – il a été l’un des rares Australiens à s’exporter dans un championnat majeur, en l’occurrence en Italie et à l’Atalanta durant l’âge d’or du championnat italien, à la fin des années 90 –, Maisano n’a jamais réellement percé, s’enfonçant même dans des problèmes psychologiques.

Dans un entretien publié sur le site australien Keepup en juin dernier, au moment de son départ pour l’Estac, l’ancien international U17 et U20, de la même génération qu’Harry Kewell (la star australienne des années 90), s’expliquait : « J’ai pris ma retraite quand j’avais 29 ans, en Écosse, à cause de problèmes de santé mentale. Je n’étais pas satisfait de ma carrière parce que je m’étais fixé des objectifs beaucoup plus élevés.(…) Je n’avais pas les outils mentaux pour faire face à la situation. Plutôt que de m’attaquer à des problèmes, j’ai blâmé le jeu et je suis parti. (…) Je n’avais pas la capacité mentale de rester patient, de travailler dur et d’attendre l’occasion. (…) Plus tard, le regret des occasions manquées m’a rongé. Ensuite, vous voyez vos amis à des niveaux que vous devriez atteindre – ce n’était pas une jalousie, c’était à propos de moi. »

« Je n’avais pas les outils mentaux pour faire face à la situation. J’ai blâmé le jeu et je suis parti. »
John Maisano a notamment été marqué par sa non-convocation avec la sélection qui allait jouer à domicile les Jeux de Sydney en 2000, alors qu’il était un membre régulier de l’équipe comprenant notamment le buteur Mark Viduka.

Après avoir rangé ses crampons prématurément, l’Australien a pris ses distances avec le ballon rond. « J’ai poursuivi une carrière de conditionnement physique après le football. J’ai commencé comme physiothérapeute, j’ai géré des gymnases, puis j’ai ouvert mon propre gymnase. Cela m’a appris que j’étais ambitieux. Je pensais que je ne voulais rien avoir à faire avec le football. »

Mais la passion a repris le dessus lorsque son ami Harry Bingham l’a contacté pour signer son premier contrat d’entraîneur, au FC Bulleen Lions, dans la banlieue de Melbourne. Maisano y passe quatre saisons (2016-2021) avant de rejoindre l’académie de Melbourne City et, donc, l’Estac cet été afin d’assister Patrick Kisnorbo. « Paddy (le surnom de Kisnorbo) est plus que capable de faire le travail au plus haut niveau, assure Maisano dans cet entretien pour Keepup. City Football Group l’a envoyé là-bas pour faire un travail et transformer Troyes en un club modèle CFG. Ils veulent que nous reproduisions ce que nous avons fait à Melbourne City. Il s’agit du style de football, du modèle et de la création d’un produit durable. La promotion est finalement l’objectif, mais elle doit être durable, nous devons donc éviter de monter et de descendre. »

En une rencontre, John Maisano a déjà conduit l’Estac hors de la zone de relégation.

[Kevin-10]

Le mec gagne un match de chatteux en faisant passer les consignes de Kisnorbo et directement il est décrit comme un cador terrible la culture de l'instant.

[Benji213]

Vivement la prolongation de contrat!
Pep Kisnorbo 2028
La machine est lancé!
Non je deconne…vivement qu’il dégage.
J’en était déçu de la victoire… je veux bien participer à la cagnotte pour payer le billet vers l’Australie

[Gigis10]

Le mec gagne un match de chatteux en faisant passer les consignes de Kisnorbo et directement il est décrit comme un cador terrible la culture de l'instant.

C'est clair ! On aurait pas eu une équipe qui surf sur la même vague que nous , vu la fin de match , jamais on le gagne