François Vitali [Directeur Sportif] (2020 - 2024)

[Paco81]

Il vient s’exprimer devant la presse, pas de politique de l’autruche.
J’aime bien Vitali, je pense que l’on a un excellent directeur sportif.
Après on ne sait pas à quel point il y a le feu…..
D’après l’intro de l’interview, les joueurs ont demandé une entrevue avec le coach….

Donc c’est signe, à minima d’incompréhension voir d’un malaise……
Qu’est ce qu’il en ressortira ?
Une union sacrée ou un groupe désabusé ?

[jason]

De toute façon irles a été impose par monbarts et on a liquide notre bon entraîneur . Depuis l arrivé de ce nouveau coach il n y a plus de fond de jeu .... Les joueurs sont positionnés n importe où .....nous ne sommes pas loin de l abîmé et je pense que les vrais responsables outre que les joueurs ..c est ceux qui ont liquide notre ancien entraîneur et je pense que monsieur Vitali y est pour quelque chose .

[FRAN10]

Cet article est intéressant. On comprend qu'Irles a été choisi pour obtenir plus de résultats que Battles, l'important est de prendre des points, peut importe la manière. Ce qui était reproché à Battles, c'est un manque de résultat et le jeu de l'équipe pas assez efficace. Ce qui n'est pas passé, ce sont les défaites contre St Etienne et Bordeaux et la manière dont elles ont eu lieu. Si Irles ne prend pas suffisamment de points, le choix qui a été fait de le prendre apparaît comme un échec.
Le fait qu'un directeur sportif soit obligé de prendre la parole pour défendre l'entraineur arrivé récemment n'est pas courant. Cela montre que malgré le fait qu'Irles donne l'impression qu'il est sur de lui, qu'il sait ce qu'il fait, il est en réalité dépassé par les évènements et il lui faut le renfort de sa hiérarchie, ce qui est une arme à double tranchant car cela montre au grand jour qu'il ne peut pas y arriver tout seul, après si peu de temps de présence.
On apprend officiellement ce qui était une évidence , qu'il y a un un problème de vestiaire, une défiance vis à vis de l'entraineur, une contestation de sa méthode, de sa façon d'agir, un risque d'implosion de l'équipe.
Vitali ce qui est normal soutient en public l'entraineur que le club a choisi et demande aux joueurs de le suivre. En privé c'est sur qu'Irles a été recadré.
Si Irles échouait se serait l'échec de la direction du club et l'échec de l'ESTAC, ce que personne ne peut souhaiter, même si Irlès ne fait pas bonne impression. Le club passe avant tout.
Les choses sont claires. Irlès doit obtenir des résultats très rapidement, dés le match contre Rennes. Les point pris lui permettraient de continuer à diriger l'équipe, l'absence de points scellerait son sort. Il ne resterait plus que le dernier recours en la personne de Claude Robin.
Souhaitons lui de se remettre en question et de réussir, car sa réussite sera celle de l'ESTAC.

[Nitarm]

Cet article est intéressant. On comprend qu'Irles a été choisi pour obtenir plus de résultats que Battles, l'important est de prendre des points, peut importe la manière. Ce qui était reproché à Battles, c'est un manque de résultat et le jeu de l'équipe pas assez efficace. Ce qui n'est pas passé, ce sont les défaites contre St Etienne et Bordeaux et la manière dont elles ont eu lieu. Si Irles ne prend pas suffisamment de points, le choix qui a été fait de le prendre apparaît comme un échec.
Le fait qu'un directeur sportif soit obligé de prendre la parole pour défendre l'entraineur arrivé récemment n'est pas courant. Cela montre que malgré le fait qu'Irles donne l'impression qu'il est sur de lui, qu'il sait ce qu'il fait, il est en réalité dépassé par les évènements et il lui faut le renfort de sa hiérarchie, ce qui est une arme à double tranchant car cela montre au grand jour qu'il ne peut pas y arriver tout seul, après si peu de temps de présence.
On apprend officiellement ce qui était une évidence , qu'il y a un un problème de vestiaire, une défiance vis à vis de l'entraineur, une contestation de sa méthode, de sa façon d'agir, un risque d'implosion de l'équipe.
Vitali ce qui est normal soutient en public l'entraineur que le club a choisi et demande aux joueurs de le suivre. En privé c'est sur qu'Irles a été recadré.
Si Irles échouait se serait l'échec de la direction du club et l'échec de l'ESTAC, ce que personne ne peut souhaiter, même si Irlès ne fait pas bonne impression. Le club passe avant tout.
Les choses sont claires. Irlès doit obtenir des résultats très rapidement, dés le match contre Rennes. Les point pris lui permettraient de continuer à diriger l'équipe, l'absence de points scellerait son sort. Il ne resterait plus que le dernier recours en la personne de Claude Robin.
Souhaitons lui de se remettre en question et de réussir, car sa réussite sera celle de l'ESTAC.

100 % d'accord avec cette analyse

[Tristanestac]

Moi je trouve au contraire cet article inintéressant, plein de langue de bois qui ne sert que de tribune au directeur sportif pour soutenir l’entraîneur qu’il a très certainement en grande partie choisi. Le fait que les défaites contre Bordeaux et Saint Étienne ont été les gouttes d’eau qui ont fait déborder le vase pour LB ce n’est pas nouveau, mais on a toujours pas le véritable fond du problème, qu’ils n’assument pas de dire au public.

J’ai envie de dire à Vitali et au CFG débrouillez vous, vous avez voulu choisir un entraîneur totalement inexpérimenté au haut niveau (Pau et Quevilly…), il faut assumer maintenant. Je reste persuadé que ce n’était pas du tout une bonne idée, encore moins en plein milieu de saison, sachant qu’il y avait beaucoup mieux.

[jcrego]

Cet article est intéressant. On comprend qu'Irles a été choisi pour obtenir plus de résultats que Battles, l'important est de prendre des points, peut importe la manière. Ce qui était reproché à Battles, c'est un manque de résultat et le jeu de l'équipe pas assez efficace. Ce qui n'est pas passé, ce sont les défaites contre St Etienne et Bordeaux et la manière dont elles ont eu lieu. Si Irles ne prend pas suffisamment de points, le choix qui a été fait de le prendre apparaît comme un échec.
Le fait qu'un directeur sportif soit obligé de prendre la parole pour défendre l'entraineur arrivé récemment n'est pas courant. Cela montre que malgré le fait qu'Irles donne l'impression qu'il est sur de lui, qu'il sait ce qu'il fait, il est en réalité dépassé par les évènements et il lui faut le renfort de sa hiérarchie, ce qui est une arme à double tranchant car cela montre au grand jour qu'il ne peut pas y arriver tout seul, après si peu de temps de présence.
On apprend officiellement ce qui était une évidence , qu'il y a un un problème de vestiaire, une défiance vis à vis de l'entraineur, une contestation de sa méthode, de sa façon d'agir, un risque d'implosion de l'équipe.
Vitali ce qui est normal soutient en public l'entraineur que le club a choisi et demande aux joueurs de le suivre. En privé c'est sur qu'Irles a été recadré.
Si Irles échouait se serait l'échec de la direction du club et l'échec de l'ESTAC, ce que personne ne peut souhaiter, même si Irlès ne fait pas bonne impression. Le club passe avant tout.
Les choses sont claires. Irlès doit obtenir des résultats très rapidement, dés le match contre Rennes. Les point pris lui permettraient de continuer à diriger l'équipe, l'absence de points scellerait son sort. Il ne resterait plus que le dernier recours en la personne de Claude Robin.
Souhaitons lui de se remettre en question et de réussir, car sa réussite sera celle de l'ESTAC.

Merci pour cette analyse, tu as l’air bien informé sur la suite en cas de réel blocage.
C’est normal que Vitali défende ses choix, ceux de sa direction et encore une fois c’est inutile de tirer sur l’ambulance. Nous verrons ce qu’il ressortira de cette semaine ou non.
Mais je trouve son analyse simplificatrice. Dire par exemple, en caricaturant l’animation d’avant : « le redoublement de passes c’est joli mais c’est vain », je ne suis pas d’accord. C’est bien parce que Brest faisait ça parfaitement qu’ils ont étiré nos lignes, créant des espaces faciles à exploiter pour des joueurs adroits comme Honorat ou Belaïli (oh tiens deux profils d’ailiers qu’on n’a pas…). Donc on a essayé de jouer, mais hyper naïvement, le collectif rodé des brestois n’a eu qu’à faire sauter nos lignes mal définies. Par ailleurs je tiens à souligner qu’au match aller contre Metz, on gagne en étant pas spécialement beau mais très efficace, complètement l’inverse du pseudo « romantisme » qu’on attribue à Batlles. C’est des idées toutes faites et des créations de journalistes ça…
Donc je trouve que son analyse dit des choses mais c’est un peu limité. C’est pas du tout facile pour Irles pour qui j’ai de la compassion (la shitstorm permanente c’est horrible, même si c’est une tête de &$#). Le problème c’est qu’on a l’impression que soit il fait une « messine », une équipe sans âme, sans plan, sans occases, et on sombre doucement. Soit il essaye de jouer mais malheureusement il n’a pas la connaissance suffisante de l’effectif, le temps qu’il faut pour le mettre en place, et probablement, désolé de le dire, les compétences qu’avait Batlles au niveau des idées de jeu (c’était un entraîneur assez innovant il était reconnu pour ça dans le métier et il aura un bon club en juin). Donc c’est pas pour accabler Irles car dans le contexte qui est le sien peu pourraient faire mieux. Enfin si : quelqu’un qui a une légitimité professionnelle (genre Guion,…) et qui ne débarque pas en étant plus que maladroit avec son sourire colgate et ses lunettes fake de pseudo intello. Ça s’est mal goupillé mais il n’est pas trop tard pour rectifier. Et si ça le fait pas, Robin sera très bien.

[Elpinguin]

Autant je suis d'accord sur ne pas tirer sur l'ambulance quoiqu'on pense de BI, autant l'innovation à la LB je ne comprends pas. C'est quoi ses innovations? PAssage à 3 lors d'un match? Et ensuite?
Et sans parler de LB, BI n'a juste pas encore eu assez de temps pour qu'on puisse juger BI sur ce point.
Ce qui reste sûr, c'est qu'un départ d'entraineur non prévisible ça déstabilise beaucoup plus que si on le sentait venir. Donc remobilisation générale de l'équipe et du staff pour repartir de l'avant!

[Electronic-cat]

On mentionne toujours que les matchs de St-Etienne et Bordeaux ont été le détonateur du départ de LB. Ajoutons aussi l’élimination volontaire en CDF pour permettre à LB de prouver que le banc troyen et les jeunes n’avaient pas le niveau. Entre nous, c’était inacceptable.

[Paco81]

On mentionne toujours que les matchs de St-Etienne et Bordeaux ont été le détonateur du départ de LB. Ajoutons aussi l’élimination volontaire en CDF pour permettre à LB de prouver que le banc troyen et les jeunes n’avaient pas le niveau. Entre nous, c’était inacceptable.

+ 1
De toute façons, le ver était dans le fruit, bien avant le début du championnat…..

Et pour ceux qui demandent, légitimement, des explications sur le départ de Battles, aucune des parties ne peut parler durant un certain temps.
Ça a été négocié lors du départ.
J’en veux pour preuve, récemment, Battles était invité un samedi sur RMC à analyser les matchs de championnat.
Il lui a été demander d’évoquer les raisons de son départ.
Il a répondu : «  Je ne peux pas pour le moment mais plus tard, on en reparlera. ». Le journaliste a évoqué le côté contractuel et n’a pas insisté.
Donc City comme Battles se garde bien de parler. Ce qui est dommage.