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turtle a écrit : ↑20 déc. 2017, 10:28

Merci pour l'article.

Je ne sais pas trop quoi penser de la société MD advisors?????

Je sais pas j'ai l'impression que les mecs qui veulent racheter l'Estac c'est toujours des mecs louches aux fonds douteux à croire que Masoni a une tête de pigeon.

merci pour l'article, ça pue le truc hyper louche.... j'espère que ça va capoter

MD advisors = Masoni Daniel ?
En tout cas ça pue ce truc ça ressemble à Lille.

Oui je suis d'accord que c'est très louche. On ne sait même pas où se trouve MD advisors. Au Panama? Peut-être?

DM ne vent pas s'il te plait. Je n'ai pas envi de voir l'équipe arracher le maintien sportivement et se faire retrograder par la DNCG dans 6 mois avec un président crapuleux au commande.

Il y aurait mieux fallu vendre au Suisse même si il proposait moins d'argent. Il semble plus clair.

Business is business

Comme on dit, on sait ce qu'on perd mais on ignore ce qu'on gagne.

La preuve si on avait vendu à Gary Allen :

" Les drôles de méthodes de Gary Allen : voilà ce à quoi l’Estac a échappé...

L’Américain Gary Allen, qui fut tout près de racheter l’Estac, a repris le FC Mulhouse il y a un an. Et si le club du Haut-Rhin a bien changé, ce n’est pas vraiment dans le bon sens.
zen

Le FC Mulhouse se déplace mercredi après-midi à Troyes pour y affronter la réserve de l’Estac sur le complexe Henri-Terré en match en retard de la 10e journée. Mulhouse, relégué de CFA en CFA2 la saison dernière malgré le rachat du club en décembre 2016 par l’Américain Gary Allen, était programmé pour remonter aussi vite. Mais, dans le Haut-Rhin, tout ne se passe pas vraiment comme dans un conte de fées. Le club, 5e du championnat de N3 (avec neuf points de retard sur le leader Nancy et deux matches en moins), qui reste sur trois défaites, n’est plus aussi sûr de son fait.
On allait pourtant voir ce qu’on allait voir. Cet été, les nouveaux dirigeants parlaient déjà d’objectif Ligue 1. Rien que ça !
Les six premiers mois de l’année auraient pourtant dû les inviter à davantage de prudence. L’entraîneur Franck Priou, débarqué téléphoniquement, avait été remplacé par l’expérimenté Noël Tosi pour éviter la relégation en CFA2. Quelques mois plus tard, premier constat d’échec, l’entraîneur était à son tour débarqué.
Depuis cet épisode, Gary Allen, le président, très investi dans ses fonctions (il a même acheté une maison à Mulhouse qu’il habite en permanence), a posé son empreinte sur le club. Éric Descombes est devenu directeur sportif, et l’ancien président de Bastia, Julien Lolli, a été nommé président délégué.
Les trois hommes ont fait le ménage autour d’eux en écartant bon nombre de dirigeants qui œuvraient depuis des années au club, jusqu’au responsable de la buvette. Puis ils ont activé leurs réseaux espagnols. Un entraîneur (Carlos Inarejos) est arrivé avec, dans ses valises, trois joueurs ibériques.
Un recrutement, qui, à l’heure qu’il est, ne permet pas de survoler le championnat de N3, comme si les nouveaux dirigeants avaient sous-estimé le niveau de ce championnat. À moins que l’homme d’affaires ne dispose pas de la surface financière suffisante pour voir plus grand.
À Mulhouse, les sceptiques sont nombreux. « Pour l’instant, les dirigeants ne se sont pas donné les moyens de leurs ambitions, témoigne un proche du club. Le projet reste flou. On se demande toujours ce qu’ils sont venus faire ici. »
Le projet de jeu très ambitieux, calqué sur la possession, le jeu vers l’avant a fait long feu. Rattrapé par la réalité du terrain, le FC Mulhouse a revu, là encore, ses beaux projets à la baisse. Et on parle de National 3. On vous laisse imaginer le tableau en Ligue 1... "

aub'boys a écrit : ↑20 déc. 2017, 12:21 Business is business

Business as usual.