Re: Nick Carle (décembre 2001 - 2003)
Posté : 03 déc. 2022, 13:51
Aujourd'hui, l'Australie joue contre l'Argentine en 1/8e de finale de la Coupe du monde. L'occasion de revenir sur le passage de Nick Carle à Troyes, arrivé au mercato d'hiver de la saison 2001-2002. Il a joué 5 matches de championnat en 2001-2002 et 1 match de coupe d'intertoto en 2002-2003.
Son premier match est le derby contre Auxerre, avec une défaite 1-2 à domicile. Côté auxerrois, Lachuer et Le Crom étaient coéquipiers de Boumsong, Mexes, Cissé ou Kapo.
Son premier carton est pour le match suivant à Lorient, défaite 1-0 but de Feindouno.
Sa première titularisation est pour la réception de Montpellier, victoire 2-0 (Niang et Loko). Cédric Barbosa était entré en jeu avec Montpellier.
Son dernier match en L1 est contre Bordeaux, victoire 2-0, avec un doublé de Goussé à la 89e et 90e.
Son dernier match avec l'équipe 1 est le match d'intertoto de la saison suivante contre les Nord Irlandais du Coleraine FC, victoire 1-2, Niang et Goussé. Nicolas Florentin l'avait remplacé.
Entre Montpellier et Bordeaux, Nick Carle joue un match contre deux Argentins restés célèbres du championnat : Heinze et Pochettino lors de PSG-Troyes du 16 mars 2002 (puisqu'aujourd'hui, c'est Argentine-Australie ! ).
Avant le match, Le Parisien évoque le match à travers le travail des attaquants parisiens durant la semaine :
Pour se réhabiliter, Paris mise tout sur l'attaque
Pour rester dans la course à la Ligue des champions, les Parisiens doivent commencer par battre l'Estac ce soir au Parc en championnat. Ils comptent avant tout sur leurs attaquants, très sollicités cette semaine à l'entraînement.
Par Laurent Perrin
Le 16 mars 2002 à 00h00
DEPUIS une semaine, les joueurs du PSG tentent d'effacer les stigmates d'une vilaine défaite en Coupe de France face à Lorient (0-1). Cet échec les a secoués, indéniablement. Mais le match face à Troyes, ce soir (20 heures) au Parc des Princes, doit leur permettre de rebondir pour atteindre leur principal objectif : une qualification pour la phase préliminaire de la Ligue des champions. « Après la défaite presque humiliante face à Lorient, ils ont une grosse envie de démontrer qu'on a enterré un peu vite le PSG », déclare Laurent Perpère.
Chaque point perdu pèsera doublement
Actuellement troisièmes du championnat, les Parisiens ont vu d'un bon oeil la victoire de Bordeaux à Auxerre dimanche (1-0). Paris doit désormais disputer toutes ses rencontres comme des matchs de coupe en essayant de ne pas obtenir les mêmes résultats... Désormais, chaque point perdu pèsera doublement dans la balance. L'affaire s'annonce ardue car , pour préserver sa troisième place, Paris est tributaire des résultats d'Auxerre. « Effectivement, nous dépendons des autres, c'est le point négatif, confirme Lionel Letizi. Mais comparé aux autres, notre calendrier est plutôt correct. » C'est d'ailleurs la teneur du discours que Luis Fernandez a tenu tout au long d'une semaine rythmée par les séances à huis clos. Des propos relayés hier par son entraîneur adjoint. « Chaque journée aura sa vérité, prédit Jean-Louis Gasset. Mais j'ai la sensation que l'équipe joue de mieux en mieux. La mission est possible, nous sommes maîtres de notre destin. » Pourtant les trois déplacements, à Guingamp, qui jouera sa survie, à Marseille, qui défendra son honneur, et à Lille, en course pour une place européenne, ne s'annoncent pas de tout repos. A moins, bien sûr, que Paris ne retrouve dès ce soir son efficacité offensive. « Il faut régler nos problèmes de réalisme le plus vite possible, poursuit Gasset. Toute la semaine, nous avons travaillé pour essayer de reprendre confiance devant le but. Et Luis a été particulièrement sévère avec les attaquants car ils doivent savoir tuer un match. » Ce soir, c'est avec une attaque new look que le PSG tentera de percer la muraille troyenne. Alex écarté, officiellement pour cause de problème au genou, Aloisio sur le banc, c'est à Fiorèse et Ogbeche, soutenus par Ronaldinho, qu'incombera la lourde responsabilité de faire la différence. En l'absence de Fernandez et Gasset, tous deux suspendus, c'est Saar Boubacar qui tentera de faire passer les messages du manager pendant la partie. Illustre buteur du PSG au début des années quatre-vingt, Bouba, qui a inscrit 30 buts en 30 matchs sous le maillot parisien, saura peut-être trouver les mots justes pour placer les attaquants sur le chemin de la victoire. Aligné en attaque aux côtés d'Ogbeche, Fabrice Fiorèse aura la lourde tâche de faire plier la défense troyenne.
Ce soir-là le PSG aligne : Létizi- Cristobal Pochettino El Karkouri Heinze Potillon (Aloisio 46e) - E. Cissé Okocha Ronaldinho - Fiorèse (Mendy 77e) Ogbeche (Llacer 85e). Entr : Boubacar (Fernandez et Gasset suspendus)
Troyes aligne : Cassard - Méniri Svensson (O. Thomas 60e) Berthé (Amzine 72e) Bradja - Hamed Celestini Tourenne- Niang Goussé (Carle 70e) Loko
Entr : Perrin
Cartons jaunes : Cissé (27e); Berthé (35e)
Svensson ouvre le score d'une belle tête (15e); l'entrée à la mi-temps d'Aloisio avec le changement de 5 à 4 derrière côté parisien et la sortie sur blessure de Svensson à la 60e, font basculer le match. Egalisation d'Aloisio de la tête sur corner de Ronladinho à la 57e, puis doublé de Ronladinho à la 62e et 73e, dont le 1er exceptionnel, le 2e étant aussi un slalom, mais il bénéficie de plus d'espaces.
Le résumé vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=M7eVhAc6bYo
Réactions:
Ronaldinho : « Je suis très heureux d’avoir aidé l’équipe à décrocher les trois points de la victoire. Ainsi, le PSG reste en lice pour se qualifier en Coupe d’Europe. L’important n’est pas l’exploit personnel mais la façon dont on peut aider l’équipe à gagner un match. Je connais mes qualités, je sais que je peux aider l’équipe à tout moment par un dribble, une passe ou un coup de pied arrêté. Mon deuxième but ? Jay-Jay Okocha me lance et je trouve tout de suite beaucoup d’espaces devant moi. J’ai eu de la chance sur l’un de mes dribbles. Ensuite, José (Aloisio) m’aide en appelant le ballon à droite. Cela m’ouvre un espace et j’en profite. […] Luis nous manque parce qu’il parle beaucoup et nous encourage tout au long du match. Mais Jean-Louis Gasset et Boubacar font un gros travail. Quant à Luis, il nous parle toujours avant les matches et pendant la mi-temps. Nous essayons de respecter ce qu’il nous dit de faire. […] Je me sens bien ici, j’ai de bonnes relations avec mes partenaires, le staff technique, les supporters et les journalistes. Je dois encore montrer sur le terrain combien je suis heureux ici. »
Jean-Louis Gasset : « Lorsque nous avons vu les premières minutes, nous avons eu peur de vivre un remake de nos dernières sorties au Parc, de continuer notre série noire. Mais en seconde mi-temps, avec notamment la rentrée d’Aloisio, notre potentiel s’est bien remis en marche. A la mi-temps, nous avons dit aux garçons de ne pas avoir de regret et de tout donner. Ils ont prouvé qu’ils savaient se surpasser. Dans des matches serrés comme ceux-là avec un marquage individuel, ce sont souvent les individualités qui font la différence. Et ce sont donc trois exploits qui ont amené nos trois buts. Nous voilà à deux points de Lyon, à égalité avec Lille et Auxerre. Il nous reste maintenant cinq matches, que nous disputerons au sprint, le couteau entre les dents. »
Alain Perrin (entraîneur de Troyes) : « Ce soir, il nous a manqué de la rigueur un peu partout. Nous n’avons pas été suffisamment présents pour mettre Paris en difficulté. Nous nous sommes rendus compte de la différence qu’il y a entre une équipe comme Troyes et l’une des meilleures de ce championnat. »
Stéphane Cassard : « Nous avons fait une très bonne première mi-temps, puis le premier but parisien nous a vraiment fait très mal. Ensuite, Ronaldinho a su faire la différence sur deux actions. Nous espérions vraiment mieux après notre première mi-temps, et c’est donc très dommage car je trouve cette défaite un peu sévère. Mais quand ce PSG accélère, cela va très vite. »
José Aloisio : « Mon but est très important car il permet surtout à l’équipe de prendre les trois points de la victoire. Maintenant, nous pensons déjà à notre prochain match à Guingamp. C’est vrai que cela faisait longtemps que je n’avais pas marqué, mais j’ai toujours bénéficié de la confiance du groupe et des supporters. Ronnie a encore une fois fait un grand match, et c’est grâce à son superbe corner que je parviens à marquer. Il peut à tout moment être décisif, et j’espère qu’il inscrira beaucoup de buts lors de la prochaine coupe du Monde. »
Résumé du match vu par les supporters parisiens et notes du journal Le Parisien : https://histoiredupsg.fr/psg-troyes-3-1 ... on-1-01-02
Nick Carle repart (il venait du Sydney Olympic) ensuite en Australie au Marconi Stallions, puis Newcastle Jets, avant de revenir en Europe d'abord en Turquie au Gençlerbirliği SK, puis l'Angleterre à Bristol et Crystal Palace, avant de repartir en Australie en 2010 au Sydney FC, non sans faire une parenthèse d'un an à Abu Dhabi au Baniyas FC.
Bon Australie Argentine pour ceux qui vont le regarder !
Son premier match est le derby contre Auxerre, avec une défaite 1-2 à domicile. Côté auxerrois, Lachuer et Le Crom étaient coéquipiers de Boumsong, Mexes, Cissé ou Kapo.
Son premier carton est pour le match suivant à Lorient, défaite 1-0 but de Feindouno.
Sa première titularisation est pour la réception de Montpellier, victoire 2-0 (Niang et Loko). Cédric Barbosa était entré en jeu avec Montpellier.
Son dernier match en L1 est contre Bordeaux, victoire 2-0, avec un doublé de Goussé à la 89e et 90e.
Son dernier match avec l'équipe 1 est le match d'intertoto de la saison suivante contre les Nord Irlandais du Coleraine FC, victoire 1-2, Niang et Goussé. Nicolas Florentin l'avait remplacé.
Entre Montpellier et Bordeaux, Nick Carle joue un match contre deux Argentins restés célèbres du championnat : Heinze et Pochettino lors de PSG-Troyes du 16 mars 2002 (puisqu'aujourd'hui, c'est Argentine-Australie ! ).
Avant le match, Le Parisien évoque le match à travers le travail des attaquants parisiens durant la semaine :
Pour se réhabiliter, Paris mise tout sur l'attaque
Pour rester dans la course à la Ligue des champions, les Parisiens doivent commencer par battre l'Estac ce soir au Parc en championnat. Ils comptent avant tout sur leurs attaquants, très sollicités cette semaine à l'entraînement.
Par Laurent Perrin
Le 16 mars 2002 à 00h00
DEPUIS une semaine, les joueurs du PSG tentent d'effacer les stigmates d'une vilaine défaite en Coupe de France face à Lorient (0-1). Cet échec les a secoués, indéniablement. Mais le match face à Troyes, ce soir (20 heures) au Parc des Princes, doit leur permettre de rebondir pour atteindre leur principal objectif : une qualification pour la phase préliminaire de la Ligue des champions. « Après la défaite presque humiliante face à Lorient, ils ont une grosse envie de démontrer qu'on a enterré un peu vite le PSG », déclare Laurent Perpère.
Chaque point perdu pèsera doublement
Actuellement troisièmes du championnat, les Parisiens ont vu d'un bon oeil la victoire de Bordeaux à Auxerre dimanche (1-0). Paris doit désormais disputer toutes ses rencontres comme des matchs de coupe en essayant de ne pas obtenir les mêmes résultats... Désormais, chaque point perdu pèsera doublement dans la balance. L'affaire s'annonce ardue car , pour préserver sa troisième place, Paris est tributaire des résultats d'Auxerre. « Effectivement, nous dépendons des autres, c'est le point négatif, confirme Lionel Letizi. Mais comparé aux autres, notre calendrier est plutôt correct. » C'est d'ailleurs la teneur du discours que Luis Fernandez a tenu tout au long d'une semaine rythmée par les séances à huis clos. Des propos relayés hier par son entraîneur adjoint. « Chaque journée aura sa vérité, prédit Jean-Louis Gasset. Mais j'ai la sensation que l'équipe joue de mieux en mieux. La mission est possible, nous sommes maîtres de notre destin. » Pourtant les trois déplacements, à Guingamp, qui jouera sa survie, à Marseille, qui défendra son honneur, et à Lille, en course pour une place européenne, ne s'annoncent pas de tout repos. A moins, bien sûr, que Paris ne retrouve dès ce soir son efficacité offensive. « Il faut régler nos problèmes de réalisme le plus vite possible, poursuit Gasset. Toute la semaine, nous avons travaillé pour essayer de reprendre confiance devant le but. Et Luis a été particulièrement sévère avec les attaquants car ils doivent savoir tuer un match. » Ce soir, c'est avec une attaque new look que le PSG tentera de percer la muraille troyenne. Alex écarté, officiellement pour cause de problème au genou, Aloisio sur le banc, c'est à Fiorèse et Ogbeche, soutenus par Ronaldinho, qu'incombera la lourde responsabilité de faire la différence. En l'absence de Fernandez et Gasset, tous deux suspendus, c'est Saar Boubacar qui tentera de faire passer les messages du manager pendant la partie. Illustre buteur du PSG au début des années quatre-vingt, Bouba, qui a inscrit 30 buts en 30 matchs sous le maillot parisien, saura peut-être trouver les mots justes pour placer les attaquants sur le chemin de la victoire. Aligné en attaque aux côtés d'Ogbeche, Fabrice Fiorèse aura la lourde tâche de faire plier la défense troyenne.
Ce soir-là le PSG aligne : Létizi- Cristobal Pochettino El Karkouri Heinze Potillon (Aloisio 46e) - E. Cissé Okocha Ronaldinho - Fiorèse (Mendy 77e) Ogbeche (Llacer 85e). Entr : Boubacar (Fernandez et Gasset suspendus)
Troyes aligne : Cassard - Méniri Svensson (O. Thomas 60e) Berthé (Amzine 72e) Bradja - Hamed Celestini Tourenne- Niang Goussé (Carle 70e) Loko
Entr : Perrin
Cartons jaunes : Cissé (27e); Berthé (35e)
Svensson ouvre le score d'une belle tête (15e); l'entrée à la mi-temps d'Aloisio avec le changement de 5 à 4 derrière côté parisien et la sortie sur blessure de Svensson à la 60e, font basculer le match. Egalisation d'Aloisio de la tête sur corner de Ronladinho à la 57e, puis doublé de Ronladinho à la 62e et 73e, dont le 1er exceptionnel, le 2e étant aussi un slalom, mais il bénéficie de plus d'espaces.
Le résumé vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=M7eVhAc6bYo
Réactions:
Ronaldinho : « Je suis très heureux d’avoir aidé l’équipe à décrocher les trois points de la victoire. Ainsi, le PSG reste en lice pour se qualifier en Coupe d’Europe. L’important n’est pas l’exploit personnel mais la façon dont on peut aider l’équipe à gagner un match. Je connais mes qualités, je sais que je peux aider l’équipe à tout moment par un dribble, une passe ou un coup de pied arrêté. Mon deuxième but ? Jay-Jay Okocha me lance et je trouve tout de suite beaucoup d’espaces devant moi. J’ai eu de la chance sur l’un de mes dribbles. Ensuite, José (Aloisio) m’aide en appelant le ballon à droite. Cela m’ouvre un espace et j’en profite. […] Luis nous manque parce qu’il parle beaucoup et nous encourage tout au long du match. Mais Jean-Louis Gasset et Boubacar font un gros travail. Quant à Luis, il nous parle toujours avant les matches et pendant la mi-temps. Nous essayons de respecter ce qu’il nous dit de faire. […] Je me sens bien ici, j’ai de bonnes relations avec mes partenaires, le staff technique, les supporters et les journalistes. Je dois encore montrer sur le terrain combien je suis heureux ici. »
Jean-Louis Gasset : « Lorsque nous avons vu les premières minutes, nous avons eu peur de vivre un remake de nos dernières sorties au Parc, de continuer notre série noire. Mais en seconde mi-temps, avec notamment la rentrée d’Aloisio, notre potentiel s’est bien remis en marche. A la mi-temps, nous avons dit aux garçons de ne pas avoir de regret et de tout donner. Ils ont prouvé qu’ils savaient se surpasser. Dans des matches serrés comme ceux-là avec un marquage individuel, ce sont souvent les individualités qui font la différence. Et ce sont donc trois exploits qui ont amené nos trois buts. Nous voilà à deux points de Lyon, à égalité avec Lille et Auxerre. Il nous reste maintenant cinq matches, que nous disputerons au sprint, le couteau entre les dents. »
Alain Perrin (entraîneur de Troyes) : « Ce soir, il nous a manqué de la rigueur un peu partout. Nous n’avons pas été suffisamment présents pour mettre Paris en difficulté. Nous nous sommes rendus compte de la différence qu’il y a entre une équipe comme Troyes et l’une des meilleures de ce championnat. »
Stéphane Cassard : « Nous avons fait une très bonne première mi-temps, puis le premier but parisien nous a vraiment fait très mal. Ensuite, Ronaldinho a su faire la différence sur deux actions. Nous espérions vraiment mieux après notre première mi-temps, et c’est donc très dommage car je trouve cette défaite un peu sévère. Mais quand ce PSG accélère, cela va très vite. »
José Aloisio : « Mon but est très important car il permet surtout à l’équipe de prendre les trois points de la victoire. Maintenant, nous pensons déjà à notre prochain match à Guingamp. C’est vrai que cela faisait longtemps que je n’avais pas marqué, mais j’ai toujours bénéficié de la confiance du groupe et des supporters. Ronnie a encore une fois fait un grand match, et c’est grâce à son superbe corner que je parviens à marquer. Il peut à tout moment être décisif, et j’espère qu’il inscrira beaucoup de buts lors de la prochaine coupe du Monde. »
Résumé du match vu par les supporters parisiens et notes du journal Le Parisien : https://histoiredupsg.fr/psg-troyes-3-1 ... on-1-01-02
Nick Carle repart (il venait du Sydney Olympic) ensuite en Australie au Marconi Stallions, puis Newcastle Jets, avant de revenir en Europe d'abord en Turquie au Gençlerbirliği SK, puis l'Angleterre à Bristol et Crystal Palace, avant de repartir en Australie en 2010 au Sydney FC, non sans faire une parenthèse d'un an à Abu Dhabi au Baniyas FC.
Bon Australie Argentine pour ceux qui vont le regarder !