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Interview absolument degueulasse! Je pensais qu’il était le couteau le mieux aiguisé du tiroir, et la c’est trop! Il montre à la Terre entière qu’il est le porte parole d’un gars qui est l’incarnation de la défaite, et par ses conférences, d’un idiot! Quelle déception! Une de plus…

Itw lunaire de Vitali mais au moins lui vient se présenter pour répondre aux questions après ce match une nouvelle fois insuffisant

Son itw est encore un cracha dans la gueule de toute la ville.

Après ça Vitali peut dégager aussi fallait mieux encore Linda De Sousa

Je pense qu'il n'a pas le pouvoir de lourder PK, clairement protégé en haut lieu. Donc langue de bois absolue. Je suis convaincu qu'il sait maintenant que son coach est nul.

Peut-être, sans doute même, mais Magne et lui ont clairement dit que PK était leur choix et n'était pas imposé par CFG, maintenant faut assumer ...

palex a écrit : ↑27 sept. 2023, 19:04 Je pense qu'il n'a pas le pouvoir de lourder PK, clairement protégé en haut lieu. Donc langue de bois absolue. Je suis convaincu qu'il sait maintenant que son coach est nul.

comme lui

Nounours10 a écrit : ↑27 sept. 2023, 17:40

« Oui ! On ne peut pas retirer à Patrick le fait d’être un gagneur. Il est obnubilé par la victoire. »

Cette phrase est énorme

Il ne doit pas être trop obnubilé, vu son ratio de victoires.

Le visage fermé, marqué, la voix pourtant douce, Patrick Kisnorbo s’est retrouvé bien seul en salle de presse mardi soir dans un préfabriqué du stade ruthénois. Le technicien australien a d’abord évoqué, évidemment, la boulette de Nicolas Lemaître. « Malheureusement, on subit cette erreur individuelle suivie d’un coup franc dévié, deux buts qui nous impactent évidemment. On soutient Nico, on sait que ce genre d’erreur arrive dans le football. »

Puis PK a regretté les occasions manquées. « On a dominé la rencontre ; on a un duel face au gardien qu’on loupe (Assoumou, NDLR), un ballon sauvé sur la ligne. Forcément, rater ces occasions rend les choses difficiles. On doit continuer à se projeter, rapidement se concentrer sur la rencontre qui arrive samedi face à Saint-Etienne. »

« Un coach ne peut pas tout maîtriser »

On l’a senti marqué, on l’a déjà dit. On lui a donc demandé s’il restait serein, confiant. « Bien sûr, a-t-il répondu, regonflé. Il y a des signes qui montrent qu’on va vers du mieux. En première période, par exemple, on a bien joué. Mais un coach ne peut pas tout maîtriser. Que Jaurès manque son duel, je n’y peux pas grand-chose. Que le gardien fasse une erreur de main, je ne peux pas non plus intervenir. C’est regrettable. Je peux intervenir sur la composition, sur certaines attitudes mais pas sur des faits de jeu, qui nous sont contraires en ce moment. Je dois continuer d’être positif avec ce groupe et ces joueurs ! »

Nous sommes convaincus que « PK » est humainement une bonne personne, comme Erick Mombaerts nous l’avait présenté. Mais qu’il soit un bon entraîneur, aujourd’hui, comme tous les supporters troyens, nous en doutons. Il comprend que nous doutons de ses capacités, alors que l’équipe n’avance pas, que le club vient de vivre plusieurs longs mois cauchemardesques avec lui à sa tête. « Je sais que le jugement des gens se porte exclusivement sur le terrain. Qu’un entraîneur n’est jugé que sur ses résultats. Mais nous avançons. Par rapport à la saison dernière, nous proposons quelque chose de différent, un système de jeu différent. On a une équipe qui est jeune. Je cherche à la faire progresser, dans un environnement favorable. (il insiste) Je suis convaincu que nous avançons dans la bonne direction. Malheureusement, même si je ne veux pas me réfugier derrière ça, les erreurs individuelles masquent nos progrès. »

Son équipe manque de caractère. Lui qui était un guerrier sur le terrain n’a pas ou ne met pas les joueurs dans des conditions qui permettent au groupe de se sublimer et de marcher sur les adversaires. Encore mardi, à Rodez, face à une formation en forme mais sans génie, l’Estac a récité sa leçon. Sans conviction. Sans l’envie de décrocher la mention. « On a peut-être été combatif de façon inconsistante et irrégulière », admet-il.

L’Estac est aujourd’hui en danger. Financièrement, le club est serein. Mais son équipe fanion crispe tout l’environnement. PK peut-il tenir dans ce contexte ? A-t-il seulement songé à rendre son tablier ? « Si c’était le cas, je ne serais pas là à répondre à vos questions, dit-il. Bien sûr que la situation est compliquée, évidemment que c’est compliqué de ne pas gagner. Mais j’ai accepté la mission que l’on m’a confiée. Je sais que cela vous irrite mais nous sommes dans un processus et nous suivons la voie que l’on a définie avec la direction. L’idée est de progresser chaque semaine, de faire progresser des jeunes de 18, 19, 20, 21 ans. C’est difficile, c’est sûr. Mais sachez que je n’abandonnerai pas. Je n’abandonnerai jamais. Jamais ! Je serai là pour accompagner ces jeunes-là. J’irai à la guerre avec eux. Je ne sais pas si la roue va tourner. On ne dominera pas tous les matches mais si on persévère, on persévère, on persévère, on ira vers des jours meilleurs. »

« On est dans une bonne direction pour obtenir à l’avenir des résultats probants »

PK défend d’ailleurs le bilan de CFG à Troyes depuis qu’il a y posé ses valises. « Depuis que je suis là, je vois que les comportements changent, les infrastructures s’améliorent, on met en place une équipe avec des comportements qui essayent de changer. On est dans une bonne direction pour obtenir à l’avenir des résultats probants. »

S’il était président, laisserait-il la chance à « Kisnorbo le coach » de poursuivre sa mission ? « Oui parce que nous sommes sur la même longueur d’ondes et savons quelle direction nous devons prendre. Il y a parfois des hauts et des bas pour atteindre l’objectif mais il faut garder le cap. Si j’étais président, j’assurerais le groupe de mon soutien, le staff de mon soutien. Parce que nous avons pris une direction ensemble, direction que nous avons définie ensemble. Nous traversons des moments difficiles ensemble. Pour connaître ensuite des jours heureux. »