Re: [Fil rouge] Stade de l'Aube
Posté : 17 août 2024, 17:45
L’est éclair :
Pas à pas, le Stade de l’Aube fait sa mue et rentre dans le XXIe siècle. Après l’extension et la modernisation de la vidéoprotection, portée par 162 caméras, c’est au tour de l’éclairage de l’enceinte sportive d’être dans le viseur de Troyes Champagne Métropole, pour une indispensable refonte.
L’opération – qui intègre également dans le marché de maîtrise d’œuvre le terrain d’entraînement le plus proche – passera par la mise en place de projecteurs Led, ou « relamping », devenue aujourd’hui indispensable.
Des dérogations obtenues depuis plus de trois ans
Alors que les installations actuelles ont une vingtaine d’années (voir par ailleurs), il s’agit en effet pour la collectivité de répondre aux normes de la Fédération française de football. « Cela fait plus de trois ans que nous bénéficions de dérogations car l’éclairage du Stade de l’Aube n’est pas suffisant. L’année dernière déjà, lors de l’intersaison, nous avions fait des travaux pour une somme rondelette, qui nous ont fait passer d’un niveau (E4 à E3). Le niveau minimal, c’est E2 », détaille David Garnerin, vice-président en charge du sport, du patrimoine bâti et de l’accessibilité.
Mais ces normes fédérales ne constituent pas la seule exigence à respecter. Si, à l’avenir, Troyes veut accueillir des rencontres d’Euro espoirs masculins ou d’Euro féminin, le Stade de l’Aube doit aussi se conformer aux règles (objectifs photométriques, implantation) édictées par l’Union des associations européennes de football.
Le passage aux Led ne va pas se faire en un claquement de doigts. Gage aussi de la bonne volonté de TCM à moderniser l’enceinte, une étude, d’un montant avoisinant les 60 000 €, va être ainsi lancée, notamment pour établir s’il faut changer les mâts actuels (au nombre de deux). « Les Led pèseraient plus lourd que la technologie actuelle, d’où la nécessité de calculer les charges. Des charges supplémentaires qui seraient à prévoir aussi sur les tribunes. Cette étude va nous permettre de trouver les meilleures solutions et d’établir un plan de financement », ajoute David Garnerin.
TCM budgétise depuis trois ans désormais de futurs travaux, dont le coût global pourrait avoisiner les 2,5 M€. Le fonctionnement de l’éclairage les jours de match doit être aussi revu.
Actuellement, il repose sur un groupe électrogène, alimenté en fioul, situé à l’entrée du stade. L’idée est de basculer ce fonctionnement sur le réseau électrique dédié aux Led, le groupe électrogène devenant alors une solution de repli si besoin. « Sur le plan environnemental, ce ne sera pas plus mal. »
Pas à pas, le Stade de l’Aube fait sa mue et rentre dans le XXIe siècle. Après l’extension et la modernisation de la vidéoprotection, portée par 162 caméras, c’est au tour de l’éclairage de l’enceinte sportive d’être dans le viseur de Troyes Champagne Métropole, pour une indispensable refonte.
L’opération – qui intègre également dans le marché de maîtrise d’œuvre le terrain d’entraînement le plus proche – passera par la mise en place de projecteurs Led, ou « relamping », devenue aujourd’hui indispensable.
Des dérogations obtenues depuis plus de trois ans
Alors que les installations actuelles ont une vingtaine d’années (voir par ailleurs), il s’agit en effet pour la collectivité de répondre aux normes de la Fédération française de football. « Cela fait plus de trois ans que nous bénéficions de dérogations car l’éclairage du Stade de l’Aube n’est pas suffisant. L’année dernière déjà, lors de l’intersaison, nous avions fait des travaux pour une somme rondelette, qui nous ont fait passer d’un niveau (E4 à E3). Le niveau minimal, c’est E2 », détaille David Garnerin, vice-président en charge du sport, du patrimoine bâti et de l’accessibilité.
Mais ces normes fédérales ne constituent pas la seule exigence à respecter. Si, à l’avenir, Troyes veut accueillir des rencontres d’Euro espoirs masculins ou d’Euro féminin, le Stade de l’Aube doit aussi se conformer aux règles (objectifs photométriques, implantation) édictées par l’Union des associations européennes de football.
Le passage aux Led ne va pas se faire en un claquement de doigts. Gage aussi de la bonne volonté de TCM à moderniser l’enceinte, une étude, d’un montant avoisinant les 60 000 €, va être ainsi lancée, notamment pour établir s’il faut changer les mâts actuels (au nombre de deux). « Les Led pèseraient plus lourd que la technologie actuelle, d’où la nécessité de calculer les charges. Des charges supplémentaires qui seraient à prévoir aussi sur les tribunes. Cette étude va nous permettre de trouver les meilleures solutions et d’établir un plan de financement », ajoute David Garnerin.
TCM budgétise depuis trois ans désormais de futurs travaux, dont le coût global pourrait avoisiner les 2,5 M€. Le fonctionnement de l’éclairage les jours de match doit être aussi revu.
Actuellement, il repose sur un groupe électrogène, alimenté en fioul, situé à l’entrée du stade. L’idée est de basculer ce fonctionnement sur le réseau électrique dédié aux Led, le groupe électrogène devenant alors une solution de repli si besoin. « Sur le plan environnemental, ce ne sera pas plus mal. »