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Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
- RoiDeCoeur
- Espoir
- Messages : 872
- Enregistré le : 22 mai 2019, 10:35
Re: Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
Au moins s'il va à Caen on sait déjà contre qui on ne prendra pas de points l'année prochaine avec notre super entraineur. 

NON à la multipropriété !
- Romainpat94 bis
- Pro
- Messages : 2806
- Enregistré le : 21 sept. 2020, 22:04
Re: Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
Je pensais à la même chose .. Bi en L2 avec des bons joueurs cela va être compétitif ..RoiDeCoeur a écrit : ↑17 mai 2023, 20:15 Au moins s'il va à Caen on sait déjà contre qui on ne prendra pas de points l'année prochaine avec notre super entraineur.![]()
Ex Romainpat
- Nitarm
- Pro
- Messages : 2802
- Enregistré le : 01 août 2021, 15:00
Re: Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
donc l'année prochaine , branlée contre le SCO avec Fufu , contre le SM Caen de Bibi puis contre L'ASSE de LB , ça va nous permettre de voir que nos anciens entraineurs n'étaient pas si mal comparé à notre génie de l'autre bout du monde ....
- Romainpat94 bis
- Pro
- Messages : 2806
- Enregistré le : 21 sept. 2020, 22:04
Re: Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
Notre grand classique : se prendre des buts de nos anciens joueurs et la revanche de nos anciens entraîneur...
Cela va être compliqué si aucune remise en cause n'est faite après une telle débâcle QQ soit le projet a 10 ans ..
Cela va être compliqué si aucune remise en cause n'est faite après une telle débâcle QQ soit le projet a 10 ans ..
Ex Romainpat
- TontonManu
- Pro
- Messages : 3748
- Enregistré le : 27 juil. 2016, 22:46
Re: Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
La revanche de quels anciens entraîneurs ? Irles, Battles, Rui Almeida, Garcia ? Le seul que nous ayons rencontré est Furlan pour un bilan de 4 victoires, 2 nuls et 4 défaites.
- turtle
- Star mondiale
- Messages : 21447
- Enregistré le : 18 févr. 2004, 15:01
Re: Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
Avec Kisporno, quelque soit l'entraineur en face on ne prendre pas de point. Mais j'ai hâte de voir la victoire de Caen au SDA avec BI qui fête devant les Magics. 

- Paco81
- Pro
- Messages : 2676
- Enregistré le : 17 juil. 2015, 23:29
Re: Bruno Irles [Entraîneur] (janvier - novembre 2022)
En plus de Caen, il serait sur les tablettes du Paris FC…..
- Romainpat94 bis
- Pro
- Messages : 2806
- Enregistré le : 21 sept. 2020, 22:04
- aub'boys
- Contributeur
- Messages : 2899
- Enregistré le : 16 avr. 2005, 06:40
- Localisation : troyes
Re: [Débat] La méthode Irles versus la méthode Kisnorbo, le piège troyen ?
L'ÉQUIPE
Bruno Irles après son licenciement de Troyes : « Si j'avais eu un cinquième de ses résultats... »
L'ancien entraîneur de Troyes Bruno Irles, licencié en novembre, estime qu'il n'a pas eu le même crédit que son successeur, Patrick Kisnorbo. Et selon lui, l'attitude de sa direction a contribué à fragiliser sa position auprès de ses joueurs.
Sébastien Buron
18 mai 2023 à 17h59
Limogé de Troyes le 8 novembre, Bruno Irles a accepté de revenir pour la première fois, pour L'Équipe, sur les conditions de son licenciement. « La saison a rendu son verdict pour l'Estac (officiellement reléguée depuis dimanche et sa défaite à Rennes, 4-0), donc je peux parler », explique l'entraîneur de 47 ans, toujours en négociation concernant sa rupture de contrat. Mardi, au lendemain de son intervention médiatique au Late 360 sur Canal +, le technicien s'est confié, dans un café de la gare de l'Est, sur son passage et ses difficultés rencontrées au club aubois.
« Avez-vous digéré votre éviction ?
Oui, car je tire le positif. J'ai réussi à maintenir ce club, une première depuis 16 ans, et j'en suis fier. Et malgré un été très compliqué au niveau du recrutement et du management, je suis arrivé à remettre l'Estac sur de bons rails. Je me suis prouvé, j'ai prouvé que j'étais capable de performer en Ligue 1 avec un petit budget, et ce n'est pas rien.
Pourquoi très compliqué en termes de management ?
Beaucoup de choses ont été dites et écrites, et ça n'a pas facilité mon travail avec les joueurs. On a dit qu'ils me lâchaient. Je mets quiconque au défi d'analyser tous mes matches et de trouver 30 secondes où ils ont lâché. Ça n'existe pas. Il y a ce qui a été dit, ou rapporté, et la réalité. J'ai même entendu que j'avais eu une altercation avec Renaud Ripart. Mais ce sont des inepties !
« Je suis en colère, triste, car c'est un gâchis »
Mais les joueurs sont allés voir la direction sportive en juillet, il y avait bien une cassure, non ?
Pas de cassure. La cassure existe au moment où on ouvre une faille. Et une faille a été ouverte. Effectivement, les joueurs avaient une oreille, et ils n'auraient pas dû l'avoir.
Qui visez-vous ? Aymeric Magne, le président exécutif ? François Vitali, le directeur sportif ?
Oui, la faille a été ouverte au niveau de la direction, du sportif. Quand on est entraîneur, il faut qu'on sente que le club est à 100 % derrière vous, et pas simplement dans les communications médiatiques. C'est au quotidien qu'on le voit.
Comprenez-vous votre licenciement ?
Je suis en colère, triste, car c'est un gâchis. Lors de mon licenciement, on me reproche : 1. Les résultats. On reste sur six matches sans victoire (4 nuls, 2 défaites) mais on est 13es avec la 5e attaque. On voit la suite, je vous laisse juge. 2. Le jeu. Pour la direction sportive, le projet de jeu devait aller plus vite vers le projet City. Il y a eu divergence de points de vue. J'étais convaincu que c'était incompatible avec cet effectif en L1. Aujourd'hui, on ne peut pas dire qu'on voit jouer Manchester City ou qu'on exploite au maximum le potentiel des joueurs. Ça me donne raison. Cette descente en L2 est un échec cuisant.
« Je suis jaloux de la communication autour de mon successeur (Patrick Kisnorbo). J'aurais aimé en bénéficier à mon arrivée »
Certains ont dit que les joueurs étaient en autogestion avec vous...
J'ai entendu ça. Sur chaque match, il y avait un plan de jeu. J'estimais aussi important d'ajouter des composantes dans notre jeu et on est allés chercher les points comme ça. Alors oui, autogestion, si vous voulez. Moi, je sais très bien ce que j'ai fait, apporté.
Quand vous êtes convoqué, vous attendiez-vous à être licencié ?
Non. Le directeur sportif me dit : "Tu viens me voir, on discute." Et en fait, le président Aymeric Magne est là. Ils m'annoncent que c'est terminé. C'est violent.
Quelles erreurs avez-vous faites ?
Ce ne sont pas forcément des erreurs où j'avais la main dessus. Le contexte n'a pas été favorable, je suis arrivé seul, et je suis jaloux de la communication autour de mon successeur (Patrick Kisnorbo). J'aurais aimé en bénéficier à mon arrivée. Ça m'a été préjudiciable, notamment auprès des supporters.
Patrick Kisnorbo, après la relégation de Troyes : « Revenir avec cette fois un club capable d'être compétitif »
Mais n'avez-vous pas été maladroit quand vous affirmez, lors de votre première conférence de presse : "Dès dimanche, il y aura des changements" ?
Oui. Mais le truc le plus maladroit qui m'est revenu, c'est le titre "Je suis la bonne personne" dans votre entretien (le 16 janvier 2022). Des gens ont dit : "Il se prend pour qui ? Il n'a jamais entraîné en L1." S'ils avaient lu l'article, ils auraient compris pourquoi j'expliquais être la bonne personne. Et on ne va quand même pas me reprocher d'être convaincu d'atteindre les objectifs. Ça peut paraître prétentieux, moi j'appelle ça de l'ambition et de la conviction.
« C'était chaud à l'aéroport, on m'a craché dessus »
Vous parliez des supporters, votre relation avec eux a été très compliquée...
Au premier match (0-1 contre Lyon, le 16 janvier 2022), j'observe l'échauffement à côté de ma femme et de mes enfants, présents en tribune, et un supporter arrive : "Irles, $*$*$, t'as rien à faire ici, repars d'où tu viens". Mon petit a 8 ans et me dit : "Mais pourquoi il te parle comme ça le monsieur ?" C'était le premier match ! J'ai pris des insultes, des banderoles. Après un match, c'était chaud à l'aéroport, on m'a craché dessus. Une fois que vous subissez ça... Je me renferme un peu, c'est humain aussi. Aujourd'hui, j'en croise puisque j'habite encore à Troyes et on me dit : "Finalement, on vous regrette."
Quelles étaient vos relations avec la direction de City ?
J'avais une relation hebdomadaire avec Brian Marwood (le directeur du football au City Football Group), elle a été cordiale et constructive. Et, à aucun moment, on exige un changement radical de mon projet de jeu. Ils sont conscients que le maintien est important, car il y a quand même un impact pour le projet City de ne pas être en L1. Même s'ils ont validé mon éviction, je ne me suis pas senti lâché par le Group pendant les 11 mois. Pour moi, le licenciement a été initié de l'intérieur de l'Estac, pas du City Group.
L'Estac se serait-elle maintenue avec vous ?
Je n'ai pas la prétention de le dire. On était sur la bonne voie, mais je pense que ça aurait été difficile de faire pire.
Patrick Kisnorbo répète que l'équipe n'était pas prête physiquement. Qu'en pensez-vous ?
C'est maladroit. Et ça prouve sa méconnaissance de la situation. J'attendais la trêve liée à la Coupe du monde avec impatience, j'allais enfin avoir un mois de travail avec mon groupe. Cet été, le recrutement a été très tardif, j'ai travaillé avec la réserve et les joueurs présents. Il est le seul à l'Estac à avoir eu un mois de travail avec l'effectif. En un mois, on prépare largement une équipe pour la seconde partie du Championnat. Là aussi, je jalouse mon successeur. Si j'avais eu un cinquième de ses résultats (une seule victoire depuis sa nomination), j'imagine à quel point mon quotidien aurait été difficile...
À quoi aspirez-vous aujourd'hui ?
J'ai hâte de retrouver la L1, directement ou indirectement avec un club ambitieux de L2. On parle de moi au Paris FC mais il n'y a rien de concret. J'ai d'autres contacts en L2 et L1. Mais je ne veux pas y aller dans n'importe quelle condition. »
Bruno Irles après son licenciement de Troyes : « Si j'avais eu un cinquième de ses résultats... »
L'ancien entraîneur de Troyes Bruno Irles, licencié en novembre, estime qu'il n'a pas eu le même crédit que son successeur, Patrick Kisnorbo. Et selon lui, l'attitude de sa direction a contribué à fragiliser sa position auprès de ses joueurs.
Sébastien Buron
18 mai 2023 à 17h59
Limogé de Troyes le 8 novembre, Bruno Irles a accepté de revenir pour la première fois, pour L'Équipe, sur les conditions de son licenciement. « La saison a rendu son verdict pour l'Estac (officiellement reléguée depuis dimanche et sa défaite à Rennes, 4-0), donc je peux parler », explique l'entraîneur de 47 ans, toujours en négociation concernant sa rupture de contrat. Mardi, au lendemain de son intervention médiatique au Late 360 sur Canal +, le technicien s'est confié, dans un café de la gare de l'Est, sur son passage et ses difficultés rencontrées au club aubois.
« Avez-vous digéré votre éviction ?
Oui, car je tire le positif. J'ai réussi à maintenir ce club, une première depuis 16 ans, et j'en suis fier. Et malgré un été très compliqué au niveau du recrutement et du management, je suis arrivé à remettre l'Estac sur de bons rails. Je me suis prouvé, j'ai prouvé que j'étais capable de performer en Ligue 1 avec un petit budget, et ce n'est pas rien.
Pourquoi très compliqué en termes de management ?
Beaucoup de choses ont été dites et écrites, et ça n'a pas facilité mon travail avec les joueurs. On a dit qu'ils me lâchaient. Je mets quiconque au défi d'analyser tous mes matches et de trouver 30 secondes où ils ont lâché. Ça n'existe pas. Il y a ce qui a été dit, ou rapporté, et la réalité. J'ai même entendu que j'avais eu une altercation avec Renaud Ripart. Mais ce sont des inepties !
« Je suis en colère, triste, car c'est un gâchis »
Mais les joueurs sont allés voir la direction sportive en juillet, il y avait bien une cassure, non ?
Pas de cassure. La cassure existe au moment où on ouvre une faille. Et une faille a été ouverte. Effectivement, les joueurs avaient une oreille, et ils n'auraient pas dû l'avoir.
Qui visez-vous ? Aymeric Magne, le président exécutif ? François Vitali, le directeur sportif ?
Oui, la faille a été ouverte au niveau de la direction, du sportif. Quand on est entraîneur, il faut qu'on sente que le club est à 100 % derrière vous, et pas simplement dans les communications médiatiques. C'est au quotidien qu'on le voit.
Comprenez-vous votre licenciement ?
Je suis en colère, triste, car c'est un gâchis. Lors de mon licenciement, on me reproche : 1. Les résultats. On reste sur six matches sans victoire (4 nuls, 2 défaites) mais on est 13es avec la 5e attaque. On voit la suite, je vous laisse juge. 2. Le jeu. Pour la direction sportive, le projet de jeu devait aller plus vite vers le projet City. Il y a eu divergence de points de vue. J'étais convaincu que c'était incompatible avec cet effectif en L1. Aujourd'hui, on ne peut pas dire qu'on voit jouer Manchester City ou qu'on exploite au maximum le potentiel des joueurs. Ça me donne raison. Cette descente en L2 est un échec cuisant.
« Je suis jaloux de la communication autour de mon successeur (Patrick Kisnorbo). J'aurais aimé en bénéficier à mon arrivée »
Certains ont dit que les joueurs étaient en autogestion avec vous...
J'ai entendu ça. Sur chaque match, il y avait un plan de jeu. J'estimais aussi important d'ajouter des composantes dans notre jeu et on est allés chercher les points comme ça. Alors oui, autogestion, si vous voulez. Moi, je sais très bien ce que j'ai fait, apporté.
Quand vous êtes convoqué, vous attendiez-vous à être licencié ?
Non. Le directeur sportif me dit : "Tu viens me voir, on discute." Et en fait, le président Aymeric Magne est là. Ils m'annoncent que c'est terminé. C'est violent.
Quelles erreurs avez-vous faites ?
Ce ne sont pas forcément des erreurs où j'avais la main dessus. Le contexte n'a pas été favorable, je suis arrivé seul, et je suis jaloux de la communication autour de mon successeur (Patrick Kisnorbo). J'aurais aimé en bénéficier à mon arrivée. Ça m'a été préjudiciable, notamment auprès des supporters.
Patrick Kisnorbo, après la relégation de Troyes : « Revenir avec cette fois un club capable d'être compétitif »
Mais n'avez-vous pas été maladroit quand vous affirmez, lors de votre première conférence de presse : "Dès dimanche, il y aura des changements" ?
Oui. Mais le truc le plus maladroit qui m'est revenu, c'est le titre "Je suis la bonne personne" dans votre entretien (le 16 janvier 2022). Des gens ont dit : "Il se prend pour qui ? Il n'a jamais entraîné en L1." S'ils avaient lu l'article, ils auraient compris pourquoi j'expliquais être la bonne personne. Et on ne va quand même pas me reprocher d'être convaincu d'atteindre les objectifs. Ça peut paraître prétentieux, moi j'appelle ça de l'ambition et de la conviction.
« C'était chaud à l'aéroport, on m'a craché dessus »
Vous parliez des supporters, votre relation avec eux a été très compliquée...
Au premier match (0-1 contre Lyon, le 16 janvier 2022), j'observe l'échauffement à côté de ma femme et de mes enfants, présents en tribune, et un supporter arrive : "Irles, $*$*$, t'as rien à faire ici, repars d'où tu viens". Mon petit a 8 ans et me dit : "Mais pourquoi il te parle comme ça le monsieur ?" C'était le premier match ! J'ai pris des insultes, des banderoles. Après un match, c'était chaud à l'aéroport, on m'a craché dessus. Une fois que vous subissez ça... Je me renferme un peu, c'est humain aussi. Aujourd'hui, j'en croise puisque j'habite encore à Troyes et on me dit : "Finalement, on vous regrette."
Quelles étaient vos relations avec la direction de City ?
J'avais une relation hebdomadaire avec Brian Marwood (le directeur du football au City Football Group), elle a été cordiale et constructive. Et, à aucun moment, on exige un changement radical de mon projet de jeu. Ils sont conscients que le maintien est important, car il y a quand même un impact pour le projet City de ne pas être en L1. Même s'ils ont validé mon éviction, je ne me suis pas senti lâché par le Group pendant les 11 mois. Pour moi, le licenciement a été initié de l'intérieur de l'Estac, pas du City Group.
L'Estac se serait-elle maintenue avec vous ?
Je n'ai pas la prétention de le dire. On était sur la bonne voie, mais je pense que ça aurait été difficile de faire pire.
Patrick Kisnorbo répète que l'équipe n'était pas prête physiquement. Qu'en pensez-vous ?
C'est maladroit. Et ça prouve sa méconnaissance de la situation. J'attendais la trêve liée à la Coupe du monde avec impatience, j'allais enfin avoir un mois de travail avec mon groupe. Cet été, le recrutement a été très tardif, j'ai travaillé avec la réserve et les joueurs présents. Il est le seul à l'Estac à avoir eu un mois de travail avec l'effectif. En un mois, on prépare largement une équipe pour la seconde partie du Championnat. Là aussi, je jalouse mon successeur. Si j'avais eu un cinquième de ses résultats (une seule victoire depuis sa nomination), j'imagine à quel point mon quotidien aurait été difficile...
À quoi aspirez-vous aujourd'hui ?
J'ai hâte de retrouver la L1, directement ou indirectement avec un club ambitieux de L2. On parle de moi au Paris FC mais il n'y a rien de concret. J'ai d'autres contacts en L2 et L1. Mais je ne veux pas y aller dans n'importe quelle condition. »