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Effectivement, s’ils pouvaient éviter de prendre leurs responsabilités, ça ferait plaisir à beaucoup du monde.

Pouvaient-ils faire mieux dans ce schéma ?
Avec une condition physique qui m'a semblé inférieure à celle des Brestois. C'est surtout cette différence que j'ai remarquée car je nous ai trouvés au dessus techniquement.
Je pense que personne ne s'est planqué à Brest, sachant que le futur entraîneur a certainement regardé le match.

palexandre a écrit : ↑14 nov. 2022, 16:20 Pouvaient-ils faire mieux dans ce schéma ?
Avec une condition physique qui m'a semblé inférieure à celle des Brestois. C'est surtout cette différence que j'ai remarquée car je nous ai trouvés au dessus techniquement.
Je pense que personne ne s'est planqué à Brest, sachant que le futur entraîneur a certainement regardé le match.

Je suis d'accord, c'est étonnant on ne tient pas les matches alors que la saison dernière on avait l'air mieux physiquement avec BI , là les joueurs finissent les matches cramés :préparation physique ratée ?

Ils manquent de sucres depuis qu'on leur a retiré la confiture ...

TontonManu a écrit : ↑14 nov. 2022, 21:05 Ils manquent de sucres depuis qu'on leur a retiré la confiture ...

Bon, on se moque mais on aura l'air fin si on descend alors qu'on a viré le vilain BI.

C'est clair qu'on aura l'air ridicule si on termine dans les 4 derniers alors que l'on était 13 éme au moment où on a viré BI.
Je ne me souviens d'ailleurs pas ,que dans l'histoire de notre club, on est viré un entraineur 13éme de L1.

On ne sait toujours pas officiellement pourquoi BI a été viré. On attend toujours la communication du CFG...

Batman a écrit : ↑15 nov. 2022, 11:52 On ne sait toujours pas officiellement pourquoi BI a été viré. On attend toujours la communication du CFG...

Je pense que la raison est relié au traumatisme infligé par BI quant à la gestion du groupe. Exigence technique, physique et même mentale. Je pense que des joueurs comme Lopes sont habitués à un haut niveau d’exigence car ils sont très exigeants avec même et ont tout simplement des objectifs sportifs très élevés.

A l’inverse, des joueurs qui ont moins d’ambitions peuvent être traumatisés par un système trop dur, trop éreintant et si le coach n’a pas nécessairement de diplomatie dans un groupe un peu plus faible, alors il épuise tout le monde.

Enfin, on le voit avec Batlles à l’ASSE qui malgré une saison catastrophique a l’appui de son groupe et même l’absolution des ultras. Les entraînements de LB sont réputés pour être très light, beaucoup de souplesse pour les joueurs et ça plait ! Du côté des supporters, c’est en quelque sorte le syndrome de Stockholm : malgré des résultats catastrophiques, les gens ont de la sympathie et même une addiction envers le coach qui draine les résultats vers le bas (comme il l’a fait à Troyes en ligue 1).