Ils font de la politique mais ça sonne tellement faux ! (pléonasme)
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Espoir
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Quelqu’un aurait l’article paru dans l’Est eclair sur Renaud Ripart poussé sur le banc à Lyon ?
D’avance merci !!
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Espoir
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Renaud Ripart risque d’être poussé sur le banc des remplaçants vendredi à Lyon, mais il ne s’agira en aucun cas d’une sanction extrasportive pour son geste de mauvaise humeur à sa sortie du match contre Toulouse.
Sur le banc de l’équipe, mais pas au ban du club. Renaud Ripart en est là à l’Estac. Sa confiance, déjà effilochée par une première saison moyenne à Troyes, en a pris un coup après un match totalement manqué contre Toulouse, marqué par une sortie houleuse, à la 59e minute. L’ancien capitaine nîmois, hué par le public, s’en est pris au matériel du club en donnant plusieurs coups de pied dans le banc des remplaçants, ce qui en disait long sur sa frustration.
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Le lendemain, un tweet faisant état d’une «vive altercation verbale» entre le joueur et Bruno Irles a circulé, avant d’être retiré. Une information démentie hier par l’entraîneur: «Jamais de la vie il y a eu altercation! Mais c’est des trucs de fou… En plus, vous connaissez Renaud ! Il y a les faits et les on-dit, je ne vais pas me battre contre ça, ce qui est dit ne reflète pas la réalité.»
Ce que tout le monde a vu, en revanche, c’est la piètre performance du joueur dimanche, logiquement sanctionnée par un remplacement, suivi de ce geste de mauvaise humeur. Une réaction épidermique qui sera classée sans suite. «S’il a cassé le banc, eh bien il paiera le banc. Renaud n’a manqué de respect à personne. C’est un compétiteur, il sait qu’il n’a pas donné le meilleur sur ce match. Comme Xavier (Chavalerin), il était frustré du résultat, de ne pas se sentir soutenu. Son geste n’était pas dirigé contre moi.S’il n’est pas dans le onze de départ (contre Lyon), ce ne sera pas une sanction. Sinon, il n’aurait pas été à l’entraînement le lendemain avec nous.»
«Renaud est capable d’emmener un vestiaire avec lui»
Bruno Irles, entraîneur de l’Estac
S’il y a sanction pour le joueur au catogan, elle ne sera pas extrasportive. En revanche, Renaud Ripart pourrait faire partie des «changements» à venir annoncés hier par Bruno Irles pour le déplacement à Lyon vendredi. «Certains joueurs ont besoin de retrouver la confiance, et peut-être que la confiance se retrouve avec un peu moins de temps de jeu. Sur ce temps de jeu, ils seront peut-être capables de se montrer.»
Difficile de ne pas faire le lien entre le discours du coach et les difficultés rencontrées par Ripart depuis qu’il est à Troyes. Première recrue de prestige de City group la saison passée, l’ancien Nîmois, acheté 3,5 M€, n’a pas reproduit les prestations qui étaient les siennes dans son club formateur où il jouissait d’une aura. S’il a conservé du crédit dans l’Aube, c’est surtout par sa mentalité irréprochable, sa capacité à répéter les efforts sur le terrain, à mouiller le maillot. Dimanche, alors qu’il enchaînait les contrôles approximatifs et les passes manquées, il ne s’est pas caché, a continué à faire des appels. Preuve d’un tempérament de battant intact.
«Renaud, il est capable d’emmener un vestiaire avec lui, intervient Bruno Irles, je l’ai vu nous gagner le match contre Reims l’an dernier.»
Mais ses gros matches se comptent sur les doigts d’une main. La saison dernière, il y avait des circonstances atténuantes à ses prestations moyennes. Le joueur n’avait jamais quitté son club, il devait s’adapter à un nouvel environnement, à des méthodes nouvelles.
Il est aujourd’hui parfaitement intégré, n’est plus promené à tous les postes comme ce fut le cas sous l’ère Laurent Batlles, quand sa polyvalence servait à masquer les manques de l’effectif. «Avant que j’arrive, il avait joué latéral, milieu, attaquant. On ne peut pas dire que je le fais beaucoup bouger», fait remarquer Bruno Irles.
Mais quel est, au juste, le poste de prédilection de Renaud Ripart? Beaucoup n’ont pas la réponse à cette question. Utilisé milieu droit dans le couloir, il n’a pas la vitesse de débordement pour faire des différences. Se sent-il à l’aise à ce poste? «J’écoute ce que les joueurs ont à me dire, je prends les informations, mais le choix, c’est moi qui le fais», répond Bruno Irles.
À Lyon, Renaud Ripart risque de s’asseoir sur le banc des remplaçants. Un rôle de «joker» qu’il ne devra pas prendre comme une punition mais comme un purgatoire.
Sur le banc de l’équipe, mais pas au ban du club. Renaud Ripart en est là à l’Estac. Sa confiance, déjà effilochée par une première saison moyenne à Troyes, en a pris un coup après un match totalement manqué contre Toulouse, marqué par une sortie houleuse, à la 59e minute. L’ancien capitaine nîmois, hué par le public, s’en est pris au matériel du club en donnant plusieurs coups de pied dans le banc des remplaçants, ce qui en disait long sur sa frustration.
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Le lendemain, un tweet faisant état d’une «vive altercation verbale» entre le joueur et Bruno Irles a circulé, avant d’être retiré. Une information démentie hier par l’entraîneur: «Jamais de la vie il y a eu altercation! Mais c’est des trucs de fou… En plus, vous connaissez Renaud ! Il y a les faits et les on-dit, je ne vais pas me battre contre ça, ce qui est dit ne reflète pas la réalité.»
Ce que tout le monde a vu, en revanche, c’est la piètre performance du joueur dimanche, logiquement sanctionnée par un remplacement, suivi de ce geste de mauvaise humeur. Une réaction épidermique qui sera classée sans suite. «S’il a cassé le banc, eh bien il paiera le banc. Renaud n’a manqué de respect à personne. C’est un compétiteur, il sait qu’il n’a pas donné le meilleur sur ce match. Comme Xavier (Chavalerin), il était frustré du résultat, de ne pas se sentir soutenu. Son geste n’était pas dirigé contre moi.S’il n’est pas dans le onze de départ (contre Lyon), ce ne sera pas une sanction. Sinon, il n’aurait pas été à l’entraînement le lendemain avec nous.»
«Renaud est capable d’emmener un vestiaire avec lui»
Bruno Irles, entraîneur de l’Estac
S’il y a sanction pour le joueur au catogan, elle ne sera pas extrasportive. En revanche, Renaud Ripart pourrait faire partie des «changements» à venir annoncés hier par Bruno Irles pour le déplacement à Lyon vendredi. «Certains joueurs ont besoin de retrouver la confiance, et peut-être que la confiance se retrouve avec un peu moins de temps de jeu. Sur ce temps de jeu, ils seront peut-être capables de se montrer.»
Difficile de ne pas faire le lien entre le discours du coach et les difficultés rencontrées par Ripart depuis qu’il est à Troyes. Première recrue de prestige de City group la saison passée, l’ancien Nîmois, acheté 3,5 M€, n’a pas reproduit les prestations qui étaient les siennes dans son club formateur où il jouissait d’une aura. S’il a conservé du crédit dans l’Aube, c’est surtout par sa mentalité irréprochable, sa capacité à répéter les efforts sur le terrain, à mouiller le maillot. Dimanche, alors qu’il enchaînait les contrôles approximatifs et les passes manquées, il ne s’est pas caché, a continué à faire des appels. Preuve d’un tempérament de battant intact.
«Renaud, il est capable d’emmener un vestiaire avec lui, intervient Bruno Irles, je l’ai vu nous gagner le match contre Reims l’an dernier.»
Mais ses gros matches se comptent sur les doigts d’une main. La saison dernière, il y avait des circonstances atténuantes à ses prestations moyennes. Le joueur n’avait jamais quitté son club, il devait s’adapter à un nouvel environnement, à des méthodes nouvelles.
Il est aujourd’hui parfaitement intégré, n’est plus promené à tous les postes comme ce fut le cas sous l’ère Laurent Batlles, quand sa polyvalence servait à masquer les manques de l’effectif. «Avant que j’arrive, il avait joué latéral, milieu, attaquant. On ne peut pas dire que je le fais beaucoup bouger», fait remarquer Bruno Irles.
Mais quel est, au juste, le poste de prédilection de Renaud Ripart? Beaucoup n’ont pas la réponse à cette question. Utilisé milieu droit dans le couloir, il n’a pas la vitesse de débordement pour faire des différences. Se sent-il à l’aise à ce poste? «J’écoute ce que les joueurs ont à me dire, je prends les informations, mais le choix, c’est moi qui le fais», répond Bruno Irles.
À Lyon, Renaud Ripart risque de s’asseoir sur le banc des remplaçants. Un rôle de «joker» qu’il ne devra pas prendre comme une punition mais comme un purgatoire.
International
Oh qu’elle est explosive cette interview vis à vis des positions divergentes sur Irles :
- Irles dément qu’il y a eu une altercation. Ça n’avait pas plus que Sottas supprime son tweet et encore moins que Gallon s’exprime pour dire qu’effectivement c’était faux.
- Irles rappelle que Ripart a beaucoup plus de stabilité sous son règne que sous le règne de LB. Pourtant, ce n’est pas ce qu’on lit
-Irles mentionne qu’il le met a droite et ça va faire des vagues. LB le faisait jouer partout et il avait l’absolution.
- Irles dément qu’il y a eu une altercation. Ça n’avait pas plus que Sottas supprime son tweet et encore moins que Gallon s’exprime pour dire qu’effectivement c’était faux.
- Irles rappelle que Ripart a beaucoup plus de stabilité sous son règne que sous le règne de LB. Pourtant, ce n’est pas ce qu’on lit
-Irles mentionne qu’il le met a droite et ça va faire des vagues. LB le faisait jouer partout et il avait l’absolution.
Pro
Messages : 1646
Enregistré le : 23 oct. 2015, 16:14
Localisation : Plus au stade
Je ne vois pas ce qu'il y a d'explosif dans cette interview, à moins de vouloir absolument que ça explose.
Franchement laissons encore un peu de temps au groupe.
Franchement laissons encore un peu de temps au groupe.
Star mondiale
Messages : 20378
Enregistré le : 12 août 2010, 00:54
Star mondiale
BI dit surtout qu'il écoute ce que les joueurs ont à lui dire (genre j'aimerais bien jouer là ou là) et ...qu'il décide ensuite. Ce qui me semble normal pour un coach.
International
C’est en ce sens qu’elle est explosive cette interview 100% mensonge et langue de bois. Eux savent réellement ce qu’ils se passent.palexandre a écrit : ↑18 août 2022, 17:46 BI dit surtout qu'il écoute ce que les joueurs ont à lui dire (genre j'aimerais bien jouer là ou là) et ...qu'il décide ensuite. Ce qui me semble normal pour un coach.
Espoir
Messages : 793
Enregistré le : 09 sept. 2003, 16:31
Localisation : Cahors (46)
ce qui m'a surpris hier....sa joie mesurée (euphémisme) sur son but....pas vous ?
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