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Non, tout ne va pas pour le mieux, bien sûr, du moins en termes de résultats ou de recrutement.
Mais le club est en L1 ou Furlan l'a fait monter 3 fois ! (pas sur qu'il existe un équivalent)
Notre formation commence à être reconnue et notre niveau de jeu est malgré tout salué par la plupart des observateurs.
Il ne me semble pas très objectif de parler d'une gestion catastrophique !
Ce sont des faits objectifs et remarquables pour un club et une ville de notre taille.

Après, on peut ne pas aimer certaines choses mais je reste convaincu que remettre tout en cause maintenant serait une lourde erreur.
il est un fait avéré que le changement d'entraîneur en cours de saison est très rarement positif, sauf parfois quand la solution vient de l'intérieur. C''est probablement pour ça que les vrais bons entraîneurs ne sont pas près à prendre un poste en cours d'année.

Interview de Darbion dans l'Est EClair d'aujourd'hui:

« Le vestiaire est derrière le coach »
Christophe Mallet

Stéphane Darbion, incisif contre Lyon, invite ses équipiers à ne pas se décourager. J.B.

Les joueurs ont clairement affiché leur soutien à Jean-Marc Furlan. Stéphane Darbion se fait leur porte-parole.

Lundi, une tête est tombée, celle de Nourredine Bouachera, responsable du recrutement. Une décision qui ne solutionne pas les difficultés de l’Estac à court terme. Les quelques joueurs reçus en matinée par Daniel Masoni ont, eux, confirmé leur soutien sans faille à leur entraîneur. Avant que le président, à son tour, ne conforte Jean-Marc Furlan devant l’ensemble du collectif. Sur le site du club, le patron s’est ensuite fendu d’une mise au point qui s’imposait alors que l’Estac part à la conquête d’une première victoire en Ligue 1 samedi à Lorient. Avant une 13 e journée censée briser la malédiction de ce début de saison, Stéphane Darbion, meilleur Troyen sur le terrain contre Lyon, insiste sur l’unité qui doit guider l’Estac.

Stéphane Darbion, la frustration est encore forte après la défaite lyonnaise…

« Oui et non. Évidemment, on repense au rouge infligé à Coco (Jean), au péno sifflé contre nous. Mais, dans le foot, la vérité d’un jour n’est pas celle du lendemain. Et ce n’est pas en pensant aux mauvaises choses qui nous arrivent qu’on va avancer. C’est une situation pas facile à vivre, mais le groupe répond bien. On suit une méthode, des principes de jeu, et on sait que la première victoire n’est plus très loin. Il faut garder ce cap. »

Garder ce cap, c’est une formule pour afficher votre soutien à Jean-Marc Furlan dans un contexte tourmenté…

« Oui, on a déjà apporté une réponse claire samedi. On entendait tout ce qui se disait et, nous aussi, on se posait des questions avant ce match. Contre Lyon, tout le monde avait faim. C’est la preuve que le vestiaire est derrière le coach et son staff. »

C’est peut-être la peur de l’inconnu qui vous pousse à faire bloc autour de l’entraîneur ?

« Non, simplement tous les joueurs qui sont au club se retrouvent dans les principes de jeu du coach qui sont basés sur la possession, la technique en mouvement. Tous sont adeptes de ça. Cette méthode nous a permis de réussir. Et le président a été clair dans ses propos. Dans ces moments difficiles, c’est important d’avoir cette unité totale. Ça montre que le vestiaire est sain, qu’il est composé de bons mecs. »

Oui, mais on peut aussi descendre en Ligue 2 avec une équipe de bons mecs…

« C’est pour ça qu’on doit élever notre niveau de jeu. Défensivement, on retrouve doucement une stabilité. C’est devant qu’il nous faut être plus tueur. Si on marque en premier, on peut faire mal à pas mal d’équipes. »

Contre Lyon, vous auriez pu être le déclencheur…

« Oui, je dois mieux jouer les coups. Sur mes trois ou quatre occasions, je dois en mettre au moins une au fond. Si on veut remonter la pente, ça passe par là. Être plus décisif, avoir le bon geste au bon moment. Et surtout, ne pas céder au découragement. »

Mais si la victoire n’est pas au rendez-vous samedi à Lorient…

« C’est un engrenage qui peut nous mettre la tête à l’envers, mais on n’a pas le droit ! On se doit de combattre. Si on se bat, comme on l’a fait contre Lyon, on n’aura rien à nous reprocher. Si on suit notre ligne de conduite, on s’en sortira. Et on en sortira grandis. »

À les lire on a gagné contre Lyon... Certes on a été combatifs, on s'est procuré 2 ou 3 occasions mais si Lyon avait également été en réussite on s'en serait pris 1 ou 2 de plus. N'exagérons rien non plus, on a pas dominé et on a surtout pas eu la possession.

edo a écrit : Dans ce cas, pourquoi n'est-il pas sifflé lors des matches à domicile?

Ceux qui sont contre Furlan ne sifflent pas forcement. Les gens préfèrent rester "sages" il n'y qu'a voir le peu de volontaires pour aller a l'entrainement. Mais la grande majorité des supporters souhaite du changement. Les gens ne voient que les résultats et les résultats sont pitoyables. Tous le monde s'en tape du soit disant beau jeu qu'on bouge les équipes adverses pendant 30 et 45 minutes ce qui compte c'est le résultat et Furlan est le mec qui va nous faire descendre 3 fois en L2. Ils nous a fait aussi monter 3 fois mais ça prouve qu'il n'a pas le niveau L1. Si on ajoute sa 14ème place en 2011 et sa pitoyable saison 2013-2014 (10ème place, moins bien que Troch, égalité avec Faruck) son bilan est plutôt négatif.

En ce qui concerne les joueurs ils soutiennent Furlan (pas tous, ça serait bien d'avoir l'avis de Azamoum ou de Thiago) parce que sans lui la plupart joueraient en L2 ou plus bas et l'arrivée d'un nouvel entraineur signifierait leur mise à l'écart ou leur départ.

turtle a écrit :En ce qui concerne les joueurs ils soutiennent Furlan (pas tous, ça serait bien d'avoir l'avis de Azamoum ou de Thiago) parce que sans lui la plupart joueraient en L2 ou plus bas et l'arrivée d'un nouvel entraineur signifierait leur mise à l'écart ou leur départ.

Faut forcément que t'ais réponse à tout, même quand ça va pas dans ton sens!

Franchement, que Furlan nous ait fait monter 3 fois, on s'en tape . Les saisons passées en ligue1 ont toutes été cauchemardesques. On s'en branle de voir le psg venir nous la mettre chaque année, on bande pas devant Zlatan ou Lacagette.
Ce qu'on veut c'est voir une équipe qui joue bien et qui marque. Désolé mais malgré tous les suces b..... qui vantent le beau jeu troyen, moi au stade je vois pas la même chose. Je vois une équipe qui redouble de passe latérale, mentalement friable, défensivement sur le fil du rasoir à chaque accélération, incapable de conserver le ballon au dela de la ligne médiane, inoffensive sur les coups de pieds arrêtés, incapables de trouver les attaquants en profondeur (sauf une fois contre Nice), physiquement faible sur les contacts et irréaliste quand par miracle le chemin du but s'ouvre...bref du jeu pourri digne d'Angers ou d'Ajaccio, le physique en moins.
Nos buts sont tous des petits exploits personnels, aucune action construite :
- un dégagement qui tombe sur Jean,
- un miracle de Camus,
- un cafouillage repris par Thiago,
- un ballon qui revient sur Pi après un dégagement raté,
- une frappe d'Othon après un nouveau dégagement manqué.
Il est où le beau jeu, vous voyez des combinaisons là dedans ? Y'a que dalle, rien, nada. Le beau jeu troyen n'est qu'une réputation usurpée

turtle a écrit :En ce qui concerne les joueurs ils soutiennent Furlan (pas tous, ça serait bien d'avoir l'avis de Azamoum ou de Thiago) parce que sans lui la plupart joueraient en L2 ou plus bas et l'arrivée d'un nouvel entraineur signifierait leur mise à l'écart ou leur départ.

Pour ta gouverne, Azamoum n'est pas contre le coach mais il aimerait du temps de jeu tout simplement.

Tu peux être en désaccord sur certains points avec ton patron sans forcément être contre lui

En 2011, on remontait de NATIONAL. Tu n'aurais pas voulu remonter directement en L1. Sur cette saison, l'essentiel était de sauver sa peau en L2.