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Aymeric Magne [Président exécutif / DG] (2021 - 2023)

Les anciennes gloires (ou pas) de l'ESTAC. Retrouvez toutes les fiches joueurs des anciens joueurs de l'ESTAC : Blaise Matuidi, Djibril Sidibé, Corentin Jean...
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KSC
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par KSC »

Nitarm a écrit : 27 janv. 2022, 00:13 Je le trouve très discret notre président en ce moment , j'espère qu'il est en appui de Vitali sur certains dossiers
Il y a des personnes très discretes mais qui travaillent énormément "dans l'ombre". Cela peut-être aussi une question de personnalité.
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Kevin-10
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par Kevin-10 »

Après le sportif ce n'est pas trop le rôle du président si je me souviens bien il avait dit que c'était le travail de Vitali et qu'il n'était là qu'en appui.
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KSC
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par KSC »

Et si il etait responsable du retour de Blaise (si cela se realise....).
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olive91
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par olive91 »

Aymeric va t'il nous préparer un nouvel hymne "big branlée anthem" par Martin Solveig ?
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Nitarm
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par Nitarm »

olive91 a écrit : 21 févr. 2022, 00:38 Aymeric va t'il nous préparer un nouvel hymne "big branlée anthem" par Martin Solveig ?
🤭
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turtle
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par turtle »

L’incompréhension a fait place à la colère chez les supporters de l’Estac depuis que le club et Laurent Batlles se sont séparés après Noël. Pouvez-vous, une bonne fois pour toutes, expliquer pourquoi les deux parties en sont arrivées à cette extrémité ?

Nous avions été clairs en début de saison dernière, en indiquant vouloir vivre toute la saison avec Laurent Batlles. Il y avait eu des rumeurs de départ, mais le club avait insisté et lui avait témoigné sa confiance. Il avait écrit l’histoire du club, en faisant monter l’Estac en Ligue 1. Lorsque nous avons fait le point en décembre, la décision de s’arrêter là a été prise ensemble.. Il fallait que tout le monde soit aligné, sur le court, le moyen et le long termes. Nous ne l’étions pas sur le moyen et le court termes, tout le monde a alors pris ses responsabilités.

La trêve hivernale, c’était, selon vous, la fenêtre de tir parfaite ?

Oui, c’était la moitié de la saison, nous avions 17 points après 19 matches, ce n’était potentiellement pas un rythme suffisant pour se maintenir en Ligue 1, même si nous avions une courte avance sur nos poursuivants. Pour la suite du projet, Bruno Irles a été choisi. C’est un entraîneur qui a toujours fait l’unanimité auprès de ses joueurs, là où il est passé. Qui a mené à bien les missions qui lui ont été confiées. Il réunit toutes les qualités et compétences, professionnelles et humaines, pour mener à bien notre mission.

Mais cette séparation ne pouvait pas intervenir en fin de saison ? Il n’y avait pas urgence, et c’était une décision risquée… Peut-être avez-vous sous-estimé l’affect des joueurs envers Laurent Batlles…

Nous avons suivi un certain nombre d’indicateurs et n’avons rien sous-estimé. Que les joueurs aient eu de l’affect pour Laurent Battles, c’est logique. C’est l’entraîneur qui a fait monter l’équipe en Ligue 1. Mais les joueurs sont des professionnels. Un changement de coach, ils y sont habitués et savent s’adapter. Cela fait aussi partie de leurs compétences professionnelles. L’important, c’est qu’ils arrivent à vite assimiler une nouvelle méthode de travail.

Ce bilan comptable médiocre des mois de novembre et de décembre était un prétexte non ? Derrière, il y avait surtout un problème de personne…

Pas du tout ! Et ceux qui essaieraient de trouver des responsables externes sont dans le faux. Je le répète c’est une décision tripartite, entre Laurent, la direction générale et l’actionnaire.

La séparation n’est donc liée qu’à son bilan comptable…

Non, ce n’est pas ce que j’ai dit. Chacun avait un projet, chacun avait une vision. À partir du moment où le projet et la vision n’étaient pas alignés, ça ne servait à rien de continuer ensemble. C’est comme dans un couple, quand il n’y a plus la flamme. Vous pouvez ne pas vous disputer, mais chacun a changé, les chemins se sont naturellement séparés.

Qui a déclenché cette séparation ?

Les deux.

Ça allait au-delà des divergences sur le mercato…

Je le répète, les statistiques ont été prises en compte mais ce qui est primordial, c’est que nous n’avions pas la même vision du projet. Si nous avions eu bien plus de points, nous aurions fini la saison avec Laurent, mais ce n’était pas le cas. Nous avons pris en considération un ensemble d’indicateurs et en tant que président, avec Laurent et en accord avec les actionnaires, nous avons pris la décision de s’arrêter là.

En six mois, entre l’été dernier et le mois de décembre, pourquoi n’étiez-vous plus sur la même longueur d’ondes. Qui a changé ? Laurent Batlles, le club ?

Le projet a évolué, peut-être plus vite que prévu. Il faut savoir que quand City Football Group a acquis le club, il n’était pas forcément prévu de monter si rapidement en Ligue 1. Cela a créé des contraintes et un niveau d’exigence différents, beaucoup de changements qui font peut-être que l’un et l’autre ne s’y retrouvaient plus.

• Le projet City
C’est le moment de rappeler ce qu’est le projet de City pour l’Estac… Pour les gens extérieurs, cela reste assez flou

Le projet n’est pas flou, il est très simple : c’est de professionnaliser le club à tous les étages, et de se donner les moyens de performer dans tous les domaines. Nous renforçons les équipes à la SASP et à l’Association, nous recrutons des personnes très compétentes au club. Tout cela pour pérenniser l’équipe au plus haut niveau, développer la marque et les revenus du club. Et créer les conditions pour former de jeunes talents et déployer une identité de jeu forte. Cette identité ne va pas se faire en un jour. Cette exigence doit nous amener à être un club de l’élite, pour que, dans quatre-cinq ans, nos actionnaires et nos supporters se retournent et soient fiers de ce nous avons accompli, au niveau des installations, de l’organisation, de la marque, de la formation et de la performance sportive.

Le problème, c’est que cette volonté de performer sur le moyen terme se fracasse à la réalité des résultats sportifs qui ne sont pas ceux espérés…

C’est évident ! Malgré tout, en tant que promu, il n’est pas illogique de jouer le maintien et de devoir se battre jusqu’au bout pour y parvenir. L’exceptionnel eût été de jouer autre chose que le maintien…

Le jeu actuel, par exemple, est en contradiction, avec le projet de jeu de City…

Nous nous appuyons sur une vision du football et cela commence par la formation. Certains principes vont prendre du temps avant de pouvoir s’appliquer avec l’équipe première. Cela serait utopique de penser que nous allons jouer comme Manchester City. Mais dans l’approche footballistique, nous devons travailler pour s’en inspirer au mieux. Cela prendra nécessairement du temps.

Mais Laurent Batlles s’en rapprochait de ces principes…

Dans le premier tiers de la saison, jusqu’à Lens, les performances étaient plutôt bonnes, le jeu développé agréable et nous avions une certaine assurance. Après Lens, malgré les alertes, nous ne nous sommes pas rendu compte du danger qu’il y avait en face. Nous étions installés dans un certain confort psychologique. C’est là où je suis en colère ! Inconsciemment nous avons peut-être pensé que cela suffirait pour le maintien. Certaines valeurs n’étaient pas assez présentes, le dépassement de soi, la force de caractère, l’orgueil…

Il n’y a pas eu de remise en cause assez vite ?

Nous n’avons pas mis les bons ingrédients dans les matches qui suivaient. Nous n’avons pas montré l’orgueil et l’engagement nécessaire pour s’en remettre. Cela concerne tout le monde et moi y compris ! Nous nous sommes mis en difficulté nous-mêmes. Alors oui, pour cela, je suis en colère, j’aurais préféré avoir un matelas qui nous permette de respecter l’objectif à court terme, qui est de se maintenir le plus vite possible.

• Le choix de Bruno Irles
Aujourd’hui, vous referiez la même chose : vous séparer de Laurent Batlles et choisir Bruno Irles ?

Oui ! Ce que je regrette concernant Bruno, c’est le manque de neutralité, notamment au niveau de la presse locale. Qu’il y ait des interrogations, car Bruno est un jeune entraîneur à ce niveau, pourquoi pas, mais il y a eu un traitement de fond négatif et ça, ce n’est pas acceptable.

Vous estimez que nous ne l’avons pas mis dans les bonnes conditions, voire qu’on lui a savonné la planche ?

Je n’utiliserais pas ce terme. Je dis que ça manquait de neutralité, d’objectivité. C’est quelqu’un d’extrêmement intelligent, passionné et à l’écoute. Et surtout, il est accompagné par un staff de qualité, un directeur sportif, un président, des actionnaires, un environnement bref, tout un club.

Lui et le club ont-ils fait ce qu’il fallait pour réussir l’après-Batlles ?


Le responsable, à la fin, c’est moi. Peut-être que parfois, nous avons manqué de lucidité, nous n’avons pas eu les bons réflexes. Que ce soit avec la presse locale ou les supporters par exemple.

Est-ce qu’en voulant prendre le contre-pied complet de Laurent Batlles, Bruno Irles s’est mis en danger tout seul ? Est-ce que lui-même, dans sa communication, n’a pas dégagé une forme d’arrogance ?

Bruno n’est pas quelqu’un de hautain et peut-être que là aussi, c’est de notre responsabilité de montrer qui il est vraiment. Je suis convaincu qu’avec lui, notre staff et nos joueurs, tous unis, nous sommes en capacité d’atteindre l’objectif du maintien. Le groupe vit très bien. Nous avons confiance en nos joueurs.

Selon vous, le groupe est uni derrière Bruno Irles ?

Bien sûr, pour moi il n’y a pas l’ombre d’un doute à ce sujet. Ce qu’on veut, c’est de la combativité, de l’abnégation. Je veux, même si l’expression est un peu tribale, des “chiens” sur le terrain. Il faut gagner les duels, il faut se battre. Les joueurs sont en train de prendre conscience de cela. Cette union sacrée est importante aussi avec nos supporters. Je sais qu’ils souffrent, au même titre que moi, que les joueurs. J’ai été supporter, je sais ce que c’est. C’est se sentir mal après une défaite. Il nous reste treize rounds à disputer…

Avec Bruno Irles, quoi qu’il arrive ?

Bruno fait partie intégrante du projet du club. Si il est là aujourd’hui, c’est que nous croyons en ses compétences. Tout le monde doit supporter l’Estac. Si les supporters chantent pour le club, se donnent à fond à chaque match, cela va nécessairement accroître nos chances de réussite. J’ai confiance en Bruno, en ce groupe, nous avons des joueurs responsables et des leaders exemplaires. Ils ont les cartes en mains pour que le club se maintienne. Tout le monde va tout donner pour que la colère se transforme en bonheur, lorsque nous décrocherons ce maintien tous ensemble. En espérant évidemment que ce soit le plus tôt possible.

Avez-vous prôné cette union sacrée devant les joueurs pour les mettre face à votre colère ?

C’est un poncif mais ce qui se passe à l’intérieur du groupe doit y rester. Il y a énormément de discussions. Des discours officiels, des discours non officiels. Il n’y pas de non-dits, la parole circule librement entre toutes les parties et mon bureau est toujours ouvert.

• La gouvernance
En tant que président exécutif, avez-vous les mains libres pour intervenir, agir, prendre la parole, ou bien devez-vous référer de tout à la hiérarchie de City Group ?

Je ne pense pas que ce soit le sujet de l’interview. Je n’ai pas besoin de demander l’autorisation pour prendre la parole.

Vous faites, vous aussi, l’objet de certaines critiques, est-ce que cela vous touche ?

Ce que je sais, c’est que nous sommes en train de créer un projet à l’Estac pour que tout le monde soit fier d’ici à quatre ou cinq ans, de ce qu’est devenu le club. Le court terme est bien sûr important et retient toute mon attention. Mais ma responsabilité est aussi d’avoir une vision sur le long terme.

Mais n’avez-vous pas besoin de casser l’image du président qui s’occupe plus de l’extra-sportif que du sportif ?

Ce n’est pas un équilibre parfait. Il y a parfois plus de travail au niveau administratif, il y a parfois plus de travail au niveau sportif. Nous avons la chance d’avoir un directeur sportif très compétent et avec une grande expérience du haut niveau. J’ai une confiance absolue en lui. Il connaît le football et les attentes de l’actionnaire.

Mais les animations que vous mettez en place n’ont de sens que si les résultats sont là…

Bien sûr. En réalité, nous sommes persuadés que tout compte. Le terrain, c’est la base, la locomotive, nous le savons. Mais il est important de proposer des alternatives et des animations aux supporters. Le stade doit être un lieu de fête, un lieu de vie, à l’intérieur comme à l’extérieur. Cela n’empêche pas que travaillons également sur les infrastructures, la formation, le recrutement. Rester focus sur un seul pan serait une erreur. Nous avons une approche systémique et la volonté forte d’avoir plus de monde dans le stade, plus d’ambiance, plus de supporters… ce qui aura forcément un impact sur la performance. Les deux doivent se nourrir réciproquement.

Sauf que ce qui est jugé actuellement, c’est le très court terme…

C’est quelque chose que j’entends. J’ai été supporter. Mais il faut clairement comprendre que notre but est faire passer le club dans une dimension supérieure. Cela est peut-être utopique, mais mon objectif est d’avoir 15 000 personnes au stade qui se plaisent, qui viennent en famille et qui y passent un excellent moment. Qu’ils viennent y vivre des émotions. Tout cela aura un impact direct sur le sportif. Plus de revenus = meilleurs joueurs = meilleur spectacle = meilleure ambiance, c’est un cercle vertueux.

À condition de rester en Ligue 1 pour entretenir une dynamique…

Nous avons un projet sur cinq ans. Descendre ne fait clairement pas partie de nos projections. Mais si cela devait arriver un jour et que derrière, le club est structuré, a une belle image, qu’il y a eu des émotions, alors nous pourrons nous retourner et se dire : le club en était là il y a cinq ans et aujourd’hui il en est là, avec la volonté de capitaliser pour être un club pérenne de l’élite. Il faut que tout le monde réalise bien la chance que nous avons, ici, à Troyes.

Est-ce que financièrement, ce serait dangereux de retomber en Ligue 2 ?

Clairement, non. Notre actionnaire pourrait assumer et continuer d’assurer le développement du club sur le long terme, ce qui est extrêmement rassurant.

Si les résultats n’arrivent pas rapidement, comment faire pour calmer les tensions qui sont palpables ?

Les supporters sont venus exprimer leur mécontentement à Barberey après notre défaite à Rennes. J’entends cette colère. J’ai reçu les supporters, ils ont le droit d’être impliqués. Une fois de plus, nous avons un groupe qui vit bien. Il n’y a pas de match couperet, mais bien treize rounds à disputer. Ce sont de pros, avec de la fierté et de l’orgueil. À partir du moment où il y a cette combativité, cette union sacrée derrière eux, je suis persuadé que la flamme va revenir.

• Le match contre Marseille
Revenir à domicile après deux lourdes défaites, jouer Marseille dans un stade plein : l’équipe a l’obligation de montrer un autre visage pour faire taire les critiques…

Nous voulons tous voir des joueurs qui mouillent le maillot, des véritables guerriers sur le terrain. Je pense que les joueurs le sont, et ils vont le montrer. Il va falloir se faire mal jusqu’à la fin de saison. Je refuse que l’on dise que Marseille est un tournant, parce qu’il reste treize rounds.

Les joueurs se sont faits à l’idée qu’ils devront mener ces « treize rounds » avec Bruno Irles…

Je vais être clair. Nous sommes un club uni : association, administratifs, sportifs et j’y implique tous les acteurs locaux, partenaires, institutionnels et supporters. Aujourd’hui, l’heure est à l’union sacrée. Si nous restons tous unis, et que nous tirons tous dans le même sens, alors nous parviendrons à atteindre notre objectif.
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Tristanestac
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par Tristanestac »

Mouais en gros la descente est envisageable, il minimise l’impact à court terme et parle d’un projet à 5 ans comme tous les présidents depuis de très nombreuses années.
Dans cette interview on ne sent pas du tout un président qui veut refuser la descente à la fin de la saison, c’est bien dommage…
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Batman
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par Batman »

Merci @turtle pour l’article. Malheureusement on y apprend pas grand chose. M Magne ferait un bon politicien.
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Elpinguin
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Re: [Président exécutif / DG] Aymeric Magne

Message par Elpinguin »

Merci Turtle!
On retrouve surtout que CFG n'a pas acheté l'ESTAC avec pour objectifs ceux que l'on pourrait retrouver chez un autre acheteur 'normal' et par normal j'entends comme à l'ancienne. Quand il ne répond pas sur sa direction et ses liens décisionnels avec CFG, ça en dit plutôt long...
Mais rien de nouveau sous le soleil. Une com qui aurait peut-être du avoir lieu fin décembre.

Et je reste convaincu qu'une réunion avec LB et la presse pour annoncer le départ de LB aurait été tellement plus efficace en terme de compréhension...
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